Publié : 25 mai 2009 11:30
Bonjour à tous,
je fais partie d'une société de chasse sur une île, dont la moitié est classée natura 2000, réserve ornitologique, minérale et florale.
Cette année, nous avons commencé à piéger les corneilles, et avons même été sollicités par la réserve naturelle pour y disposer des cages à corvidés, pour protéger de la prédation les espèces marines nidificatrices à faibles effectifs.
Tout c'est trés bien passé jusqu'au moment où la presse à fait écho de notre action. Dans les deux jours qui ont suivi la parution du journal, les trois appelants des cages que nous avions mises en place ont été libérés.
Alors à tous ceux qui s'exclament "pauvre bête" en voyant des corneilles dans un piège, je répond que des espèces sont protégées, et d'autres nuisibles, que des chasseurs oeuvrent à la sauvegarde des unes en limitant la prolifération des autres.
Il est très facile de se laisser manipuler depuis son canapé via les médias par des organisations animalistes
dont le fond de commerce est de casser du sucre sur le dos des chasseurs. Le moment est venu d'arrêter les caricatures et de se rendre compte que les chasseurs sont des personnes qui passent beaucoup de temps dans la nature, qu'un travail de gestion et de protection des milieux est engagé un peu partout en France afin de lutter pour la sauvegarde de la nature et par là même, en faire profiter les autres. Par exemple, dans beaucoup d'endroits, l'entretien des sentiers par les chasseurs permet à tous de profiter de ballades sans griffures de ronces, et de pouvoir passer avec une poussette et les enfants pour aller aux champignons ou aux chataîgnes, je le sais car j'y emmène les miens et je croise des familles.
Alors, voilà, j'avais un coup de gueule à pousser, je l'ai fait!
je fais partie d'une société de chasse sur une île, dont la moitié est classée natura 2000, réserve ornitologique, minérale et florale.
Cette année, nous avons commencé à piéger les corneilles, et avons même été sollicités par la réserve naturelle pour y disposer des cages à corvidés, pour protéger de la prédation les espèces marines nidificatrices à faibles effectifs.
Tout c'est trés bien passé jusqu'au moment où la presse à fait écho de notre action. Dans les deux jours qui ont suivi la parution du journal, les trois appelants des cages que nous avions mises en place ont été libérés.
Alors à tous ceux qui s'exclament "pauvre bête" en voyant des corneilles dans un piège, je répond que des espèces sont protégées, et d'autres nuisibles, que des chasseurs oeuvrent à la sauvegarde des unes en limitant la prolifération des autres.
Il est très facile de se laisser manipuler depuis son canapé via les médias par des organisations animalistes
dont le fond de commerce est de casser du sucre sur le dos des chasseurs. Le moment est venu d'arrêter les caricatures et de se rendre compte que les chasseurs sont des personnes qui passent beaucoup de temps dans la nature, qu'un travail de gestion et de protection des milieux est engagé un peu partout en France afin de lutter pour la sauvegarde de la nature et par là même, en faire profiter les autres. Par exemple, dans beaucoup d'endroits, l'entretien des sentiers par les chasseurs permet à tous de profiter de ballades sans griffures de ronces, et de pouvoir passer avec une poussette et les enfants pour aller aux champignons ou aux chataîgnes, je le sais car j'y emmène les miens et je croise des familles.
Alors, voilà, j'avais un coup de gueule à pousser, je l'ai fait!