Publié : 07 févr. 2013 19:57
Bonjour
N'ayant pas chasser depuis une bonne quinzaine et l'odeur de la poudre brûlé me manquant,hier je scrute la météo,de la neige est annonçée,HUM sa sent bon.
Le soir venu,je prépare tout le vestimentaire et le reste,comme si c'était mon premier jour de l'ouverture.
BIP,BIP,BIP c'est pas le boulot mais le moment de partir,j'enfile tout,biberon au petit,café,,on sort le chiot et GO.
Arrivé sur place alors que la nuit est seulement en train de déssérer son etreinte obscur pour laisser place a son contraire,je m'installe dans le poste,chambre les cartouches et m'assoie.
Je perçois du mouvement,sa sent bon.
Les premiéres lueurs se dévoilant,au gagnage juste dans le champ au dessus 3a400 palombes sont la,se déléctant du mais restant.
Un premier vol d'une cinquantaine d'oiseaux pénétrent le périmétre,je suis du regard comme l'autour pourrait le faire,sa entame la descente,sa casse les ailes,sa,freine,OUI sa pose.
Me voila pétrifié et a l'arrét tel un epagneul breton.
Une dizaine sont juste au dessus de moi,trop prés,je monte doucement mon compair a l'épaule,ajuste un oiseaux a 30 metres a peu prés,le coup part et viens rompre le silence,je vois 2 oiseaux tombés et un qui décroche pour se poser plus loin.
Les petits vols se succédent et je mettrai au carnier 7 palombes a se poste.
Le jour est bien levé,celles-ci ne veulent plus poséés mais sont toutes sur le champ du dessus.
Je léve le camp pour un autre poste aménagé en bordure de celui-ci mais ne peut l'aborder comme a l'accoutumé,les oiseaux étant en place.Je me faufile le long de la haie puis rentre dans le ruisseau pour le longer et m'insérer dans mon poste mais c'est sans compter sur un guetteur branché qui prenant l'envol se fera succéder les départs,
le ciel est noir de pigeons,j'en profite pour rejoindre encore plus vite mon poste car aucune détonation n'ayant retenti,elles vont revenir.
Je suis prêt sa tournoi et recommence a poser mais en milieu.
Je reste confiant,sa se rapproche a coup de petits battement d'ailes et s'ayez c'est la 20,30,50 sa arrive de partout,de tout les côtés,étant bien dissimulé certaines sont a 2métres de moi,c'est magique,leur prestances,leurs couleurs,ces reflets vert irisés que sublime les gouttes de neiges fondus,sa s'ébouriffent,se gavent,j'ai le choix,trop de choix,c'est hypnotique,je retarde le moment du tir qui me fera passer l'oiseau,d'un instinct grégaire a celui d'être seul,seul façe a se moment,que nous connaitrons tous,celui d'un livre qui se referme,balayé tel la poussére au coin de la cheminée.
Je vais finir par être découvert,la lourdeur de mon doigt se fait ressentir,le baikal tréssaute,soufflant son feu et métal,l'oiseau ajusté tombe et la gerbe ira cueillir 2 autres oiseaux plus loin.
Sa continue toujours de poser,la neige tombe plus ardru,épaisse,floconneuse et le champ de vision c'est restreint a 15 métres.
Sa creuse,je me suis autoriser a prélever un peu au dessus de se que je me fixe,conscient que la fin arrive et que je ne sais pas quand j'y retournerai,Tout gibier (10)tirés au 6,36G(NSI) en full et je récupérérait 2 désailés auxquelles j'ai prodigué soins et bandage en huit pour rejoindre mes appelalnts.
Merci mére nature car je suis conscient d'avoir vécu un moment privilégié auquel tu m'a convié et éspére te le rendre au quintuple par mes actions entreprise envers toi.
N'ayant pas chasser depuis une bonne quinzaine et l'odeur de la poudre brûlé me manquant,hier je scrute la météo,de la neige est annonçée,HUM sa sent bon.
Le soir venu,je prépare tout le vestimentaire et le reste,comme si c'était mon premier jour de l'ouverture.
BIP,BIP,BIP c'est pas le boulot mais le moment de partir,j'enfile tout,biberon au petit,café,,on sort le chiot et GO.
Arrivé sur place alors que la nuit est seulement en train de déssérer son etreinte obscur pour laisser place a son contraire,je m'installe dans le poste,chambre les cartouches et m'assoie.
Je perçois du mouvement,sa sent bon.
Les premiéres lueurs se dévoilant,au gagnage juste dans le champ au dessus 3a400 palombes sont la,se déléctant du mais restant.
Un premier vol d'une cinquantaine d'oiseaux pénétrent le périmétre,je suis du regard comme l'autour pourrait le faire,sa entame la descente,sa casse les ailes,sa,freine,OUI sa pose.
Me voila pétrifié et a l'arrét tel un epagneul breton.
Une dizaine sont juste au dessus de moi,trop prés,je monte doucement mon compair a l'épaule,ajuste un oiseaux a 30 metres a peu prés,le coup part et viens rompre le silence,je vois 2 oiseaux tombés et un qui décroche pour se poser plus loin.
Les petits vols se succédent et je mettrai au carnier 7 palombes a se poste.
Le jour est bien levé,celles-ci ne veulent plus poséés mais sont toutes sur le champ du dessus.
Je léve le camp pour un autre poste aménagé en bordure de celui-ci mais ne peut l'aborder comme a l'accoutumé,les oiseaux étant en place.Je me faufile le long de la haie puis rentre dans le ruisseau pour le longer et m'insérer dans mon poste mais c'est sans compter sur un guetteur branché qui prenant l'envol se fera succéder les départs,
le ciel est noir de pigeons,j'en profite pour rejoindre encore plus vite mon poste car aucune détonation n'ayant retenti,elles vont revenir.
Je suis prêt sa tournoi et recommence a poser mais en milieu.
Je reste confiant,sa se rapproche a coup de petits battement d'ailes et s'ayez c'est la 20,30,50 sa arrive de partout,de tout les côtés,étant bien dissimulé certaines sont a 2métres de moi,c'est magique,leur prestances,leurs couleurs,ces reflets vert irisés que sublime les gouttes de neiges fondus,sa s'ébouriffent,se gavent,j'ai le choix,trop de choix,c'est hypnotique,je retarde le moment du tir qui me fera passer l'oiseau,d'un instinct grégaire a celui d'être seul,seul façe a se moment,que nous connaitrons tous,celui d'un livre qui se referme,balayé tel la poussére au coin de la cheminée.
Je vais finir par être découvert,la lourdeur de mon doigt se fait ressentir,le baikal tréssaute,soufflant son feu et métal,l'oiseau ajusté tombe et la gerbe ira cueillir 2 autres oiseaux plus loin.
Sa continue toujours de poser,la neige tombe plus ardru,épaisse,floconneuse et le champ de vision c'est restreint a 15 métres.
Sa creuse,je me suis autoriser a prélever un peu au dessus de se que je me fixe,conscient que la fin arrive et que je ne sais pas quand j'y retournerai,Tout gibier (10)tirés au 6,36G(NSI) en full et je récupérérait 2 désailés auxquelles j'ai prodigué soins et bandage en huit pour rejoindre mes appelalnts.
Merci mére nature car je suis conscient d'avoir vécu un moment privilégié auquel tu m'a convié et éspére te le rendre au quintuple par mes actions entreprise envers toi.