Publié : 15 oct. 2013 19:44
C'est ma deuxième saison de chasse, donc je suis encore un gros débutant, et je découvre au fur et à mesure le territoire de mon Acca, tout seul car étant nous sommes que deux à chasser le petit gibiers sur l'acca. La saison dernière je n'avais prélevé qu'un lièvre et n'avais rien vu d'autre. Pour cette saison madame m'a offerte une petite épagneul breton qui a maintenant 7 mois, qui pour l'instant court, chasse les papillons et autres choses digne d'un chiot qui n'a encore rien vu. Donc depuis l'ouverture je promène la petite et le fusil à raison de deux heures maxi à la découverte du territoire de chasse. Donc ce week-end je tanne madame pour qu'elle vienne avec moi promené l'épagneul et le fusil et qu’elle nous prennent deux ou trois Golden Retriever de la maison que cela fera en même temps promener. Dimanche matin après nous être occupé des chiots de l’élevage ,nous voilà partir sur le coup de 09h00, sur un coin du territoire, que j'ai étudié un peu via Googleearth, afin de voir un peu le biotope et mettre renseigné auprès du président qui m'a dit que je risquai d'y trouvé du lapin car le fermier du coin se plaignait des dégâts qu'ils lui font sur les plantations autours.
Nous voilà arrivé nos deux goldens finalement la mère et la fille 7 ans et 4 ans à l'écoute parfaite rompus aux concours, l'épagneul breton 7 mois encore très jeune. Nous voilà arrivé sur un chemin en haut d’une petite vallée , sur des champs de vache vide et ouvert composé de prairie entrecoupé de haie de bois couvert , de passage de boue à chaque passage de haie que ce sont fait les vaches pour aller d’un champs à l’autre. Et bien sur quelques bouses de la veille ou plus ancienne. Après avoir fait la police auprès de la jeune de groupe qui s’intéressait fortement à ces mines odorantes. Nous arpentons les bordures des haies, les bois, les couverts. Plus fois ma femme me dit que l’épagneul marque l’arrêt, mais je lui dit que ce n’est pas des vrais arrêts qu’elle fait juste mine de s’arrête et qu’elle continue c’est pour l’instant une odeur ou autre choses et qu’elle est encore petite. A chaque passage de boue, je casse mon superposé et lui enlève les cartouches comme lors de l’examen du permis au cas où je glisserai dans la boue. Et lors du passage dans le bois assez fermé je mettais la sécurité du fusil.
Puis au bout d’une heure et demi de montée descente dans les champs et les bois, j’entends ma femme qui est à trois mètres de moi sur la gauche me dire que la chienne tire le nez , machinalement je regarde l’épagneul qui est à dix mètres de moi devant en plein champ en train de gambader et je me dit intérieurement que ma chère et tendre à dû rêver. Quand du coin de l’œil sur le côté gauche , je vois la jeune Golden Bondir dans le fourré et j’entends le cris et le bruit d’un décollage d’un énorme magnifique coq faisan . Il nous passe devant pour partir en volant droit dans le champ, je le laisse prendre un peu de distance de peur de l’abimer en le tirant de si près. A environ 15-20 mètres je m’apprête à le tirer vulgairement comme au ball-trap. Avec une montée d’adrénaline je tire et au lieu de tirer rien, putain je me pense en moi-même une cartouche défectueuse, j’en avais déjà eu une sur la boite, je tire le second coup et là non plus rien… Le temps que je réalise que j’avais omis d’enlever la sécurité du fusil. Il m’a fallu un lap de temps rapide, mais le faisan avait parcouru encore une distance. Je l’ai jugé dans l’action encore à portée de fusil et je l’ai tiré mais raté pour les deux coups, et j’ai vu ce magnifique faisan planer sur facilement 800 mètres, pour partir en direction du bois en contrebas. Après mettre fait traiter de chasseur d’opérette par Madame , elle en a profité pour me chambrer un peu c’était de bonne guerre, nous avons essayé de voir si nous le retrouvions, mais rien…
Je lui donné rendez-vous au dimanche matin prochain… Bredouille oui fois de plus mais un magnifique souvenir de cet instant qui aura été magique jusqu’au moment du tir.
Nous voilà arrivé nos deux goldens finalement la mère et la fille 7 ans et 4 ans à l'écoute parfaite rompus aux concours, l'épagneul breton 7 mois encore très jeune. Nous voilà arrivé sur un chemin en haut d’une petite vallée , sur des champs de vache vide et ouvert composé de prairie entrecoupé de haie de bois couvert , de passage de boue à chaque passage de haie que ce sont fait les vaches pour aller d’un champs à l’autre. Et bien sur quelques bouses de la veille ou plus ancienne. Après avoir fait la police auprès de la jeune de groupe qui s’intéressait fortement à ces mines odorantes. Nous arpentons les bordures des haies, les bois, les couverts. Plus fois ma femme me dit que l’épagneul marque l’arrêt, mais je lui dit que ce n’est pas des vrais arrêts qu’elle fait juste mine de s’arrête et qu’elle continue c’est pour l’instant une odeur ou autre choses et qu’elle est encore petite. A chaque passage de boue, je casse mon superposé et lui enlève les cartouches comme lors de l’examen du permis au cas où je glisserai dans la boue. Et lors du passage dans le bois assez fermé je mettais la sécurité du fusil.
Puis au bout d’une heure et demi de montée descente dans les champs et les bois, j’entends ma femme qui est à trois mètres de moi sur la gauche me dire que la chienne tire le nez , machinalement je regarde l’épagneul qui est à dix mètres de moi devant en plein champ en train de gambader et je me dit intérieurement que ma chère et tendre à dû rêver. Quand du coin de l’œil sur le côté gauche , je vois la jeune Golden Bondir dans le fourré et j’entends le cris et le bruit d’un décollage d’un énorme magnifique coq faisan . Il nous passe devant pour partir en volant droit dans le champ, je le laisse prendre un peu de distance de peur de l’abimer en le tirant de si près. A environ 15-20 mètres je m’apprête à le tirer vulgairement comme au ball-trap. Avec une montée d’adrénaline je tire et au lieu de tirer rien, putain je me pense en moi-même une cartouche défectueuse, j’en avais déjà eu une sur la boite, je tire le second coup et là non plus rien… Le temps que je réalise que j’avais omis d’enlever la sécurité du fusil. Il m’a fallu un lap de temps rapide, mais le faisan avait parcouru encore une distance. Je l’ai jugé dans l’action encore à portée de fusil et je l’ai tiré mais raté pour les deux coups, et j’ai vu ce magnifique faisan planer sur facilement 800 mètres, pour partir en direction du bois en contrebas. Après mettre fait traiter de chasseur d’opérette par Madame , elle en a profité pour me chambrer un peu c’était de bonne guerre, nous avons essayé de voir si nous le retrouvions, mais rien…
Je lui donné rendez-vous au dimanche matin prochain… Bredouille oui fois de plus mais un magnifique souvenir de cet instant qui aura été magique jusqu’au moment du tir.