Publié : 04 mars 2010 14:33
Bonjour.
Ben, voilà la « sale histoire » qui m’arrive.
Il y a un an et deux mois et demi, mi- décembre 2008, je casse la tirelire et je m’offre une Browning 270 Short Track en « édition limité ». C'est-à-dire qu’elle n’est « soit disant » fabriquée qu’à 500 exemplaire avec une belle gravure et un N° d’arme unique. J’étais tout content de pouvoir me payer une arme pareille après des mois d’économies. Hormis le fait que, comme je l’ais raconté dans un précédant post, je ne « sentais pas bien cette arme », c’était tout de même une sacrée belle arme. En tout cas, pour moi. Et, « sentir bien ou pas », cela n’est que personnel et ne remet pas en cause une arme.
En novembre dernier (2009), je remarque, à la sortie du canon, sur la bande de battue et sur les gravures des points de rouille. Je vais voir mon armurier qui téléphone à Browning. Ces derniers assurent que l’arme sera réparée du fait de ma date d’achat. Oui, parce que l’armurerie, elle, l’avait depuis presque un an avant de me la vendre. Mais, moi, je veux terminer ma saison de chasse. Alors, l’armurier, au téléphone, devant moi, explique le dilemme et obtient la garantie qu’il peut la renvoyer une fois la saison de chasse finie, que « Mr Browning » comprend le problème, qu’ils la maintiendront en garantie. Je ramène donc la carabine dès la fin de la saison. Pour nous, en haute montagne Ariégeoises, fermeture le 31 janvier 2009.
Aujourd’hui je reçois un coup de fil de mon armurier. Il est désolé. Et moi donc ! Browning lui aurait dit qu’après démontage de l’arme ils constataient qu’elle n’avait jamais été entretenue et que donc ils refusaient de prendre la réparation en garantie. Le canon serait fichu, la bande de battue, le mécanisme interne de la gâchette. Autant dire quasiment l’intégralité des métaux constituant l’arme ! Il ne reste plus que le bois et le plastique de bon ! Conclusion, la réparation (plutôt le changement des pièces !) coute 900€ pour une arme en valant 1500 et que j’avais payé grâce à des « remises et autres promotions » 1300 !!! Ma conclusion est que je peux la mettre à la poubelle ! Celle de mon armurier est la même.
Alors, plusieurs questions…
Cette arme n’a effectué qu’une vingtaine de sorties (car nous ne chassons que le dimanche) et n’a que 1 an et de mois et demi. Est-ce qu’une arme d’une soit disant si bonne marque peut-être fichue si peu de temps après et après une si faible utilisation ?!
En ce qui concerne l’entretien, je ne suis ni armurier, ni spécialiste en réparation d’arme. Voici ce que je faisais après une utilisation par temps de pluie ou neige : Une fois chez moi, le dimanche soir, je séchais la carabine avec de l’essuie-tout. Ensuite je l’enveloppais dans un drap en coton sur lequel j’avais pulvérisé de la « graisse pour arme » vendue en bombe aérosol. Je laissais la carabine droite sur sa crosse pour qu’elle finisse de sécher à l’air libre. Ne revenant à la montagne que le vendredi soir, ce n’est qu’à ce moment là que je pulvérisais la même « graisse » dans le canon, entre le canon et le « bois de devant que l’on tient avec sa main » (je sais pas comment s’appelle cette pièce…), dans l’orifice d’éjection des douilles et, enfin, par les fentes de la gâchette. Ce, chaque semaine le vendredi soir. Plus un peu d’huile sur les parties boisées. Que devais-je faire de plus ?! Passer un BTS d’armurier pour savoir démonter absolument entièrement l’arme ?! Donc, devais-je faire des « choses » en plus ? Et comment une Remington 280 a pu tenir 11 ans avec le traitement alors qu’elle vaut moitié moins chère ?!
Ensuite, sachant que j’écris sur un forum, ce n’est donc pas pour « mettre la pression » sur Bronwning mais, ne me « sentant pas bien » avec cette arme, je comptais la revendre pour acheter une 300 de la même marque. Mais, après cette sale histoire, comment puis-je faire confiance à cette marque au niveau de la relation client mais aussi, et surtout, au sujet de la qualité des matériaux utilisés pour la conception de leurs armes ? Comment ne pas avoir des doutes après un souci pareil ? Comment se dire : « Ok. Je vais reprendre une Browning » ?!
Messieurs, Mesdames, vous les possesseurs de Browning, quelque soit le modèle, avez-vous été confronté à une telle dégradation d’une arme en si peu de temps ? Avez-vous eu ce type de problèmes et notamment de cette marque ? De quelle sorte ?
Je veux tout savoir sur Browning pour, au moins en moi-même, établir les responsabilités de chacun. Que cela soit de la marque ou, on ne sait jamais, de mon armurier.
Voilà. Je suis déçu. Et triste. Parce que je ne sais pas si je pourrai me payer de nouveau une arme de cette valeur financière. Je dis bien « financière » car, si on parle de la « qualité de l’arme », de la marque elle-même ou de la qualité de la relation clientèle, je pense pouvoir trouver mieux sans aucun problème !
Au cas où vous n’auriez pas envie de répondre sur un forum public, vous pouvez m’envoyer vos courriers et témoignages à l’adresse mail suivante :
[email protected]
Ayant dans notre société un service juridique, je me demande même si, du fait que je ne payerai rien, je ne vais pas intenter une action en justice. Histoire de faire de la pub à la marque…
Bonne journée et merci pour vos futures réponses !
Ben, voilà la « sale histoire » qui m’arrive.
Il y a un an et deux mois et demi, mi- décembre 2008, je casse la tirelire et je m’offre une Browning 270 Short Track en « édition limité ». C'est-à-dire qu’elle n’est « soit disant » fabriquée qu’à 500 exemplaire avec une belle gravure et un N° d’arme unique. J’étais tout content de pouvoir me payer une arme pareille après des mois d’économies. Hormis le fait que, comme je l’ais raconté dans un précédant post, je ne « sentais pas bien cette arme », c’était tout de même une sacrée belle arme. En tout cas, pour moi. Et, « sentir bien ou pas », cela n’est que personnel et ne remet pas en cause une arme.
En novembre dernier (2009), je remarque, à la sortie du canon, sur la bande de battue et sur les gravures des points de rouille. Je vais voir mon armurier qui téléphone à Browning. Ces derniers assurent que l’arme sera réparée du fait de ma date d’achat. Oui, parce que l’armurerie, elle, l’avait depuis presque un an avant de me la vendre. Mais, moi, je veux terminer ma saison de chasse. Alors, l’armurier, au téléphone, devant moi, explique le dilemme et obtient la garantie qu’il peut la renvoyer une fois la saison de chasse finie, que « Mr Browning » comprend le problème, qu’ils la maintiendront en garantie. Je ramène donc la carabine dès la fin de la saison. Pour nous, en haute montagne Ariégeoises, fermeture le 31 janvier 2009.
Aujourd’hui je reçois un coup de fil de mon armurier. Il est désolé. Et moi donc ! Browning lui aurait dit qu’après démontage de l’arme ils constataient qu’elle n’avait jamais été entretenue et que donc ils refusaient de prendre la réparation en garantie. Le canon serait fichu, la bande de battue, le mécanisme interne de la gâchette. Autant dire quasiment l’intégralité des métaux constituant l’arme ! Il ne reste plus que le bois et le plastique de bon ! Conclusion, la réparation (plutôt le changement des pièces !) coute 900€ pour une arme en valant 1500 et que j’avais payé grâce à des « remises et autres promotions » 1300 !!! Ma conclusion est que je peux la mettre à la poubelle ! Celle de mon armurier est la même.
Alors, plusieurs questions…
Cette arme n’a effectué qu’une vingtaine de sorties (car nous ne chassons que le dimanche) et n’a que 1 an et de mois et demi. Est-ce qu’une arme d’une soit disant si bonne marque peut-être fichue si peu de temps après et après une si faible utilisation ?!
En ce qui concerne l’entretien, je ne suis ni armurier, ni spécialiste en réparation d’arme. Voici ce que je faisais après une utilisation par temps de pluie ou neige : Une fois chez moi, le dimanche soir, je séchais la carabine avec de l’essuie-tout. Ensuite je l’enveloppais dans un drap en coton sur lequel j’avais pulvérisé de la « graisse pour arme » vendue en bombe aérosol. Je laissais la carabine droite sur sa crosse pour qu’elle finisse de sécher à l’air libre. Ne revenant à la montagne que le vendredi soir, ce n’est qu’à ce moment là que je pulvérisais la même « graisse » dans le canon, entre le canon et le « bois de devant que l’on tient avec sa main » (je sais pas comment s’appelle cette pièce…), dans l’orifice d’éjection des douilles et, enfin, par les fentes de la gâchette. Ce, chaque semaine le vendredi soir. Plus un peu d’huile sur les parties boisées. Que devais-je faire de plus ?! Passer un BTS d’armurier pour savoir démonter absolument entièrement l’arme ?! Donc, devais-je faire des « choses » en plus ? Et comment une Remington 280 a pu tenir 11 ans avec le traitement alors qu’elle vaut moitié moins chère ?!
Ensuite, sachant que j’écris sur un forum, ce n’est donc pas pour « mettre la pression » sur Bronwning mais, ne me « sentant pas bien » avec cette arme, je comptais la revendre pour acheter une 300 de la même marque. Mais, après cette sale histoire, comment puis-je faire confiance à cette marque au niveau de la relation client mais aussi, et surtout, au sujet de la qualité des matériaux utilisés pour la conception de leurs armes ? Comment ne pas avoir des doutes après un souci pareil ? Comment se dire : « Ok. Je vais reprendre une Browning » ?!
Messieurs, Mesdames, vous les possesseurs de Browning, quelque soit le modèle, avez-vous été confronté à une telle dégradation d’une arme en si peu de temps ? Avez-vous eu ce type de problèmes et notamment de cette marque ? De quelle sorte ?
Je veux tout savoir sur Browning pour, au moins en moi-même, établir les responsabilités de chacun. Que cela soit de la marque ou, on ne sait jamais, de mon armurier.
Voilà. Je suis déçu. Et triste. Parce que je ne sais pas si je pourrai me payer de nouveau une arme de cette valeur financière. Je dis bien « financière » car, si on parle de la « qualité de l’arme », de la marque elle-même ou de la qualité de la relation clientèle, je pense pouvoir trouver mieux sans aucun problème !
Au cas où vous n’auriez pas envie de répondre sur un forum public, vous pouvez m’envoyer vos courriers et témoignages à l’adresse mail suivante :
[email protected]
Ayant dans notre société un service juridique, je me demande même si, du fait que je ne payerai rien, je ne vais pas intenter une action en justice. Histoire de faire de la pub à la marque…
Bonne journée et merci pour vos futures réponses !