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Publié : 24 août 2015 15:32
par jumano31
Bonjour à tous,
J'ai pris vu ce site partiipatif du Muséum :
http://www.chat-biodiversite.fr
Je pense que les chats sont de plus en plus nombreux, et contribuent à la baisse d'effectifs de certaines espèces à pas mal d'endroits... Petit gibier, mais pas seulement (passereaux, reptiles).
Il est possible de rapporter des données de prédation sur le site, je le fais pour ce qui est de mon chat (que je vois choper des perdrix parfois) et des "exploits" qu'on me rapporte parfois.
Je vous engage à en faire de même...
Quel est votre avis ??
Alain.
Publié : 24 août 2015 17:25
par U cignale
Que veux tu dires au fond ?
Publié : 24 août 2015 20:23
par Alain Aubert
Cette enquête est effectivement très interessante, même si ailleurs on ne a déjà fait avec les resultats affolants que l'on connait.
Publié : 24 août 2015 21:26
par creusoi
Publié : 25 août 2015 06:33
par U cignale
Et chez nous, il n'y a pas de kangourous, alors....
Publié : 25 août 2015 06:42
par Alain Aubert
@U cignale wrote:Et chez nous, il n'y a pas de kangourous, alors....
Si, si pres de chez moi, il y en a !
Publié : 25 août 2015 09:42
par white hunter
Ma douce s'était vu offrir - à sa demande 8) - une petite minette par son fils. Qui s'avéra être un matou. Puis ne pas être, à la suite d'une opération liée elle-même à des blessures liées à des bagarres incessantes liées à des filles liées à son territoire.
Je dus même prendre les armes une fois ou deux pour défendre la chaufferie de Fripouille, liée au couloir, liée au sous-sol lié à notre maison. C'est son nom, Fripouille, fort bien porté.
Car c'est une arme redoutable contre les rongeurs de toute taille, contre le poulet fermier en cours de décongélation, le poussin fermier en pleine vie, les lézards verts et les pic-verts, les vipères et les lézards gris, les libellules et les passereaux imprudents, le tout non congelé ... Les chamois, les mouflons, les cerfs aussi, mais là juste quand j'en découpe une pièce. Bref un matou adorable, intelligent, abominable.
En Belgique, cette terre lointaine, le chat haret est tirable sans autre forme de procès. Ce qui n'est pas mal du tout.
J'aime mon chat, mon chat un salopard, j'aime ce salopard ... quand même.
Publié : 25 août 2015 13:46
par gironde_chasse
Malheureusement on ne peut rien y changer, le chat a un impact très prononcé sur les jeunes passereaux, petits reptiles (lézard), d'amphibien, micro-mammifère. Dans de nombreux ouvrages scientifiques sur les espèces de petite taille, le chat est largement reconnu comme un menace pour le maintien de certaines espèces dans les zones péri-urbaine et urbaine.
Le souci du chat domestique, c'est qu'il n'a pas le même type de "prédation" qu'une espèce sauvage. Comme pour nos chiens, il chasse uniquement par passion et n'ont pas par nécessité alimentaire. Et cette différence est énorme. Tandis que une espèce sauvage va chasser pour manger et ne prélève uniquement ce qu'elle a besoin.
On est d'accord ce n'est pas le seul responsable, c'est juste un maillon supplémentaire à une échelle plus petite. Mais je pense que si les propriétaires de chat font un petit effort pour équiper leur compagnon d'un dispositif d'effarouchement (ça existe j'en ai entendu parler, c'est un nom anglais avec bird... de dedans, m'en rappelle plus :oop: ) mais ce n'est pas une clochette apparemment le chat arrive à la prendre en compte.
A+
A+
Publié : 25 août 2015 15:17
par Red cloud
Mouaif....
il y a déjà un objectif d'étude ou de terminologie dans ce projet qui me convient moyen:
"C'est en recueillant un maximum d'éléments sur l'ensemble de ces paramètres qu'il sera possible de mieux comprendre les liens entre chats domestiques et faune sauvage, et leur place dans les écosystèmes."
Le chat domestique n'a pas sa place dans les écosystèmes, point.
Qu'on étudie le problème de la présence dans la nature OK, mais que l'on considère en préambule sa présence comme normale et acquise non
Au niveau méthode, faire appel aux déclarations sur la base du volontariat laisse présager d'énormes biais, on espère qu'en parallèle sont menées des études plus précises avec des suivis de chats sur plusieurs mois.
Après je rejoins ce qu'à dit DARNEPASSION, la prédation du chat domestique est réelle mais je serais très heureux de n'avoir que cet impact sur la faune. On peut reprocher aux chats d'un quartier de bouffer quelques oiseaux dans les nids, mais ils ne tueront jamais autant que celui qui arrache 1 km de haies, ou repend des litres de pesticides dans un champ.
Publié : 26 août 2015 17:34
par U cignale
@ Alain Aubert.. Si, si, chez moi il y en a aussi, mais dans la réserve africaine de Sigean !!..