Publié : 12 févr. 2012 22:15
Bonjours
Bon c’est un coup de gueule
Je ne suis pas chasseur, mais je n’ai rien contre l’idée de la chasse.
Mais je suis ulcéré par le comportement des chasseurs
Par chez moi, les gens se claquemurent les jours chassés, ils ont peur des chasseurs, je les comprends. Non seulement ça tire dans tous les sens, mais les fusils cassés, la sobriété, le sourire ou la moindre des politesses (« bonjours » par exemple) sont absents de la plupart des répertoires.
Le président du coin essaye bien de faire régner l’ordre dans ses ouailles, mais il à faire à forte parti, et a déjà reçu du plomb dans les volets. Ce n’est pas un cas isolé. Lors de mes pérégrinations, je n’ai pas trouvé un village où des problèmes liés aux chasseurs n’avaient cours.
J’ai plus d’expériences négatives que positives avec les chasseurs, et autour de moi c’est pareil. Pour ma part de ce que je côtoie, il y’a une minorité de viandards dangereux, une majorité de monsieur tout le monde, et une minorité qui impose le respect.
Si cette dernière minorité pouvait faire comprendre à cette majorité qu’il ne faut pas soutenir la minorité de viandard sous couvert de préserver la chasse ça serait parfait.
Il faudrait faire le ménage, des abrutit, il y en a partout, mais des abrutit armés de calibre 12, ça se désarme.
Quelle solution ? Le dimanche non chassé, en attendant que les (mauvais) chasseurs comprennent ? Un permis plus dur à passer, avec plus de formation et test ? Des contrôles d’alcoolémies ? Vous êtes déjà submergé par les règlements, mais comment faire, sinon, pour faire respecter le droits aux usagers de partager la campagne ? d’y vivre, d’y travailler en sécurité ?
Car vous utilisez une arme, et des règles simples (mais parfois chiante, je sais) de sécurité permettent de l’utiliser sans autre risque que la fatalité d’un ricochet pour le chasseur lui-même. Le nombre d’accident devraient, non, DOIT être proches de zéro.
Pour avoir le droit d’utiliser une arme, il faut montrer un comportement mature, calme, mais surtout EXEMPLAIRE.
Trop de chasseurs se cachent derrière leurs fusils pour faire valoir leurs avis, s’en servant comme passe-droit. Trop de chasseurs savent et laissent faire, où baissent les bras après avoir essayé.
Dans les petits villages du coin (Cévennes), en cas de différent, peu de personnes osent porter plainte, de peur de vengeance. La chasse est en train de passer pour une passion dangereuse, égoiste et inutile pour les non chasseurs.
Appeler l’assos de chasse la plus proche reste sans doute ce qu’il y a de mieux à faire en cas de problemes, mais avec des résultats mitigés.
Tant qu’une minorité de tartarin feront peser un malaise, un risque, les gens n’aimeront pas les chasseurs qu'ils soient bon ou mauvais.
Quelle solution ?
Bon c’est un coup de gueule
Je ne suis pas chasseur, mais je n’ai rien contre l’idée de la chasse.
Mais je suis ulcéré par le comportement des chasseurs
Par chez moi, les gens se claquemurent les jours chassés, ils ont peur des chasseurs, je les comprends. Non seulement ça tire dans tous les sens, mais les fusils cassés, la sobriété, le sourire ou la moindre des politesses (« bonjours » par exemple) sont absents de la plupart des répertoires.
Le président du coin essaye bien de faire régner l’ordre dans ses ouailles, mais il à faire à forte parti, et a déjà reçu du plomb dans les volets. Ce n’est pas un cas isolé. Lors de mes pérégrinations, je n’ai pas trouvé un village où des problèmes liés aux chasseurs n’avaient cours.
J’ai plus d’expériences négatives que positives avec les chasseurs, et autour de moi c’est pareil. Pour ma part de ce que je côtoie, il y’a une minorité de viandards dangereux, une majorité de monsieur tout le monde, et une minorité qui impose le respect.
Si cette dernière minorité pouvait faire comprendre à cette majorité qu’il ne faut pas soutenir la minorité de viandard sous couvert de préserver la chasse ça serait parfait.
Il faudrait faire le ménage, des abrutit, il y en a partout, mais des abrutit armés de calibre 12, ça se désarme.
Quelle solution ? Le dimanche non chassé, en attendant que les (mauvais) chasseurs comprennent ? Un permis plus dur à passer, avec plus de formation et test ? Des contrôles d’alcoolémies ? Vous êtes déjà submergé par les règlements, mais comment faire, sinon, pour faire respecter le droits aux usagers de partager la campagne ? d’y vivre, d’y travailler en sécurité ?
Car vous utilisez une arme, et des règles simples (mais parfois chiante, je sais) de sécurité permettent de l’utiliser sans autre risque que la fatalité d’un ricochet pour le chasseur lui-même. Le nombre d’accident devraient, non, DOIT être proches de zéro.
Pour avoir le droit d’utiliser une arme, il faut montrer un comportement mature, calme, mais surtout EXEMPLAIRE.
Trop de chasseurs se cachent derrière leurs fusils pour faire valoir leurs avis, s’en servant comme passe-droit. Trop de chasseurs savent et laissent faire, où baissent les bras après avoir essayé.
Dans les petits villages du coin (Cévennes), en cas de différent, peu de personnes osent porter plainte, de peur de vengeance. La chasse est en train de passer pour une passion dangereuse, égoiste et inutile pour les non chasseurs.
Appeler l’assos de chasse la plus proche reste sans doute ce qu’il y a de mieux à faire en cas de problemes, mais avec des résultats mitigés.
Tant qu’une minorité de tartarin feront peser un malaise, un risque, les gens n’aimeront pas les chasseurs qu'ils soient bon ou mauvais.
Quelle solution ?