Publié : 11 déc. 2008 20:49
Motion Pour le Député BIGNON
Gironde le 8 décembre 2008
Les Chasseurs girondins n’acceptent plus l’injustice et le mépris qui résulte de la Table Ronde « chasse » :
Les chasseurs girondins ne reconnaissent en rien la table ronde emmenée par le président du groupe chasse à l’Assemblée Nationale Jérôme Bignon et l’accusent d’un véritable déni de démocratie ! Preuve en est, de la dernière feuille de route adressée par le ministre Jean-Louis Borloo à Jérôme Bignon.
Les chasseurs girondins jugent inacceptable la dernière table ronde sur les dates de fermeture des oiseaux où le seul accord semble porter sur la fermeture des canards au 10 février (hors chipeau et colvert : 31 janvier). Ni les oies, ni les limicoles (malgré les données scientifiques incontestables pour ces derniers !) n’on fait l’objet d’un accord des protecteurs pour le 10 février.
Les chasseurs girondins dénoncent la mauvaise foi dont fait preuve l’ensemble des associations protectionnistes, demandant « toujours plus » (ex : remise en cause de la fermeture des grives !) tout en se gardant bien d’avouer les négociations de copinage en sous-main qu’elles mènent avec le ministre.
Les chasseurs en colère attendent désormais qu’après une ultime consultation du CNCFS, repoussé finalement au 15 décembre, le ministre prenne ses responsabilités, confronté qu’il est aux limites de sa méthode de concertation, qu’il a lui-même mise à mal par ses engagements personnels douteux à l’égard de quelques protecteurs.
Les chasseurs affirment qu’ils peuvent chasser des espèces en bon état de conservation jusqu’au dernier jour de février.
Enfin, les chasseurs girondins n’acceptent plus ce parjure permanent des membres de la majorité gouvernementale en matière de promesses cynégétiques et ils attendent du député Jérôme Bignon qu’il se dédouane des basses manœuvres de son ministre de l’écologie afin d’honorer par son travail parlementaire les chasseurs qui lui ont apporté sur un plateau d’argent son élection de député face au candidat socialiste Vincent Peillon.
La roue tourne est les sanctions tomberont pour haute trahison électorale !
Enfin, les chasseurs girondins dénoncent l’inacceptable chèque en blanc donné aux extrémistes de la bobo-écologie en imposant aux ruraux, chasseurs, pêcheurs et autres utilisateurs de la nature le réseau natura 2000 mer et terre avant une indispensable modification des textes d’une directive 79/409 et 92/43 jugée imprécise et illégale.
Gironde le 8 décembre 2008
Les Chasseurs girondins n’acceptent plus l’injustice et le mépris qui résulte de la Table Ronde « chasse » :
Les chasseurs girondins ne reconnaissent en rien la table ronde emmenée par le président du groupe chasse à l’Assemblée Nationale Jérôme Bignon et l’accusent d’un véritable déni de démocratie ! Preuve en est, de la dernière feuille de route adressée par le ministre Jean-Louis Borloo à Jérôme Bignon.
Les chasseurs girondins jugent inacceptable la dernière table ronde sur les dates de fermeture des oiseaux où le seul accord semble porter sur la fermeture des canards au 10 février (hors chipeau et colvert : 31 janvier). Ni les oies, ni les limicoles (malgré les données scientifiques incontestables pour ces derniers !) n’on fait l’objet d’un accord des protecteurs pour le 10 février.
Les chasseurs girondins dénoncent la mauvaise foi dont fait preuve l’ensemble des associations protectionnistes, demandant « toujours plus » (ex : remise en cause de la fermeture des grives !) tout en se gardant bien d’avouer les négociations de copinage en sous-main qu’elles mènent avec le ministre.
Les chasseurs en colère attendent désormais qu’après une ultime consultation du CNCFS, repoussé finalement au 15 décembre, le ministre prenne ses responsabilités, confronté qu’il est aux limites de sa méthode de concertation, qu’il a lui-même mise à mal par ses engagements personnels douteux à l’égard de quelques protecteurs.
Les chasseurs affirment qu’ils peuvent chasser des espèces en bon état de conservation jusqu’au dernier jour de février.
Enfin, les chasseurs girondins n’acceptent plus ce parjure permanent des membres de la majorité gouvernementale en matière de promesses cynégétiques et ils attendent du député Jérôme Bignon qu’il se dédouane des basses manœuvres de son ministre de l’écologie afin d’honorer par son travail parlementaire les chasseurs qui lui ont apporté sur un plateau d’argent son élection de député face au candidat socialiste Vincent Peillon.
La roue tourne est les sanctions tomberont pour haute trahison électorale !
Enfin, les chasseurs girondins dénoncent l’inacceptable chèque en blanc donné aux extrémistes de la bobo-écologie en imposant aux ruraux, chasseurs, pêcheurs et autres utilisateurs de la nature le réseau natura 2000 mer et terre avant une indispensable modification des textes d’une directive 79/409 et 92/43 jugée imprécise et illégale.