Publié : 10 mai 2008 13:13
« S’adapter pour pratiquer une chasse durable ou … disparaître »
Après plus de 20 ans de conflits ouverts, de dispersions « socio-scientifico-administratives », de décisions prises au coup par coup et incompréhensibles depuis le terrain, nous pouvons faire le constat d’échecs retentissants.
Est-ce une fatalité ? Devons nous reprocher aux associations anti-chasse d’êtres efficaces ou plutôt faire le bilan de notre incapacité à les contrer ?
Belle solution de facilité que d’accuser les politiques, les scientifiques, l’administration, les juges … pour empêcher de se poser les bonnes questions.
Regardons la réalité en face : nous ne sommes pas bons !
Quels sont nos projets pour les 10 années à venir ? Comment bien gérer l’immédiat, le court terme, sans projet à long terme ?
Esprit d’assiégés, incompréhension des attentes et exigences de la société, attitudes réfractaires à l’évolution, le monde de la chasse a perdu de son influence et ne sait plus quelle voie choisir.
L’esprit de clan intouchable, aux pratiques immuables l’enferme dans un choix restreint souvent plus vociférateur que constructeur. Vivre en autarcie et nier que les chasseurs ont des comptes à rendre est suicidaire.
L’ouverture, la transparence et l’adaptation sont une obligation vis-à-vis de la société moderne.
Avons-nous des choses à cacher ?
Pourquoi la chasse devrait-elle échapper à cette évolution ?
Faut-il attendre que les réserves de chasse d’aujourd’hui soient demain les seuls espaces où l’on nous autorisera à chasser ?
Après plus de 20 ans de conflits ouverts, de dispersions « socio-scientifico-administratives », de décisions prises au coup par coup et incompréhensibles depuis le terrain, nous pouvons faire le constat d’échecs retentissants.
Est-ce une fatalité ? Devons nous reprocher aux associations anti-chasse d’êtres efficaces ou plutôt faire le bilan de notre incapacité à les contrer ?
Belle solution de facilité que d’accuser les politiques, les scientifiques, l’administration, les juges … pour empêcher de se poser les bonnes questions.
Regardons la réalité en face : nous ne sommes pas bons !
Quels sont nos projets pour les 10 années à venir ? Comment bien gérer l’immédiat, le court terme, sans projet à long terme ?
Esprit d’assiégés, incompréhension des attentes et exigences de la société, attitudes réfractaires à l’évolution, le monde de la chasse a perdu de son influence et ne sait plus quelle voie choisir.
L’esprit de clan intouchable, aux pratiques immuables l’enferme dans un choix restreint souvent plus vociférateur que constructeur. Vivre en autarcie et nier que les chasseurs ont des comptes à rendre est suicidaire.
L’ouverture, la transparence et l’adaptation sont une obligation vis-à-vis de la société moderne.
Avons-nous des choses à cacher ?
Pourquoi la chasse devrait-elle échapper à cette évolution ?
Faut-il attendre que les réserves de chasse d’aujourd’hui soient demain les seuls espaces où l’on nous autorisera à chasser ?