Publié : 16 sept. 2007 13:49
Salut à vous chers amis,
Je souhaite vous racontez une petit aventure qui mes arrivé cet semaine.
Afin de faire face à un léger déclin sur notre population de perdrix grise nous avons décidé à la fin de la saison précédente d’entreprendre un petit projet de raccommodage.
Car depuis quelques années « L’arrivée du sangliers, le départ de certains » l’agrainage et le piégeages avait été délaisser au profit d’une pratique à la con « Les lâchée de tir ».
Suite au changement de bureau nous avons donc décidé d’organiser :
- Un réaménagement des territoires (Agrainoire, Abreuvoir, Cultures de couvert) ;
- Une reprise du piégeage ;
- Une fortification des populations par l’ajout de plusieurs compagnies
En effet nous avons relâchée au total près de 150 oiseaux réparties en 10 compagnies sur 300 des 600 hectares que nous disposons.
A savoir que les compagnies sont composées de deux adultes et de 12 jeunes.
Bref, après quelques mois et en vue de l’ouverture de la chasse nous avons décidé cette semaine de faire un petit point pour connaître la performance et le résultat de nos efforts
Je suis parti avec un ami pour voir un peu les cultures, la fréquentation des agrainoires, les nouveaux territoires acquis etc...
Alors que nous étions dans un chemin entrain de faire le point, deux cavaliers avec qui nous avons déjà eu quelques mots nous accostent très gentiment avec comme premières paroles :
Les cavaliers : Quesqu’y veux, y c’est perdu ?
Sans vouloir rentrer dans la confrontation mais m’attendant au pire je leur réponds avec ma légendaire finesse :
Moi : Nous non, mais apparemment vous oui.
Pas de réponse de la part des cavaliers si ce n’est :
Les cavaliers : Et Quesqu’ils font encore d’abord?
Mon ami : Nous, nous occupons de la nature
Les cavaliers : Première nouvelle
Mon ami : Oui nous réimplantons des animaux et faisons le point sur les populations de gibier
Les cavaliers : Et il réimplante quoi ?
Mon ami : Nous avons réimplanté près de 150 perdrix il y as plusieurs mois
Je vais vous avouez que là je me suis dit, merde elle va se rappeler que nous somme les chasseurs quel insultes d’assassin tous les week-end et on va encore s’en prendre plein la tête
Mais non, la réponse fut très très inattendu
Les cavaliers : Ahhhhhhh bah non mon pauvre faut pas faire ça !!! les perdrix ça fait peur au chevaux et après nous on tombe
Sur le cul, nous n’avons plus rien dit et les cavaliers sont repartis chez eux à travers champ
Bref, cela montre la profondeur des convictions d'une personne qui :
- nous trouve intolérant;
- nous insultes d’assassin;
- juge que l’on ne respect pas la nature.
Mais qui ne souhaite pas voir une perdrix au bord des chemins pour pas tomber de cheval (Chose qui m’étonne toujours d’ailleurs).
Je souhaite vous racontez une petit aventure qui mes arrivé cet semaine.
Afin de faire face à un léger déclin sur notre population de perdrix grise nous avons décidé à la fin de la saison précédente d’entreprendre un petit projet de raccommodage.
Car depuis quelques années « L’arrivée du sangliers, le départ de certains » l’agrainage et le piégeages avait été délaisser au profit d’une pratique à la con « Les lâchée de tir ».
Suite au changement de bureau nous avons donc décidé d’organiser :
- Un réaménagement des territoires (Agrainoire, Abreuvoir, Cultures de couvert) ;
- Une reprise du piégeage ;
- Une fortification des populations par l’ajout de plusieurs compagnies
En effet nous avons relâchée au total près de 150 oiseaux réparties en 10 compagnies sur 300 des 600 hectares que nous disposons.
A savoir que les compagnies sont composées de deux adultes et de 12 jeunes.
Bref, après quelques mois et en vue de l’ouverture de la chasse nous avons décidé cette semaine de faire un petit point pour connaître la performance et le résultat de nos efforts
Je suis parti avec un ami pour voir un peu les cultures, la fréquentation des agrainoires, les nouveaux territoires acquis etc...
Alors que nous étions dans un chemin entrain de faire le point, deux cavaliers avec qui nous avons déjà eu quelques mots nous accostent très gentiment avec comme premières paroles :
Les cavaliers : Quesqu’y veux, y c’est perdu ?
Sans vouloir rentrer dans la confrontation mais m’attendant au pire je leur réponds avec ma légendaire finesse :
Moi : Nous non, mais apparemment vous oui.
Pas de réponse de la part des cavaliers si ce n’est :
Les cavaliers : Et Quesqu’ils font encore d’abord?
Mon ami : Nous, nous occupons de la nature
Les cavaliers : Première nouvelle
Mon ami : Oui nous réimplantons des animaux et faisons le point sur les populations de gibier
Les cavaliers : Et il réimplante quoi ?
Mon ami : Nous avons réimplanté près de 150 perdrix il y as plusieurs mois
Je vais vous avouez que là je me suis dit, merde elle va se rappeler que nous somme les chasseurs quel insultes d’assassin tous les week-end et on va encore s’en prendre plein la tête
Mais non, la réponse fut très très inattendu
Les cavaliers : Ahhhhhhh bah non mon pauvre faut pas faire ça !!! les perdrix ça fait peur au chevaux et après nous on tombe
Sur le cul, nous n’avons plus rien dit et les cavaliers sont repartis chez eux à travers champ
Bref, cela montre la profondeur des convictions d'une personne qui :
- nous trouve intolérant;
- nous insultes d’assassin;
- juge que l’on ne respect pas la nature.
Mais qui ne souhaite pas voir une perdrix au bord des chemins pour pas tomber de cheval (Chose qui m’étonne toujours d’ailleurs).