Publié : 17 nov. 2008 17:23
Belle journée de chasse ce dimanche, un beau jour de novembre, frais, brumeux, petit vent du nord, bref tout s'annonce bien.
Nous décidons de chasser les petites plaines dans mon ACCA. Il reste encore quelques chaumes, de belles prairies et d'anciens champ de mais non labourés.
Début de chasse classique en se disant que l'après midi risque d'être monotone à parcourir ces grands champs (tout est relatif puisqu'il s'agit de cultures en Haute Loire et pas en Beauce...). Nous chassons avec 2 épagneuls et une jeune pas encore déclarée. Soudain les chiennes trouvent une piste qui s'avère très bonne, on croirait presque à de la plume tellement les odeurs sont excellentes, je suggère à mon ami une compagnie de perdreaux, pourtant rien ne s'envole, peut être déjà partis ??? nous nous séparons, je m'éloigne pour longer une rase avec de belles herbes sèches, les chiennes s'appliquent vraiment il s'agit bien d'un lièvre. Rien dans les herbes, je passe dans la prairies bien humide, il y a pas mal de joncs, je me dit que c'est bien trop mouillé pour un lièvre, mes pieds pataugent quasiment; ma chienne semble marqué un arrêt, mon cœur s'emballe, rien, elle continue... 10 mètre plus loin, arrêt, et hop le lièvre démarre à 10cm devant le chien, je lève le fusil, impossible de tirer, le chien est trop près, le lièvre traverse une haie, c'est foutu, je crie à mon ami " A toi, A toi, le lièvre" il tire 3 fois... raté... nous le regardons s'éloigner à vitesse grand V, il ne semble pas toucher heureusement! dommage. Nous nous réunissons pour cherche le gite, il était bien au sec sur une touffe d'herbe ! Après cette séquence d'émotion, je décide s'assouvir un petit pipi ! je casse mon fusil et je le passe derrière la tête afin d'avoir les mains libres... l'affaire terminée je commence a me "re-brailler" quand tout à coup je vois le lièvre passer à 2m sur la droite, ma chienne vient de le lever derrière moi, je lâche le pantalon, reprend le fusil, le referme, PAN PAN... raté ! Mon ami est mort de rire me voyant épauler le pantalon au niveau des genoux, mon ami s'était éloigné et n'a pas pu le tirer. Je prend tout cela évidemment à la rigolade, même si j'aime pas tirer du gibier comme ça à la va vite, 1 plomb ou 2 mal placés et c'est l'agonie pour le lièvre
Même chose, nous trouvons le gîte qui était à quelques mètre de moi, je recharge et nous repartons côte à côte, soudain un autre lièvre démarre devant le nez de ma chienne, 4 coups de fusils, il y est, enfin nous réussissons à en prélever un, un beau mâle de 7 livres.
Les chiennes sont aux anges, enfin elles peuvent "goûter" du lièvre nous sommes scotcher, 3 lièvres en quelques mètres ! certainement une femelle en chaleur dans les parages et des mâles qui se rassemblent. Nous repartons heureux de cette belle après midi de chasse, rapide tout de même puisque la nuit nous rattrape car nous n'étions pas partis de bonne heure cette après-midi. Le mois de novembre est bon, 8 lièvres levées en 3 journées de chasse 3 prélevés.
Nous décidons de chasser les petites plaines dans mon ACCA. Il reste encore quelques chaumes, de belles prairies et d'anciens champ de mais non labourés.
Début de chasse classique en se disant que l'après midi risque d'être monotone à parcourir ces grands champs (tout est relatif puisqu'il s'agit de cultures en Haute Loire et pas en Beauce...). Nous chassons avec 2 épagneuls et une jeune pas encore déclarée. Soudain les chiennes trouvent une piste qui s'avère très bonne, on croirait presque à de la plume tellement les odeurs sont excellentes, je suggère à mon ami une compagnie de perdreaux, pourtant rien ne s'envole, peut être déjà partis ??? nous nous séparons, je m'éloigne pour longer une rase avec de belles herbes sèches, les chiennes s'appliquent vraiment il s'agit bien d'un lièvre. Rien dans les herbes, je passe dans la prairies bien humide, il y a pas mal de joncs, je me dit que c'est bien trop mouillé pour un lièvre, mes pieds pataugent quasiment; ma chienne semble marqué un arrêt, mon cœur s'emballe, rien, elle continue... 10 mètre plus loin, arrêt, et hop le lièvre démarre à 10cm devant le chien, je lève le fusil, impossible de tirer, le chien est trop près, le lièvre traverse une haie, c'est foutu, je crie à mon ami " A toi, A toi, le lièvre" il tire 3 fois... raté... nous le regardons s'éloigner à vitesse grand V, il ne semble pas toucher heureusement! dommage. Nous nous réunissons pour cherche le gite, il était bien au sec sur une touffe d'herbe ! Après cette séquence d'émotion, je décide s'assouvir un petit pipi ! je casse mon fusil et je le passe derrière la tête afin d'avoir les mains libres... l'affaire terminée je commence a me "re-brailler" quand tout à coup je vois le lièvre passer à 2m sur la droite, ma chienne vient de le lever derrière moi, je lâche le pantalon, reprend le fusil, le referme, PAN PAN... raté ! Mon ami est mort de rire me voyant épauler le pantalon au niveau des genoux, mon ami s'était éloigné et n'a pas pu le tirer. Je prend tout cela évidemment à la rigolade, même si j'aime pas tirer du gibier comme ça à la va vite, 1 plomb ou 2 mal placés et c'est l'agonie pour le lièvre
Même chose, nous trouvons le gîte qui était à quelques mètre de moi, je recharge et nous repartons côte à côte, soudain un autre lièvre démarre devant le nez de ma chienne, 4 coups de fusils, il y est, enfin nous réussissons à en prélever un, un beau mâle de 7 livres.
Les chiennes sont aux anges, enfin elles peuvent "goûter" du lièvre nous sommes scotcher, 3 lièvres en quelques mètres ! certainement une femelle en chaleur dans les parages et des mâles qui se rassemblent. Nous repartons heureux de cette belle après midi de chasse, rapide tout de même puisque la nuit nous rattrape car nous n'étions pas partis de bonne heure cette après-midi. Le mois de novembre est bon, 8 lièvres levées en 3 journées de chasse 3 prélevés.