Publié : 17 juin 2007 09:51
Bonjour,
Voici une petite définition de la chasse que je viens de trouver. Contrairement aux autres que j'ai vu, celle-ci à l'avantage de contenir aucun argument anti-chasse, et donc elle est très juste car elle est faite à partir de constatations et de logique. Qu'en pensez-vous ?
Chasse :
La chasse est une activité qui consiste à traquer les animaux pour les tuer. La France est le pays de l’Europe ayant le plus grand nombre de chasseurs, d’espèces chassables, ainsi que les plus grandes périodes de chasse. Cette activité, qui parait indispensable, n’est en réalité que le loisir de tuer.
En effet, il ne s’agit pas d’une nécessité écologique. Chaque année, des millions d’animaux sont lâchés dans la nature. Ces lâchers de « tir » n’ont qu’une seule finalité : offrir plus de cibles aux chasseurs. D'autre part, les grands animaux (cerfs, renards…) sont munis d'un processus de régulation. Par exemple, les animaux vivants en groupes se reproduisent en fonction des intérêts du groupe, et en cas de surpopulation, le taux de naissances diminue. On retrouve des similitudes chez de nombreuses espèces d’oiseaux, qui adaptent leurs couvaisons suivant la densité de leur population. Il faut aussi prendre en compte l’impact du trafic routier ainsi que les intempéries. Seuls les petits animaux (tels les petits rongeurs) présentent un risque de prolifération. Cependant leurs prédateurs naturels peuvent empêcher les surpopulations. Mais les carnivores (renards, martres, fouines, belettes…) sont classés « nuisible » afin qu’ils puissent être détruis toute l’année ! De plus, il n’est pas rare que les chasseurs « aident » les animaux sauvages (sangliers par exemple) en les nourrissant. Il ne faut pas oublier que les chasseurs introduisent et lâchent des colins, cailles de Chine, faisans vénérés, perdrix choukar… La chasse, telle elle ai pratiquée en France, ne peut donc en aucun cas être justifier par une nécessité écologique, car se sont les chasseurs qui créent les surpopulations pour continuer à chasser. Et si toutefois une espèce devenait trop abondante, alors la solution la plus pertinente consisterait à capturer certains individus afin de les relâcher dans des zones à repeupler (tel fut le cas pour les cerfs de Chambord), ou bien à récupérer/stériliser les œufs (comme actuellement pour les goélands).
Les chasseurs, alors qu’ils se nomment « protecteur de la nature », polluent et détruisent la nature et ses habitants. En effet, des tonnes de plombs ou autres métaux sont versés dans la nature chaque année, ainsi que des milliards de cartouches. Aussi, il ne faut pas oublier que c’est à cause de la chasse que certaines espèces ont ou avaient disparu (par exemple : les loups, loutres, outardes barbues…).
Autrefois lorsque la nourriture se faisait rare, la chasse permettait de se nourrir et donc de survivre. Ce n’est plus le cas actuellement, il est évidement possible de vivre sans aller chasser les animaux sauvages. De plus, certains chasseurs tuent un très grand nombre d’animaux, notamment lorsque qu’ils ont payés chers et qu’ils pensent que c’est une façon de rentabiliser, alors qu’ils leurs est impossibles de pouvoir tous les consommer ! On en conclut que les chasseurs n’étant pas satisfaits des animaux domestiques, élevés, maltraités et tués pour nourrir les Hommes, s’autorisent pour leur plaisir à aller mettre à morts ceux qui sont encore en liberté !
Les chasseurs utilisent diverses pratiques très cruelles pour tuer les animaux. On retrouve la chasse à courre, qui consiste à poursuivre jusqu'à épuisement l’animal, puis de tuer cet animal presque mort d’essoufflement et de blessures à l’aide d’une dague, d’un fusil, ou bien en le noyant ! Il existe aussi la vénerie sous terre, où l’animal est délogé du fond de son terrier par des chiens (ou en creusant), puis est « arraché » de celui-ci à l’aide pinces. Depuis 1995, la chasse à l’arc est autorisée, alors que généralement pas tué sur le coup, l’animal souvent mal recherché meure caché dans la forêt, ce qui est totalement inadmissible !
On peut conclure, qu’actuellement en France, la chasse est pratiquée simplement pour le plaisir pervers de tuer, pour se retrouver en amis afin de se défouler sur l’animal innocent … alors qu’il n’existe aucune nécessité imposant de maintenir cette activité d’un temps révolus.
Voici une petite définition de la chasse que je viens de trouver. Contrairement aux autres que j'ai vu, celle-ci à l'avantage de contenir aucun argument anti-chasse, et donc elle est très juste car elle est faite à partir de constatations et de logique. Qu'en pensez-vous ?
Chasse :
La chasse est une activité qui consiste à traquer les animaux pour les tuer. La France est le pays de l’Europe ayant le plus grand nombre de chasseurs, d’espèces chassables, ainsi que les plus grandes périodes de chasse. Cette activité, qui parait indispensable, n’est en réalité que le loisir de tuer.
En effet, il ne s’agit pas d’une nécessité écologique. Chaque année, des millions d’animaux sont lâchés dans la nature. Ces lâchers de « tir » n’ont qu’une seule finalité : offrir plus de cibles aux chasseurs. D'autre part, les grands animaux (cerfs, renards…) sont munis d'un processus de régulation. Par exemple, les animaux vivants en groupes se reproduisent en fonction des intérêts du groupe, et en cas de surpopulation, le taux de naissances diminue. On retrouve des similitudes chez de nombreuses espèces d’oiseaux, qui adaptent leurs couvaisons suivant la densité de leur population. Il faut aussi prendre en compte l’impact du trafic routier ainsi que les intempéries. Seuls les petits animaux (tels les petits rongeurs) présentent un risque de prolifération. Cependant leurs prédateurs naturels peuvent empêcher les surpopulations. Mais les carnivores (renards, martres, fouines, belettes…) sont classés « nuisible » afin qu’ils puissent être détruis toute l’année ! De plus, il n’est pas rare que les chasseurs « aident » les animaux sauvages (sangliers par exemple) en les nourrissant. Il ne faut pas oublier que les chasseurs introduisent et lâchent des colins, cailles de Chine, faisans vénérés, perdrix choukar… La chasse, telle elle ai pratiquée en France, ne peut donc en aucun cas être justifier par une nécessité écologique, car se sont les chasseurs qui créent les surpopulations pour continuer à chasser. Et si toutefois une espèce devenait trop abondante, alors la solution la plus pertinente consisterait à capturer certains individus afin de les relâcher dans des zones à repeupler (tel fut le cas pour les cerfs de Chambord), ou bien à récupérer/stériliser les œufs (comme actuellement pour les goélands).
Les chasseurs, alors qu’ils se nomment « protecteur de la nature », polluent et détruisent la nature et ses habitants. En effet, des tonnes de plombs ou autres métaux sont versés dans la nature chaque année, ainsi que des milliards de cartouches. Aussi, il ne faut pas oublier que c’est à cause de la chasse que certaines espèces ont ou avaient disparu (par exemple : les loups, loutres, outardes barbues…).
Autrefois lorsque la nourriture se faisait rare, la chasse permettait de se nourrir et donc de survivre. Ce n’est plus le cas actuellement, il est évidement possible de vivre sans aller chasser les animaux sauvages. De plus, certains chasseurs tuent un très grand nombre d’animaux, notamment lorsque qu’ils ont payés chers et qu’ils pensent que c’est une façon de rentabiliser, alors qu’ils leurs est impossibles de pouvoir tous les consommer ! On en conclut que les chasseurs n’étant pas satisfaits des animaux domestiques, élevés, maltraités et tués pour nourrir les Hommes, s’autorisent pour leur plaisir à aller mettre à morts ceux qui sont encore en liberté !
Les chasseurs utilisent diverses pratiques très cruelles pour tuer les animaux. On retrouve la chasse à courre, qui consiste à poursuivre jusqu'à épuisement l’animal, puis de tuer cet animal presque mort d’essoufflement et de blessures à l’aide d’une dague, d’un fusil, ou bien en le noyant ! Il existe aussi la vénerie sous terre, où l’animal est délogé du fond de son terrier par des chiens (ou en creusant), puis est « arraché » de celui-ci à l’aide pinces. Depuis 1995, la chasse à l’arc est autorisée, alors que généralement pas tué sur le coup, l’animal souvent mal recherché meure caché dans la forêt, ce qui est totalement inadmissible !
On peut conclure, qu’actuellement en France, la chasse est pratiquée simplement pour le plaisir pervers de tuer, pour se retrouver en amis afin de se défouler sur l’animal innocent … alors qu’il n’existe aucune nécessité imposant de maintenir cette activité d’un temps révolus.