Publié : 30 nov. 2010 21:34
Hier soir, une approche difficile se termine au crépuscule, il s'agit d'un jeune d'environ 15kg tiré sur 3/4 avant droit, l'animal est légèrement en contre bas, (distance environ 170m).
Carabine Sauer S90 en 270W, lunette Swaro Z6i 2-12x50, balle Sako Hammerhead (156 grains).
Les réglages pour la visée et l'attente d'une position de l'animal pour assurer un tir convenable sont assez long et j'ai été totalement bleufé par la qualité de la Z6 qui me donne une image bien plus claire que l'oeil dans ces limites d'obscurité. Je lache la balle et lorsque je regarde les réactions de l'animal, je n'y voit presque plus rien mais entend un passage en force dans un maïs abandonné déséché.
Je m'avance jusqu'au point de tir et je ne voit rien. L’obscurité ne me permet pas de trouver la moindre trace de sang et en direction du maïs je ne trouve rien non plus, ni jusqu’à sa limite ni à l’intérieur sur 30m.
Je rentre terriblement décu et ne suis pas très content de moi.
Le doute s’installe, est il blessé ? non tu as du le manquer, imbécile à cette distance tu aurais du utiliser le stecher, et puis la lunette aurait elle subit un déréglage ? il me semblait tellement être dedans, tu as fais bien mieux au stand et plus loin ! Non tu l’as loupé, c’est obligé avec une balle de 156 grains, il n’aurait pas été si loin, impossible.
La tronche me suit toute la soirée et je ne vous dis pas combien de fois je me suis réveillé.
Je me lève à 6h et tourne comme une hélice jusqu’à attendre le jour se lever. Pas d’histoire il faut que j’y retourne fouiller ce maîs.
J’y retourne et trouve le chevreuil dans le maïs à 70m de l’endroit ou il en est entré et donc à 100m du point d’impact.
La balle est entrée au dessus de l’épaule et ressortie en partie arrière du thorax avec un trou de sortie d’environ 8 à 10 cm.
Compte tenu des dégats importants au thorax l'animal est partit s'écrouler à environ 100m du point d'impact.
Je n'ai pas pu faire de plus amples constatations, la nuit était pratiquement tombé durant mes recherches infructueuses de la veille, j'ai retrouvé le chevreuil le lendemain dévoré de toute sa partie arrière.
Je ne tirerais plus d’animaux au crépuscule sauf les nuisibles.
Carabine Sauer S90 en 270W, lunette Swaro Z6i 2-12x50, balle Sako Hammerhead (156 grains).
Les réglages pour la visée et l'attente d'une position de l'animal pour assurer un tir convenable sont assez long et j'ai été totalement bleufé par la qualité de la Z6 qui me donne une image bien plus claire que l'oeil dans ces limites d'obscurité. Je lache la balle et lorsque je regarde les réactions de l'animal, je n'y voit presque plus rien mais entend un passage en force dans un maïs abandonné déséché.
Je m'avance jusqu'au point de tir et je ne voit rien. L’obscurité ne me permet pas de trouver la moindre trace de sang et en direction du maïs je ne trouve rien non plus, ni jusqu’à sa limite ni à l’intérieur sur 30m.
Je rentre terriblement décu et ne suis pas très content de moi.
Le doute s’installe, est il blessé ? non tu as du le manquer, imbécile à cette distance tu aurais du utiliser le stecher, et puis la lunette aurait elle subit un déréglage ? il me semblait tellement être dedans, tu as fais bien mieux au stand et plus loin ! Non tu l’as loupé, c’est obligé avec une balle de 156 grains, il n’aurait pas été si loin, impossible.
La tronche me suit toute la soirée et je ne vous dis pas combien de fois je me suis réveillé.
Je me lève à 6h et tourne comme une hélice jusqu’à attendre le jour se lever. Pas d’histoire il faut que j’y retourne fouiller ce maîs.
J’y retourne et trouve le chevreuil dans le maïs à 70m de l’endroit ou il en est entré et donc à 100m du point d’impact.
La balle est entrée au dessus de l’épaule et ressortie en partie arrière du thorax avec un trou de sortie d’environ 8 à 10 cm.
Compte tenu des dégats importants au thorax l'animal est partit s'écrouler à environ 100m du point d'impact.
Je n'ai pas pu faire de plus amples constatations, la nuit était pratiquement tombé durant mes recherches infructueuses de la veille, j'ai retrouvé le chevreuil le lendemain dévoré de toute sa partie arrière.
Je ne tirerais plus d’animaux au crépuscule sauf les nuisibles.