Publié : 07 mars 2008 21:33
voila je me suis enfin decidé a posté cette histoire que j'hesité a taper car je la trouvé trop longue
ca se deroule en debut de saison
alors que je venais juste d'obtenir mon permis mon cousin m'invita a une battue au sanglier que j'acceptais avec beaucoup d'enthousiasme.
il me proposa de passer me prendre le lendemain, je partis immediatement chez mon armurier a la recherche de la munition miracle celle qui m'eviterait de me ridiculiser le jour J ,il me proposa des brennekes fiocchi qui allait le mieux avec les benelli d'apres lui j'en acheté une vingtaine craignant de manquer de munition .
le moment venu mon cousin passa me prendre de tres bonne heure, j'eu du mal a me lever car impossible de fermer l'oeil de la nuit surexcité et impatient j'avait passer la nuit a m'entrainait a ultimate hunting esperant amelioré mes reflexes .
En route mes questions fusées cassant les oreilles de mon cousin esperant en soutiré un maximum de tuyaux pour essayer de ne pas lui faire honte devant ses amis chasseurs devant lequelle il ne tarissait jamais d'eloges a mon egard .
Une fois sur place je me postais a coté de mon cousin a l'abri derriere un chene diforme et tres touffu qui nous ferrait office de couvert , la battue commenca mes mains tremblées et je sursauté au moindre craquement de brindilles le concert des aboiements debuta leur sons se faisaient de plus en plus angoissant et pesant ils semblaient se rapprocher de nous, je commencais a paniqué craignant qu'un sanglier surgissent a tout moment et se derobe sans que je puisse placé la moindres balle surtout que mon cousin m'avaint confié qu'il me laisserait l'honneur de tirer la premiere bete ce qui me mis la pression a fond .De plus en plus anxieux je ne cessait de me retourner sans cesse scrutant la lisiere de la foret a chaque instant mes yeux parcouraient le long de la foret tel les yeux exercaient d'un arbitre de tennis quand soudain l'imprevisible se produit un monstrueux que dis je un magnifique sanglier surgit d'un fossé aux abord de la foret il s'arreta puis regarda vers nous et se mis a courrir vers notre cachette tetanisé par cette vision cauchemardesque je n'epaulé meme pas pensant qu'il nous chargeaient (je compris plus tard qu'ils nous avaient pas vu et qu'il croyait que la voie etait libre )
mon cousin se faisait de plus en plus pressant m'intimant l'ordre de tirer mais j'ignoré ces paroles trop effrayé pour tirer puis au fur et a mesure que le sanglier se rapprochait de nous mes jambes commencé a trembler j'avais envie de jeter mon fusil et de m'enfuir quand l'impensable arriva le sanglier devia sa trajectoire il venait de nous reperait, c'est a ce moment que j'ai compris qu'il ne cherchait pas a nous attaqué mais a fuir je me decidais a epaulé et je fis feu trois fois de suite.
le sanglier poussa un cri dechirant un long frisson me parcouru l'echine j'avais compris que je l'avait gravement blessé que cette finalité qui me rejouissait tant avant commenca a m'embrouiller l'esprit je compris qu'il fallait que j'aille jusqu'au bout de mes actes car c'etait la premiere fois que je tuais un animal aussi imposant
Apres avoir encaissé cette salve la pauvre bete fis encore une dizaine de metres avant de s'arreter il regarda vers ma direction comme pour me lancer un ultime defit je le fixé decidé a mettre fin a la souffrance de ce noble animal quand soudain comme mu par l'energie du desespoir il se lanca dans une course effrené j'epaulé aussi rapidement qu'il m'etait donné de le faire et je tiré encore les deux derniers coups qui me restait le premier projectile le manqua et alla s'ecraser sur le tronc d'un arbre environnant mais la deuxieme balle l'atteignit a la colone vertebrale , il s'ecroula comme foudroyait par une puissance divine .
A ce moment un etrange sentiment m'envahit, a la fois un melange de fierté et de profond respect pour cette animal qui etait passé de vie a trepas et qui nous avait tenu tete jusqu'au bout, la trentaine de metres qui me separait de mon temeraire adversaire me paru interminable une fois a ces coté je le carressait le remerciant pour toute cette emotion qu'il venait de me procurer
a la fin de la battue j'etait insensible aux felicitations et congratulaions qui fusaient j'etait toujours hanté par l'image et le regard de cet etre qui jusqu'aux derniers instants de son existance continué de nous defié nous inspirant crainte et respect .
ca se deroule en debut de saison
alors que je venais juste d'obtenir mon permis mon cousin m'invita a une battue au sanglier que j'acceptais avec beaucoup d'enthousiasme.
il me proposa de passer me prendre le lendemain, je partis immediatement chez mon armurier a la recherche de la munition miracle celle qui m'eviterait de me ridiculiser le jour J ,il me proposa des brennekes fiocchi qui allait le mieux avec les benelli d'apres lui j'en acheté une vingtaine craignant de manquer de munition .
le moment venu mon cousin passa me prendre de tres bonne heure, j'eu du mal a me lever car impossible de fermer l'oeil de la nuit surexcité et impatient j'avait passer la nuit a m'entrainait a ultimate hunting esperant amelioré mes reflexes .
En route mes questions fusées cassant les oreilles de mon cousin esperant en soutiré un maximum de tuyaux pour essayer de ne pas lui faire honte devant ses amis chasseurs devant lequelle il ne tarissait jamais d'eloges a mon egard .
Une fois sur place je me postais a coté de mon cousin a l'abri derriere un chene diforme et tres touffu qui nous ferrait office de couvert , la battue commenca mes mains tremblées et je sursauté au moindre craquement de brindilles le concert des aboiements debuta leur sons se faisaient de plus en plus angoissant et pesant ils semblaient se rapprocher de nous, je commencais a paniqué craignant qu'un sanglier surgissent a tout moment et se derobe sans que je puisse placé la moindres balle surtout que mon cousin m'avaint confié qu'il me laisserait l'honneur de tirer la premiere bete ce qui me mis la pression a fond .De plus en plus anxieux je ne cessait de me retourner sans cesse scrutant la lisiere de la foret a chaque instant mes yeux parcouraient le long de la foret tel les yeux exercaient d'un arbitre de tennis quand soudain l'imprevisible se produit un monstrueux que dis je un magnifique sanglier surgit d'un fossé aux abord de la foret il s'arreta puis regarda vers nous et se mis a courrir vers notre cachette tetanisé par cette vision cauchemardesque je n'epaulé meme pas pensant qu'il nous chargeaient (je compris plus tard qu'ils nous avaient pas vu et qu'il croyait que la voie etait libre )
mon cousin se faisait de plus en plus pressant m'intimant l'ordre de tirer mais j'ignoré ces paroles trop effrayé pour tirer puis au fur et a mesure que le sanglier se rapprochait de nous mes jambes commencé a trembler j'avais envie de jeter mon fusil et de m'enfuir quand l'impensable arriva le sanglier devia sa trajectoire il venait de nous reperait, c'est a ce moment que j'ai compris qu'il ne cherchait pas a nous attaqué mais a fuir je me decidais a epaulé et je fis feu trois fois de suite.
le sanglier poussa un cri dechirant un long frisson me parcouru l'echine j'avais compris que je l'avait gravement blessé que cette finalité qui me rejouissait tant avant commenca a m'embrouiller l'esprit je compris qu'il fallait que j'aille jusqu'au bout de mes actes car c'etait la premiere fois que je tuais un animal aussi imposant
Apres avoir encaissé cette salve la pauvre bete fis encore une dizaine de metres avant de s'arreter il regarda vers ma direction comme pour me lancer un ultime defit je le fixé decidé a mettre fin a la souffrance de ce noble animal quand soudain comme mu par l'energie du desespoir il se lanca dans une course effrené j'epaulé aussi rapidement qu'il m'etait donné de le faire et je tiré encore les deux derniers coups qui me restait le premier projectile le manqua et alla s'ecraser sur le tronc d'un arbre environnant mais la deuxieme balle l'atteignit a la colone vertebrale , il s'ecroula comme foudroyait par une puissance divine .
A ce moment un etrange sentiment m'envahit, a la fois un melange de fierté et de profond respect pour cette animal qui etait passé de vie a trepas et qui nous avait tenu tete jusqu'au bout, la trentaine de metres qui me separait de mon temeraire adversaire me paru interminable une fois a ces coté je le carressait le remerciant pour toute cette emotion qu'il venait de me procurer
a la fin de la battue j'etait insensible aux felicitations et congratulaions qui fusaient j'etait toujours hanté par l'image et le regard de cet etre qui jusqu'aux derniers instants de son existance continué de nous defié nous inspirant crainte et respect .