Publié : 25 déc. 2004 16:46
Adishatz
Voici tout un programme..... Je me suis offert ce bouquin (sous la direction de Paul-Henry Hansen-Catta et voici ce que j'ai lu dedans:
" Du déclin du petit gibier.....à la dérive des lachers
Faute de lapins, la pression de chasse va se concentrer sur les autre especes, qui sont pourtant deja mises à mal par la dégradation des habitats. Dans le même temps, le nombre de chasseurs augmente, pour atteindre, en France le chiffre reccord 2 200 000personnes en 1974, ce qui ne fait qu'accentuer encore le reflux des populations de petits gibiers. Cette époque inaugure pour la chasse une véritable dérive culturelle. Afin de compenser la raréfaction du petit gibier, les chasseurs se lancent dans des lachers; Depuis un siecle, les "grandes chasses", dont le prestige se mesure à l'importance du tableau, montraient la voie, la mauvaise. Il ne s'agit pas tant d'essayer de repeupler les territoires que de s'offrir de la chair à fusil. EN SE RESINANT A L'EMPLOI DU GIBIER DE TIR, LES CHASSEURS ABANDONNENT DU MEME COUP TOUT EFFORT DE GESTION DU TERRITOIRE ET FINISSENT PAR PERDRE TOUTE MAITRISE SUR UN MILIEU DONT ILS DEVRAIENT ETRE LES PREMIERS PROTECTEURS, note le journaliste cynégétique Gilles Tournier. EN OUTRE LE RECOURS AUX LACHERS DE TIR ACCAPARE LA MAJEURE PARTIE DES RESSOURCES FINANCIERES DES SOCIETES DE CHASSE ET INTERDIT TOUTE MOBILISATION DURABLE EN FAVEUR DE L'AMELIORATION DES TERRITOIRES;"
Ca y est même les bouquins de chasse commencent à soulever le probleme des lachers de tir et surtout de la non gestion du territoire.....
Adiu
LOLO
Voici tout un programme..... Je me suis offert ce bouquin (sous la direction de Paul-Henry Hansen-Catta et voici ce que j'ai lu dedans:
" Du déclin du petit gibier.....à la dérive des lachers
Faute de lapins, la pression de chasse va se concentrer sur les autre especes, qui sont pourtant deja mises à mal par la dégradation des habitats. Dans le même temps, le nombre de chasseurs augmente, pour atteindre, en France le chiffre reccord 2 200 000personnes en 1974, ce qui ne fait qu'accentuer encore le reflux des populations de petits gibiers. Cette époque inaugure pour la chasse une véritable dérive culturelle. Afin de compenser la raréfaction du petit gibier, les chasseurs se lancent dans des lachers; Depuis un siecle, les "grandes chasses", dont le prestige se mesure à l'importance du tableau, montraient la voie, la mauvaise. Il ne s'agit pas tant d'essayer de repeupler les territoires que de s'offrir de la chair à fusil. EN SE RESINANT A L'EMPLOI DU GIBIER DE TIR, LES CHASSEURS ABANDONNENT DU MEME COUP TOUT EFFORT DE GESTION DU TERRITOIRE ET FINISSENT PAR PERDRE TOUTE MAITRISE SUR UN MILIEU DONT ILS DEVRAIENT ETRE LES PREMIERS PROTECTEURS, note le journaliste cynégétique Gilles Tournier. EN OUTRE LE RECOURS AUX LACHERS DE TIR ACCAPARE LA MAJEURE PARTIE DES RESSOURCES FINANCIERES DES SOCIETES DE CHASSE ET INTERDIT TOUTE MOBILISATION DURABLE EN FAVEUR DE L'AMELIORATION DES TERRITOIRES;"
Ca y est même les bouquins de chasse commencent à soulever le probleme des lachers de tir et surtout de la non gestion du territoire.....
Adiu
LOLO