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Publié : 11 juil. 2007 17:25
par maurice
Au point où j'en suis du "piège" où je me suis fourré :) :D dans le débat, allons y pour un dernier topic que je sépare du topic "explications" pour la clarté des choses.

Il manquait à ce topic "explications" le volet "solutions", parce critiquer est facile. Mais faut-il encore avoir la solution de rechange.

Pour être donc complet voici :



REFORMES NECESSAIRES POUR UNE CHASSE PRESENTABLE ET ACCESSIBLE A TOUS.



Deux mesures préalables, condition sine qua non du travail de fond suivant :



- interdiction du gibier de tir.

Parce que ces kermesses à faisans donnent une image désastreuse de la chasse française ;

Parce qu’elles sont anti écologique ;

Parce qu’elles font du chasseur un « tireur-consommateur-pressé-et-déculturé » ;

Parce que ces tireurs-consommateurs phagocytent les rangs des chasseurs, et comme ils n’ont besoin pour pratiquer leur succédané de chasse d’aucune gestion, ni même de territoire (à la limite, un parking peut leur suffire) refusent toutes réformes et paralysent les communautés de chasseur. Ces tireurs sont un cheval de Troie dans notre ville « chasse ».

Etc ……



- interdiction de l’agrainage

L’alibi de cette détestable dérive était de venir en aide aux animaux en période de disette.

C’est d’abord faux, puisque la plupart des agrainages se font, soit toute l’année, soit en période de chasse pour cantonner les bêtes chez soi. Et quelquefois, suprême fumisterie, l’agrainage est abandonné le lendemain même de la fermeture, au moment où justement les bêtes habitués à recevoir la nourriture de l’homme en auraient pour le coup vraiment besoin.

Ensuite les bêtes sauvages n’ont nullement besoin d’agrainage. Leur régulation naturelle est normale et nécessaire.

Au surplus, d’agrainage on est passé au …. nourrissage.

Chaque société ou presque faisant de même pour contrer ses voisins, les effets s’annulent, si ce n’est qu’ils contribuent à domestiquer des espèces sauvages, à les rendre sensibles aux maladies, et à … vider la bourse des chasseurs.

Supprimer ces dérives constitue au passage une première économie



Ces deux mesures prises, on se retrouvera enfin entre chasseurs, et on parlera la même langue, ce qui permettra d’avancer.

Sans ces deux mesures, personnellement, je me refuserai à aller plus loin.Bien !!!!!



- Formation sérieuse et réelle des chasseurs

La mise en place d’une formation théorique et pratique des chasseurs est indispensable.

Cette formation doit rester accessible à tous, quel que soit le niveau d’études.

Si vous le désirez, on peut développer ce point qui ne fait pas difficulté.

Seuls refusent cette réforme ceux qui la dénoncent comme élitisme justement parce qu’ils n’ont pas envie de se former, n’en ayant, au demeurant aucun besoin pour tirer de la volaille. .



Ces trois mesures prises, le nombre des chasseurs baissera fortement.

De combien exactement ? C’est difficile à dire. Mais on passera rapidement en dessous de la barre du million, et sans doute moins.



Mais, à ce stade, on se retrouvera, non seulement entre seuls chasseurs (les tireurs et consommateurs ayant été éliminés plus haut), mais au surplus entre chasseurs compétents.

Et ça change tout :

Vis-à-vis des pouvoirs publics, pour qui nous devenons des interlocuteurs responsables ;

Vis-à-vis de nos amis : agriculteurs, naturalistes, etc…. pour qui nous devenons des partenaires ;

Pour le grand public, car notre chasse est présentable, respectueuse des écosystèmes, tolérante vis-à-vis des autres organisateurs de nature.

Les 4 adhérents du ROC ou autres structures, viscéralement opposées à la chasse, n’auront plus de « fond de commerce ». Ils seront toujours contre, -je ne rêve pas - mais ne seront plus écoutés, et ne représenteront plus rien.



La chasse, rénovée, moderne, retrouvera ses droits dans la cité.

Elle était « sacrée » du temps de Platon, parce que, constituant un entraînement à la guerre, elle était utile.

Dans notre pays, elle ne sera pas sacrée, n’exagérons rien. Mais elle ne sera plus haïe. Elle sera respectée parce que correspondant à un besoin de la collectivité, notamment la régulation des espèces causant problème, mais encore une activité ouverte et accueillante à toute personne de sensibilité naturaliste qui trouvera dans la chasse, même s’il ne « régule » pas, une raison de pratiquer.



La question qui peut se poser est de savoir comment financer avec, par exemple, moitié moins de chasseurs les dépenses induites de notre pratique ?



Un des plus gros poste de dépenses est causé justement par ceux là même qui n’ont rien à faire dans nos rangs.

Supprimons les lâchers de volailles, les « élevages à ciel ouvert de cochongliers », et les tireurs-consommateurs qui vont avec.

Je ne suis pas sûr que ceux qui resteront, c’est-à-dire les vrais chasseurs auront un sou de plus à débourser :

En effet, la volaille coûte cher, le maïs aussi, et les dégâts de sanglochons vident les caisses.. Une fortune tout cela.

Il conviendrait même de faire une étude de faisabilité.

Mais je soupçonne ces tireurs de volailles et ces « éleveurs de cochongliers à ciel ouvert » de nous coûter, à nous chasseurs, plus qu’ils ne nous rapportent en cotisations et taxes diverses.

Quand j’étais président d’acca, dès la première année, j’ai fait voter la suppression des lâchers. Nous avons perdu qqles adhérents, mais gagné un paquet de pognon que nous coûtaient ces lâchers. Et au final, on s’apercevait que leur adhésion ne rapportait nullement ce qu’ils nous coûtaient.

Et donc j’ai tendance à croire qu’en les éliminant on ne perd pas un sou, voire que nous en gagnons. Ce gain peut servir à financer les dépenses d’Etat incompressibles que nous serons moins nombreux à financer.



De sorte que le pari est simple :

Si nous ne faisons rien, au train où vont les choses, dans une quinzaine d’années, le nombre des porteurs de fusils (je ne dis pas des chasseurs) aura baissé sans doute de moitié.

Mais ils auront toujours les mêmes dépenses, voire plus car les vrais chasseurs qui auront raccroché, soit pour cause d’âge, soit pour cause d’écœurement, ne seront plus là pour payer les factures de volailles, des tonnes de maïs et de dégâts que paradoxalement, eux, ne « consomment » pas.

Dans ce cas suicidaire, on n’aura gardé que ceux qui coûtent cher, et éliminé ceux qui coûtent moins.

La chasse sera devenue une banale activité de consommation de luxe, accessible seulement aux gros portefeuilles.



Au contraire, avec les réformes que je préconise, nous aurons moins de porteurs de permis, mais seulement des chasseurs, beaucoup moins « dépensiers ». Et la chasse restera authentique, et surtout accessible à tous.



On peut toutefois très légitimement se poser la question de savoir si les chiffres suivront le raisonnement.

Personnellement, je n’en suis pas totalement sûr. Voyez, je suis honnête !!!!

Que ces mesures allégeront la facture des dépenses, c’est indéniable. Que ça sera suffisant, seuls les chiffres le diront. Je le crois, mais il faut chiffrer.



Mais au surplus nous ne sommes pas complètement démunis, et nous pouvons agir sur d’autre point :



- D’abord en agissant sur un poste très couteux, les dégâts de gibier.

Nous avons vu que, bien évidemment, sans élevage à ciel ouvert, la facture diminuera. C’est évident.

Mais il en resterait encore pas mal, si nous continuions à prélever n’importe comment comme nous le faisons aujourd’hui.

En effet aujourd’hui qu’une compagnie de sanglier fasse des dégâts, et on te lui fiche une battue administrative qui fait quelquefois plus de dégâts que les sangliers eux-mêmes, en ce sens qu’éliminant les bêtes meneuses au petit hasard la chance, les compagnies vont ailleurs sans « discipline », et donc au plus facile, donc dans les champs, et, sans contrôle de leurs aînés, saccagent encore plus

Au contraire : mettez-vous à l’affût sur un mirador, dans un champ la nuit, et faites tomber une bête rousse.

Le message est reçu 5 sur 5 par la bête meneuse.

Elle ramène son monde en forêt vite fait.

On peut développer ce point.



- ensuite, il faut évidemment réduire la « voilure » :

oui, il faut le dire, nos fédés nous coûtent beaucoup trop cher, alors qu’elles ne servent strictement à rien, car faisant double emploi avec les organismes d’Etat.. Et de plus en plus cher, car sa sachant inutiles, elles multiplient des pseudos services ou missions qui ne font que nous coûter de l’argent.

En effet, leur boulot, pour la partie qui pourrait être utile, peut être fait par les DDAF ou les DIREN, qui actuellement en matière de chasse se complètent bien mal avec les fédés. Il y a un organisme en trop là dedans, c’est évident.

Le personnel des fédés ne serait pas remplacé lors des départs à la retraite, et ceux actuellement en place seraient versés dans les DDAF et DIREN. (je pense notamment aux techniciens, d’un très bon niveau, et actuellement « sous-employés »).



Certains me diront : « mais alors, notre représentativité ? »

Et je répondrais :

« franchement, vous croyez que les fédés sont représentatives ? qu’elles sont écoutées par les hauts fonctionnaires des ministères ? »

Nous seront mieux représentés par nos assos spécialisées qui, elles, ont des membres volontaires, et non contraints et forcés.



Beaucoup d’autres point restent à voir, mais nous sommes sur un forum, et il conviendra de les développer, si ça vous intéressent, au fur et à mesure.



Mais c’est ça ou mourir dans les deux décennies à venir.

maurice

Publié : 11 juil. 2007 17:44
par candide
Maurie,



Les solutions que tu présentes, en ton nom et pas forcement comme les seules devant etre le salut de la chasse ne sont quand on les decortique qu'un reglement de compte vis à vis d'autorités et d'instances qui t'ont ecarte et pour moi , malgre la retape de tes propos ( on restera entre vrais chasseurs etc!!) ne sont pas des solutions viables mais un suicide ou au mieux une getthoisation qui semblerait t'arranger ( allez savoir pourquoi!!)

Publié : 11 juil. 2007 18:23
par maurice
Encore une fois merci de ne pas me caricaturer.

Simplement pour remettre les pendules à l'heure,

"aucune instance ou autorité ne m'a jamais écarté "



j'ai volontairement démissionné ( parce que je ne voulais continuer à cautionner ce système que j'avais cru pouvoir faire changer de l'intérieur) de ttes celles où j'avais été élu, et, pour deux d'entre elles, on était venu me chercher alors que je n'étais pas demandeur. Et pour au moins une des deux, on m'a franchement retenu sans succès.



On a donc le droit de ne pas être favorable à ma démarche.

On a le droit de la combattre.

On n'a pas le droit de dire n'importe quoi.

Et ce, notamment en déformant les faits les plus élémentaires.

Maurice

Publié : 11 juil. 2007 18:24
par tartarin75
Je commencerais pas interdire d'interdire.



Parce qu'un chasseur quel qu'il soit n'est jamais qu'un chasseur et rien ne lui donne le droit de juger des chasses des autres sous prétextes qu'il ne les pratique pas, et encore moins de les interdire.



Modérer ses positions notamment sur l'agrainage



Parce qu'on s'appuie souvent sur des cas précis loin d'etre une généralité. On a tendance à interdire formellement l'agrainage qui dans le cas du petit gibier de plaine en période critique permet de maintenir en vie une population qui en se reproduisant reste belle et bien sauvage. Demandons à ceux qui sont venu chasser le perdreau en brie s'ils ne sont pas méfiants, bien volants et même diaboliques...En pourtant ils disposent de plusieurs points d'agrainage.



Ceci nous amène à un troisième point. Sortir des clichés de la chasse et reconnaitre toutes les chasses,même celles qui ne servent pas notre argumentation. A en lire certain depuis quelques temps, il n'existe que la chasse du grand gibier à l'approche (BIIIEEEEEN) , en battue (PAAAS BIIEEEN) et la chasse à la cocotte (PAS BIIIIEN DU TOUUUUUUT). Reconnaissons d'autres chasses. Le petit gibier existe encore!!!Si si je vous jure!!!et je ne l'ai pas laché tout à l'heure!!!La chasse à la bécasse, trop peu citée car pas de preuve d'agrainage ou de lachés... La chasse à la sauvagine certainement la plus influente en France. Le tord de toutes ces chasses pour etre oubliées est surement d'etre trop peu pratiquées dans les montagnes occitanes...



Pour ce qui concerne l'examen du permis de chasser, je fais partie de ceux qui estiment que l'expertise n'est pas une obligation dans tout les domaines y compris la chasse.

Effectivemment je ne connais pas toutes les essences d'arbres présentes dans notre beau pays (ouhhhh pas bien), effectivemment je ne saurais identifier à coup sur tous les champignons rencontrés en france et ca ne me dérange pas car je ne les ramasse pas (ouhhhhhh pas bien!!!!) Je ne connais pas en détails toutes les moeurs des grands gibiers mais je ne les chasse pas (ouhhhh le naze!!!).Pire!!! Je suis loin d'étre un tireur d'élite et peut etre même que si j'avais eu à tirer des plateaux lors de l'examen du permis je les aurais manqués. Par contre je connais et applique les règles de sécurité et m'abstient de tirer en cas de doute...

Tout ca pour dire que je suis absolument contre un durcissement et une complication de l'examen du permis de chasser. Non seulement parce que cela ne remplacera jamais les connaissances acquises sur le terrain auprès des autres et que cela découragerait d'avantage les prétendants.



C'est pour cela que je suis tout à fait satisfait du guichet unique qui simplifie les démarches et que je ne rale pas sur les fédé si mon permis me parvient le mardi au lieu du lundi, parce qu'évidemment je m'y suis pris à temps...



En fait, je suis absolument contre tout ce qui pourrait nuire au nombre de chasseurs en France. D'abord parce que personne n'est apte à juger qui est digne d'etre chasseur ou pas. Ensuite parce que dans notre société actuelle le lobby a une importance prépondérante.(Les chasseurs de gibiers d'eau sont les plus entendus et les plus médiatisés parce qu'ils sont les plus présents pour faire pressions). Ce nombre important et accru de chasseurs permettraient

:arrow: de répartir les charges qui pèsent sur eux.

:arrow: d'etre plus influents vis à vis des instances

:arrow: d'etre plus nombreux sur le terrain pour l'aménagement. Car les jeunes chasseurs d'aujourd'hui sont plus sensibilisés et plus actifs que leur prédécesseurs c'est un fait.

:arrow: de constituer un point d'encrage pour les nouveaux venus qui souhaiteraient entrer dans le milieu de la chasse.

Et aussi et surtout parce qu'une communauté en nombre qui se respecte met en place naturellement des règles et pousse vers la sortie les brebis galeuses (cf le forum).



La chasse a une mauvaise image parce qu'elle devient minoritaire voire marginale. Dans les régions rurales, le rapport à la chasse (même pour les non chasseurs) n'est pas du tout le même car la chasse est plus présente et plus répandue.

Alliez au nombre de chasseurs des opérations de communication et de découvertes comme celles menées par les sauvaginiers (les 24h de la sauvagines) et la chasse redorerait en tant soit peu son blason.



@+

Publié : 11 juil. 2007 18:27
par candide
Un: c'est pas ce qu'on m'a dit mais si c'est ça, partir c'est une solution de facilité



Deux: moi,quand on vient me chercher et que j'ai pas envie d'y aller, j'y vais pas!!!



Pour le reste, je ne vais plus dire que tout ce que tu dis n'est pas l'évangile, je n'ai pas vocation à la création de martyr.



Mais comme il est dit dans le post du dessus, dans ce que tu dis il y a beaucoup de choses génantes.

Publié : 11 juil. 2007 18:31
par maurice
très joli ton post, tartarin. Bien écrit et humoristique.

Bien!!!!!

Mais au délà des paralogismes, tu ne nous dis pas toi non plus comment vous ferez dans 10, 15 ans pour payer plus de dépenses avec forcément moins de chasseurs.

Me critiquer ou critiquer mon point de vue, c'est facile.

Mais la solution à la diminution drastique du nombre de porteurs de permis, tu ne l'as pas.

Et tu préfères même ignorer que le problème, pourtant inéluctable, existe.

Moi, tant que vous ne m'aurez pas dit comment vous ferez pour résoudre cette équation, je ne vois pas l'intérêt des critiques à celui qui propose qqle chose

Maurice

Publié : 11 juil. 2007 18:32
par candide
Sorti de la, vu l'ambiance que tu fais règner et pour eviter les echauffements mal maitrisés, je vais allez me coucher.

Que la nuit porte conseil à tous!!

Publié : 11 juil. 2007 18:36
par maurice
Quand on insiste alors que l'on se trompe sur des faits, il faut pouvoir le prouver, sinon ça devient de la diffamation.

Quand on ne fait rien, forcément on n'a pas ensuite le problème de savoir si on persiste ou si on démissionne.

On critique parce c'est plus facile

Publié : 11 juil. 2007 18:39
par candide
Et pour la critique, je crois que tu sais de quoi tu parles.



Pour la diffamation, relis bien la definition!!!



Pour le reste, bon vent prophète maudit, tu me fatigues alors arretons d'emmerder les autres sur le forum, on ne sera jamais d'accord, point!!

Publié : 11 juil. 2007 18:45
par Betasse
Re Maurice.

Je suis assez d'accord avec toi sur l'aspect financier de la chose.

Rien n'est gagné d'avance, mais rien ne serait perdu non plus.

Quand dans une communale on fait payer une carte de sociétaire 100 €, si on doit lâcher par saison 10 faisans à 10 € pour que le gars tire quelques cartouches, il n'y a aucun bénef!



Seul point qui me chagrine, et je l'ai déjà écrit, c'est que tu fais le pari

(et pas à 2 contre un) que lorsqu'il y aura entre 400 000 et 600 000 chasseurs nous serons (ou ils seront) admis et reconnus par tous!



Pour apporter de l'eau à ton moulin, j'ajoute que si dans le midi tu interdis le tir de la grive à la passée avant 8 h et après 17 h (horaires donnés à titre indicatif) , tu perds au moins 100 000 chasseurs de plus.



Je n'ai rien contre cette pratique lorsqu'elle est bien comprise.

Ce que je ne supporte plus ce sont ces gugus qui quittent le bistrot à

16 h, qui vont en voiture jusqu'à 50 m du poste, et là ça devient la foire!



2 ou 3 tireurs tirent la même grive, quelle que soit la distance de tir, et la plupart n'ont même pas un chien pour retrouver les bléssées.

Ce n'est pas grave! Ce qui compte ce n'est pas combien on en ramène, mais combien on en a descendu.

Comme si les grives étaient des plateaux , ou des ennemis dans un jeu vidéo!

J'oubliais: il ne vient à l'idée que d'une minorité de ramasser les douilles qui pourrissent (au bout de combien d'années?) sur place, comme si nous étions les seuls utilisateurs de la nature, ou comme s'il était normal de laisser sa merde derrière soi.

A+