Publié : 13 avr. 2010 16:45
Cette histoire se passe il ya deja quelques années, c'etait en octobre 2000. Nous sommes dans la Cantal, en zone de moyenne montagne, pour ceux qui connaissent. Sur une commune bordée par la fameuse riviére esperance, ou les lievres étaient nombreux a une certaine époque.
Dans ma famille, nous ne sommes pas pour ainsi dire de grands chasseurs mais nous avons plutot une grande passion pour la nature dans sa grandeur générale. Cependant depuis l'age de 5 ou 6 ans, mes samedis et mes dimanches matins sont trés organisés et bien remplis, le levé est prevu vers les 7h00 de maniére a ne pas louper le départ pour cette expedition dans les pacquages cantaliens. A l'époque mon grand pere chassait avec une équipe de 5 ou 6 copains, accompagnés d'une douzaine d'ariegeois qu'ils découplaient dans la voie du liévre.
Mais pour mes 12 ans, la décision fut prise de m'offrir un joli chiot prenommé Lascar, ce chien bien que destiné à courir derriere les lievres, debutat comme chien de dépannage ( bien que je n'aime pas ce terme ) pour les battues aux chevreuils des aprés midi du week end. Mes les années passérent et ce chien developpa une affinité toute particuliére avec le liévre, ce qui me comblait au plus au point.
Au début de cette année 2000, le chenil se peupla de deux jeunes ariégeoises, de ma niére a epauler au mieux mon Lascar dans la recherche des lievres tant esperer. Et l'histoire commence donc au mois d'octobre 2000, le jour de l'ouverture du lievre de ce nouveau millenaire, ma premiére ouverture avec fusil en main mais aussi et surtout la premiere fois pour ces deux petites chiennes. En compagnie de mon grand pere et de mes trois chiens, nous avancions dans les prés en esperant rencontrer le pacquages de la nuit d'un de ces bouqins qui peuplaient les environs. Aprés un quart de marche, mon chien commencait à s'echauffer dans une pature quand soudain un chasseur du village, connu pour son tres bon temperament et son sens de la diplomatie, et ces trois acolytes se presenterent devant nous. Et l'on compris que pour nous cette parcelles de la commune n'etait peut etre pas la plus adequate pour continuer notre chasse.
Aprés avoir changé deux fois de destination, il était maintenand 11H00 du matin, la partis de chasse se rapprochait de plus en plus de la bredouille, ce dont je fis la remarque a mon grand pere.
Mais comme par miracle en arrivant dans nos dernier retranchement, presque au bords des maison du village, mon Lascar se mit a donner en pleine pature. Et apres quelques minutes trouva la rentré au bois de ce capucin, sur un vieu mur en pierre démoli. L'un derriere l'autre avec mon grand pere, suivi de ces deux chiennes qui par leur jeune ages ne comprenaient pas bien ce qui se passait, l'on se rapprochait du ruisseau qui serpentait au fin fond des bois entre ces deux vallons. Mon grand pere me fit signe qu'il etait alors temps pour moi de reprendre de la hauteur et de me poster dans la pature ou cette belle recherche avait commencé. Quelques minute plustard, enfin a mon poste, J'ecoutait le son de la voie du Lascar qui resonnait (magnifique), Mais je sortis de mes reveries soudainement, lorsqu'une ombre passa dans le bois voisin. Vu le grosseur de celle-ci je pensa a un chevreuil et je me dit que Lascar avait dut reprendre gout a ses premiers pechés. Mais non à une cinquantaine metres de moi se dérobait un magnifique lievre qui me foncait droit dessus. Le fusil monta à mon épaule, mon doigt appuya sur la detente mais rien n'y fit le coup ne partit pas. A force d'observer le fusil tout au long de la matinée, j'en avais oublier la sécurité. Le lievre quand a lui ne ralentissait pas et sa direction non plus ne changeait pas. Apres quelques secondes d'intense panic, le coups partit enfin et le lievre se coucha a mes pieds, ET je n'eu pas la peine de marcher pour le ramasser et le montrer aux chiens. Le coups avait fait balle, et ce lievre bien qu'imposant et majestueux a bien faillit finir couper en deux, heureusement seul le ventre ne fut touché. L'animal accusa le poid plus que respectable de 9 livres 750 vidés, et devint mon plus beau souvenir de chasse pour moi mais pour mon grand pere aussi jusqu'a ce jour.
Dans ma famille, nous ne sommes pas pour ainsi dire de grands chasseurs mais nous avons plutot une grande passion pour la nature dans sa grandeur générale. Cependant depuis l'age de 5 ou 6 ans, mes samedis et mes dimanches matins sont trés organisés et bien remplis, le levé est prevu vers les 7h00 de maniére a ne pas louper le départ pour cette expedition dans les pacquages cantaliens. A l'époque mon grand pere chassait avec une équipe de 5 ou 6 copains, accompagnés d'une douzaine d'ariegeois qu'ils découplaient dans la voie du liévre.
Mais pour mes 12 ans, la décision fut prise de m'offrir un joli chiot prenommé Lascar, ce chien bien que destiné à courir derriere les lievres, debutat comme chien de dépannage ( bien que je n'aime pas ce terme ) pour les battues aux chevreuils des aprés midi du week end. Mes les années passérent et ce chien developpa une affinité toute particuliére avec le liévre, ce qui me comblait au plus au point.
Au début de cette année 2000, le chenil se peupla de deux jeunes ariégeoises, de ma niére a epauler au mieux mon Lascar dans la recherche des lievres tant esperer. Et l'histoire commence donc au mois d'octobre 2000, le jour de l'ouverture du lievre de ce nouveau millenaire, ma premiére ouverture avec fusil en main mais aussi et surtout la premiere fois pour ces deux petites chiennes. En compagnie de mon grand pere et de mes trois chiens, nous avancions dans les prés en esperant rencontrer le pacquages de la nuit d'un de ces bouqins qui peuplaient les environs. Aprés un quart de marche, mon chien commencait à s'echauffer dans une pature quand soudain un chasseur du village, connu pour son tres bon temperament et son sens de la diplomatie, et ces trois acolytes se presenterent devant nous. Et l'on compris que pour nous cette parcelles de la commune n'etait peut etre pas la plus adequate pour continuer notre chasse.
Aprés avoir changé deux fois de destination, il était maintenand 11H00 du matin, la partis de chasse se rapprochait de plus en plus de la bredouille, ce dont je fis la remarque a mon grand pere.
Mais comme par miracle en arrivant dans nos dernier retranchement, presque au bords des maison du village, mon Lascar se mit a donner en pleine pature. Et apres quelques minutes trouva la rentré au bois de ce capucin, sur un vieu mur en pierre démoli. L'un derriere l'autre avec mon grand pere, suivi de ces deux chiennes qui par leur jeune ages ne comprenaient pas bien ce qui se passait, l'on se rapprochait du ruisseau qui serpentait au fin fond des bois entre ces deux vallons. Mon grand pere me fit signe qu'il etait alors temps pour moi de reprendre de la hauteur et de me poster dans la pature ou cette belle recherche avait commencé. Quelques minute plustard, enfin a mon poste, J'ecoutait le son de la voie du Lascar qui resonnait (magnifique), Mais je sortis de mes reveries soudainement, lorsqu'une ombre passa dans le bois voisin. Vu le grosseur de celle-ci je pensa a un chevreuil et je me dit que Lascar avait dut reprendre gout a ses premiers pechés. Mais non à une cinquantaine metres de moi se dérobait un magnifique lievre qui me foncait droit dessus. Le fusil monta à mon épaule, mon doigt appuya sur la detente mais rien n'y fit le coup ne partit pas. A force d'observer le fusil tout au long de la matinée, j'en avais oublier la sécurité. Le lievre quand a lui ne ralentissait pas et sa direction non plus ne changeait pas. Apres quelques secondes d'intense panic, le coups partit enfin et le lievre se coucha a mes pieds, ET je n'eu pas la peine de marcher pour le ramasser et le montrer aux chiens. Le coups avait fait balle, et ce lievre bien qu'imposant et majestueux a bien faillit finir couper en deux, heureusement seul le ventre ne fut touché. L'animal accusa le poid plus que respectable de 9 livres 750 vidés, et devint mon plus beau souvenir de chasse pour moi mais pour mon grand pere aussi jusqu'a ce jour.
