Forum Chasse Passion, 1er forum de chasse en France

Salut,



Dans un premier temps, je tien absolument a vous faire part de cette article paru dans le Mensuel "Le Chasseur Français" du mois d'août 2007"



@Le chasseur Francais- aout 2007 -Julien Domingo wrote:Sangliers De la pénurie...à la saturation





















Personnellement, et je parle bien sur en tans que chasseurs de petit gibier je suis à 100 % d’accord avec cette article.

En effet, le grand gibier et plus particulièrement le sanglier provoquent à mon sens un fanatisme primaire chez nombre de chasseurs.

De ce faites on peu observer bien souvent des comportements anormaux parfois proche d’une dictature ayant pour seul mot d’ordre le sanglier.

A partir de ce moment là certain sont près a tout pour ne pas déranger l’hypothétique sanglier qui se promènerait dans les 10 km alentour.





Et vous, Qu'en pensez vous

C'est un peu comme la démocratie, tant qu'il y aura plus de chasseurs pour le gros que pour le petit......

la suite de l'article est aussi édifiante



elle montre bien le monopole des battues et ses dangers pour le futur de la chasse

oui, c'est le propre de l'homme, remplacer un monopole par un autre!!!

popey,tu ne peut pas me faire plus plaisir qu'en lancant ce sujet,j'ésitais a le faire car je me suis fait vider d'un forum concurent pour avoir OSER dire ce que je vais vous dire maintenant:

dans mon département le vaucluse et plus particulierement sur tout le ventoux et le luberon, les chasseurs de cochons poursuivent les sangliers en voiture, s'informe de la direction prise par le gibier par portable et localise les chiens avec leurs colliers gps pendant la chasse.

je precise qu'il ne sagit pas d'actes isolés mais bien de la pratique quasi générale de cette chasse ( les vrais chasseurs sont devenus l'exeption)

les sangliers sont tirés sur les routes , les promeneurs se font pourrir s'ils on le malheur de passer par là, les chasseurs de bécasse aussi bref c'est une honte, alors est ce que vous pensez vous aussi qu'il faut faire comme si de rien n'était ou comme moi qu'il faut dénoncer ça car celà va tuer notre passion

bonjour, bien evidement les memes problemes se retrouvent par chez nous, mais j'ose "carresser l'espoir d'une amelioration" a force de le dire le président de notre société de chasse s'est engagé dans une démarche d'une chasse au sanglier respectueuse, et ça commence a porter ses fruits bon ok dix ans aprés les premiers remarques aux équipes mais bon cela fait son chemin , il y en a encore a faire mais cette chasse est redevenue un peu plus réguliere vis a vis du gibier et des hommes qui fréquentent la nature le meme jour que nous chasseurs, alors ne perdez pas espoir et dites ce qui ne va pas meme si c'est, je le reconnais, risqué des fois. N'oublions pas non plus qu'une majorite de chasseurs de sangliers sont pour une chasse raisonnable et sont souvent entrainés par l"'effet de groupe comme dans bien d'autres activitées d'aiileur ! il faut aussi que les fédérations et les gardes jouent le jeux de la transparence et de l'honeteté pour épauler tous ceux qui souhaitent une ethique dans la pratique de cette belle chasse au sanglier si souvent décriée a cause du comportement de quelques uns.

Ce que je ne comprends pas ( et je le dis sans arriere pensee car ou je chasse on ne chasse pas le gros donc je n'ai jamais subi ce la), c'est que si la grande majorité des chasseurs est contre ces pratiques, comment perdurent elle depuis des années?



Les rares fois ou je suis allé chasser le cochon, je n'ai pas vu des gens irrespectueux des autres ni intolerants ( experience personnelle qui n'a aucune valeur statistiqueje le conçois).



Alors ou cet etat de fait perdure, comment cela peut il se faire puisque tout le monde semble contre?

j'envoie la suite de l'article qui répondra à certaines de tes questions...il est évident que ce n'est pas partout pareil..je connais moi aussi des battues ou tout se passe bien mais il faut admettre que pour la majorité.. cela se passe comme ça.......et comme il est dit dans l'article... chez nous ce sont eux qui commandent car les sociétés sont dirigées la plupart du temps par des retraités qui ont plus le temps que d'autres et généralement ce sont eux les chasseurs de battues.....je partage l'avis de ce Mr Debenest



SUITE



G)CH A S S E E N Q U Ê T E

encore les problèmes de cohabitation entre chasseurs qui sont pointés: « Depuis la période d’augmentation continue des populations de sangliers, qui a commencé dans les années 1980, c’est devenu la battue permanente !, se plaint ainsi un chasseur de l’Aude. C’est à peine si, avec nos chiens d’arrêt, nous sommes encore tolérés sur les territoires. » Devenus majoritaires en vingt ans, ce qui leur a souvent permis de s’emparer du pouvoir dans les sociétés de chasse, certains chasseurs de sanglier ont du mal à supporter le dérangement occasionné par « les petits chasseurs ». La tension est maintenant à son paroxysme, notamment avec les bécassiers, dont certains n’hésitent plus à parler de « la dictature du cochon », en raison de l’intolérance territoriale manifestée par les équipes de battue à leur égard.

• Fonds de chasse

et fonds de commerce

Pour autant, et malgré les plaintes de plus en plus nombreuses qui leur remontent sur ce thème, la plupart des fédérations de chasseurs se gardent bien d’intervenir dans ce dossier. En « off », c’est-à-dire de façon informelle et anonyme, un technicien d’une fédération méridionale avoue : « On ne va quand même pas se tirer une balle dans le pied. Le sanglier est devenu, sinon notre fonds de chasse, en tout cas notre fonds de commerce. L’avenir du petit gibier étant très incertain dans nos régions, le fait de privilégier les chasseurs de gros est dairement un pari sur l’avenir. » Approfondissant cette analyse, notre interlocuteur poursuit: « Il faut dire aussi que les chasseurs de grand gibier, structurés en équipes et en groupements, apparaissent plus puissants et mieux organisés que les petits chasseurs. Ils savent se faire entendre de façon bruyante quand on prend des mesures qui ne leur plaisent pas, comme l’allongement des périodes de chasse. Le fait de céder à leurs exigences revient à acheter la paix sociale. » Alors, le sanglier, garant de l’avenir

de la chasse ? ou bien gibier de toutes les pressions et de tous les chantages? L’une des seules études sérieuses sur le sujet a été présentée au récent colloque de Reims par un technicien fédéral du Vaucluse, Damel Debenest. Ce dernier, avec une pertinence et une lucidité remarquables, n’a pas hésité à analyser les deux volets du problème. D’un côté,

DE LA PASSION À LA DÉRIVE

.

« avec la diminution des migrateurs (...) et l’anéantissement brutal des populations de lapins par le VHD, les effectifs de chasseurs se seraient effondrés s’il n’y avait eu l’embellie qu’a connue le sanglier». Mais parallèlement, il faut faire très attention

aux « situations dans lesquelles l’ensemble du système repose sur un seul gibier », car, au moindre problème sur l’espèce, la chasse tout entière serait menacée d’effondrement. Pour rester dans un état durable d’équilibre, la chasse française n’a donc pas intérêt à se reposer sur le seul suidé : « Le sanglier sera un pilier de la chasse en France

si l’on n’attend pas tout de lui. II faut donc poursuivre les efforts pour améliorer la situation du petit gibier et maintenir une chasse riche et diversifiée », concluait, en février dernier, à Remis, Daniel Debenest.

JUUEN DOMNGO

Les tableaux piéthoriques sont parfois à l’origine de querelles lorsqu'il faut

préparer la venaison le soir venu

Du gibier convoité, recherché, traqué avec ferveur autrefois au manque de respect que l’on voit souvent désormais, en témoigne ce Lancer de sanglier, il n’y a qu’un mot : surabondance ! La bête noire mérite mieux.

Les collisions sont de plus en plus problématiques dans certains

secteurs. La hantise des assureurs.

LE CHASSEUR FRANÇAIS-AOUT 2007

C'est vrai que étant abonné au chasseur français, j'ai lu cette article, il tirent effectivement pour tuer, car je pense pas que sans la viande, il peuvent mourri de faim a l'epoque ou on est, mais en tout cas, il sont irrespectueux enver le sanglier qu'il leur a procuré de la joie qaund il est passé a coté, pousser par les chiens qui chantent derrière ce beau gibier pour annoncer son arrivé, chaque chasseur de gros c'est la joie, que ça lui procure quand il entend les chiens arriver, que le geai s'envole et que le snaglier passe, là, juste à coté, puis voilà les 30°, il epaule, il vise bien

et il tire, paf le sanglier, tombe, tout bon chasseur doit se dcoiffer et lui mettre une branche de buis dans la machoire, pour lui rendre les honneurs... Et ça, je peut vous assurer que il y en a très peu qu'il le font, moi je le fait, car sinon je m'en veut après, bon bien sur, il y a toujours des cons qu'il rigole mais je m'en fout !!



et bin, moi je chasse que le gros gibier (sanglier principalment et chervreuil, si on a pas de pas) pourquoi, je chasse en battue, c'est simple, il n'y a plus de petits gibier chez moi, lapin >> mixomatose, lièvre >> chasse, faucheuse, voiture !! perdreaux et faisans >> rien ormis les lachers, mais alors il faut se depecher à aller les tirer car soit les autres chasseurs sont là ou soit il se font bouffer par le renard ou autre



exemple : si le lachers se fait le samedi après-midi (la chasse est interdite les jours de lachers) environ 5 gibier par endroit, et bien chez moi le lendemain, il y aura 5-6 chasseurs, venu principalement à cet endroit, et pis l'après-midi, plus de gibier pour mon chien car j'étais au gros le matin, c'est lamentable, j'ai fait en chasse accompagné que 3perdreaux et 1 faisans...



le problème c'est que le gibier reste ensemble et donc, le chasseur voit la voiture qui les lache, et pis le lendemain, il va tué !



et pis même que des fois il revienne avec 3-4 gibier (alors que c'est 2 pièces par personne et par jour de chasse)



alors vous critiquer les chasseurs de gros mais regarder un peu les chasseurs de petit !!



Il y en a toujours pour pourrir la reputation des autres,

exemple : il y en a qui ramasse pas les douilles, d'autres ont l'arme chargé et fermé tenu par la longe sur l'épaule alors que la traque est terminé, d'autre ferme le fusil en levant le canon en direction des personne,d'autre epaule le fusil en direction d'autre personne avec le doigt sur la detente, d'autres tirent dans la traque, d'autre tir au travers des haies, alors qu'il y a quelqu'un derrière, d'autres tir plus que la norme 2lièvre au lieu de 1 ou 4 faisans au lieu de 2 !!



Alors critiquer pas les chasseurs de gros ni ceux du petits mais critiquer les irespectueux au ethique de la chasse !!



au fait, je croit que le sujet va partir en cou***e !! alors :deho:rs

Salut,



@Pan-Pan wrote:Alors critiquer pas les chasseurs de gros ni ceux du petits mais critiquer les irrespectueux au ethique de la chasse !!



Attention, le but, n'est pas de critiquer, les chasseurs de gros surtout que je suis d'accord avec toi, il y a de irrespectueux partout.

Non, je pense que le but de ce topic et de faire valoir, tous les modes de chasse.



Maintenant, le simple bois de plus de 2 hectares est un bois susceptible d'accueillir un sanglier, donc réquisitionné pour cela.

Quand au discours, je chasse le sanglier parce qu’il n’y a que ça, personnellement je n’y crois pas.

Déjà, de nos jours pour avoir du gibier « Gros ou petit » sur un territoire, il faut le rendre accueillant et il faut le vouloir, ça n’arrive pas en deux jours et pas en claquant des doigt.

Puis sauf erreur de ma part le migrateur est plus ou moins partout il suffit de savoir le chercher.



Moi personnellement, je n’arrive pas à comprendre quand dans une chasse ont fait 1 sangliers par ans que l'on m'interdise d’aller tirer ma perdrix dans les betteraves ou d’aller lever ma bécasse dans le bois sous prétexte de ne pas gêner un hypothétique sanglier.

Car l’odeur de poudre, le passage du chien ou encore le bruit du coup de fusil pourrait rendre le territoire défavorable à l’accueil de ce sanglier tans attendu.



Voici pour exemple d'une de mes mésaventures:



Mes parents sont arrivée ici en Seine-et-Marne en 1986, de suite mon père c'était rapproché d'une des chasses les plus proches qui était a l'époque une formidable chasse à petit gibier :



En gros a l’époque cette chasse ressemblait grosso modo à :

20 actionnaires ;

750 hectares ;

Dès agrainoires partout, remplient chaque jour,

Du piégeage continu, tétérrage, affût

Palombière et postes a pigeons

Des aménagements « Garenne artificiel, Coupe, Cultures à gibier, volières, construction de marre ect… »

Puis des prélèvements plus qu’honorables et mêmes à la limite de l’excès qui ressemblait a cela :

100 à 150 "perdrix par ans et autant de faisans,

Environs 80 bécasses par ans, et des prélèvements identiques en canards

Ainsi qu’une bonne centaines de lapins et près de 300 pigeons"

Je vous passe les grives, tourterelles, bécassines et vanneaux.

Bref dans cette chasse le gros gibier ce limitait à 5 bracelets chevreuil.



Pour faire une synthèse, cette société de chasse privée était à mon sens très bien, il y résidait une ambiance amicale voir familiale qui ce traduisait par une chasse entres amis ou chacun faisait un peut ce qu’il souhaitait.

Nous faisions quelques battues pour les perdreaux et le chevreuil, puis après chacun faisait ce qu’il souhaitait.

Nous pouvions même venir le samedi ou en semaine pour venir au migrateurs, et le soir pour faire la passé dans les marais.

Chaque année nous faisions plusieurs méchouis, et organisions notre ball-trap annuel.





Puis dans les années 95 nous avons vue arrivée le sanglier.

Et la c’est vite devenue la bérézina

Heure impérative,

Plus de chasse en individuel,

Plus de chasse le samedi,

Plus de chasse en semaine,

Plus de passé autorisé,

Plus d’agrainage,

Mais aussi :

Augmentation de l’action,

Diminution du territoire,

Départ des anciens,

Carabines obligatoires,

…



L’ambiance devenait invivable, avec :

Une jalousie l’attente,

Des altercations perpétuelle arrivant même a des bagarres,

Des méfiances,

Bref j’ai fini, comme beaucoup par être dégoûté pourtant j’étais à l’époque un jeune chasseur impatient sujet à une passion brûlante… Mais voila l’ambiance ne correspondait plus à ma vision de la chasse. En effet si je viens à la chasse c’est pour le calme, la convivialité, l’amour de la nature etc … donc j’ai fini par partir, l’année d’après mon père a fait de même et ces amis aussi.