Publié : 10 juin 2015 15:07
J'écris sur deux forum ... Bon, sur deux fora. En général. Car c'est marrant de suivre le destin d'un même sujet sur deux supports. Je tâche de contextualiser, quand même. Donc, je viens ici aussi, pour mes aventures d'été, car deux ce n'est pas deux mêmes toujours. Vous avez du bol. Ou pas.
Premier épisode de la saison 2015. Il fait chaud et du coup je me repasse les images rafraichissantes de Et au bord coule une bière. En terrasse, qu’on est bien, dans le Lot où j'arrive après une grosse heure de petites routes. Avec de grosses routes, ce serait une petite heure, d'ailleurs. Je décide de chasser léger, ne prenant que mon bibi-pied – j’aime bien, écrit commak – jumelles, télémètre et apn, ainsi qu’une lampe frontale, 10 cartouches, un couteau. Sac, sacoche, sac à dos ? J’hésite ... J’en commande une autre, pour réfléchir. Tout tiendra dans les poches, je décide.
Ahhhhhh ! Le premier chemin, le premier spot à Rénac et le premier chevreuil. Il y a moins de dix minutes que je chasse ! Mais c’est une chevrette, à 190 mètres. Brrrr ! La chasse a failli finir trop vite. Les filles ont de la chance, non ?
Bon, aucun garçon ne daigne se montrer. Je vais virer et tournebraquer dans la campagne tout en me rendant sur un endroit où … Un endroit qui … Et j’y trouve seulement un maousse lièvre, avec qui je passerai la soirée, le filmant et le photographiant jusqu'à la nuit tombante. Il est à dix mètres de l'endroit ou je tuai un brocard , une fois.
Je pourrais l'assommer d'un coup de bâton. De 60 mètres. Pas assez gros pour quinze convives, le lièvre, de toute façon. Ni la mésange bleue, d’ailleurs. Car je chasse pour nourrir ma famille de cœur, des travailleurs acharnés qui souffrent en ce moment. Moi, je ne travaille plus. J'ai les casseroles, le vin, le fromage ... et la chasse. Cela se précise : l'épouse du plat de résistance habite bien à cette adresse ...
(j'ai déplacé vers histoires de chasseet raccourci le titre)
Premier épisode de la saison 2015. Il fait chaud et du coup je me repasse les images rafraichissantes de Et au bord coule une bière. En terrasse, qu’on est bien, dans le Lot où j'arrive après une grosse heure de petites routes. Avec de grosses routes, ce serait une petite heure, d'ailleurs. Je décide de chasser léger, ne prenant que mon bibi-pied – j’aime bien, écrit commak – jumelles, télémètre et apn, ainsi qu’une lampe frontale, 10 cartouches, un couteau. Sac, sacoche, sac à dos ? J’hésite ... J’en commande une autre, pour réfléchir. Tout tiendra dans les poches, je décide.
Ahhhhhh ! Le premier chemin, le premier spot à Rénac et le premier chevreuil. Il y a moins de dix minutes que je chasse ! Mais c’est une chevrette, à 190 mètres. Brrrr ! La chasse a failli finir trop vite. Les filles ont de la chance, non ?
Bon, aucun garçon ne daigne se montrer. Je vais virer et tournebraquer dans la campagne tout en me rendant sur un endroit où … Un endroit qui … Et j’y trouve seulement un maousse lièvre, avec qui je passerai la soirée, le filmant et le photographiant jusqu'à la nuit tombante. Il est à dix mètres de l'endroit ou je tuai un brocard , une fois.
Je pourrais l'assommer d'un coup de bâton. De 60 mètres. Pas assez gros pour quinze convives, le lièvre, de toute façon. Ni la mésange bleue, d’ailleurs. Car je chasse pour nourrir ma famille de cœur, des travailleurs acharnés qui souffrent en ce moment. Moi, je ne travaille plus. J'ai les casseroles, le vin, le fromage ... et la chasse. Cela se précise : l'épouse du plat de résistance habite bien à cette adresse ...
(j'ai déplacé vers histoires de chasseet raccourci le titre)