Publié : 26 déc. 2013 20:11
Attention ….
Un vrai chasseur, je suis. Bon, je ne tue pas beaucoup. Mais je ne chasse que le gros, et je ne veux jamais tuer plus que ma part, et seulement après avoir donné aux espèces que je chasse leur temps de comptages, de parlages et de réglages. Temps qui me donne un petit droit de régalage, non ?
Ce jour-là, la classe tirée au sort définirait le tireur : si bouc, c’était moi, si pas bouc, c’était Nicolas. Un bon tireur. Pas bouc ce fut, et notre chasse nous amène sur un spot brûlant, malgré la neige aux genoux, et après avoir croisé un très beau bouc, d’ailleurs. Nicolas se met en place, je décide de filmaturer la chose. Que je n’emploie pas un mot approprié reflète mon habitude de photographier plutôt.
A 120 mètres le drame se prépare, un cabri va mourir … Ouf ! Une éterle arrive et va le sauver au prix de sa vie (même classe en pratique à ce moment du plan de chasse). A vrai dire, le lance-balles utilisé par mon confrère ne permettrait pas d’aller beaucoup beaucoup plus loin. 150 ou 170 mètres grâce à sa munition bourrée de vitamines et en ayant une bonne connaissance de sa trajectoire en cloche. Je suis moi-même accompagné d’une carabine mixte en 7 x 57 R du même millésime que moi, 54.
Brèfle, 118 mètres, pas un poil de vent. Je réfléchis aux bienfaits du foie poêlé – ai-je du persil ?- en zoomant à donf …
Voici la suite. N’est-ce pas un sacré cadeau de Noël ?
http://www.youtube.com/watch?v=4BgZJiAOdiE
Un vrai chasseur, je suis. Bon, je ne tue pas beaucoup. Mais je ne chasse que le gros, et je ne veux jamais tuer plus que ma part, et seulement après avoir donné aux espèces que je chasse leur temps de comptages, de parlages et de réglages. Temps qui me donne un petit droit de régalage, non ?
Ce jour-là, la classe tirée au sort définirait le tireur : si bouc, c’était moi, si pas bouc, c’était Nicolas. Un bon tireur. Pas bouc ce fut, et notre chasse nous amène sur un spot brûlant, malgré la neige aux genoux, et après avoir croisé un très beau bouc, d’ailleurs. Nicolas se met en place, je décide de filmaturer la chose. Que je n’emploie pas un mot approprié reflète mon habitude de photographier plutôt.
A 120 mètres le drame se prépare, un cabri va mourir … Ouf ! Une éterle arrive et va le sauver au prix de sa vie (même classe en pratique à ce moment du plan de chasse). A vrai dire, le lance-balles utilisé par mon confrère ne permettrait pas d’aller beaucoup beaucoup plus loin. 150 ou 170 mètres grâce à sa munition bourrée de vitamines et en ayant une bonne connaissance de sa trajectoire en cloche. Je suis moi-même accompagné d’une carabine mixte en 7 x 57 R du même millésime que moi, 54.
Brèfle, 118 mètres, pas un poil de vent. Je réfléchis aux bienfaits du foie poêlé – ai-je du persil ?- en zoomant à donf …
Voici la suite. N’est-ce pas un sacré cadeau de Noël ?
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