Publié : 19 août 2010 07:59
qui peut me donner 1 prix par animal abattu en safari en afrisue hors du forfait?merci qui peut me donner 1 prix par animal abattu en safari en afrisue hors du forfait?merciForum Chasse Passion, 1er forum de chasse en France
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qui peut me donner 1 prix par animal abattu en safari en afrisue hors du forfait?merciPublié : 20 déc. 2010 22:27
Très simplement ... quasiment personne si le sens de votre question porte sur un seul animal qui ne s'ajoute pas à un forfait de type "package".
Si votre question porte sur l'idée "d'animal supplémentaire" après la réalisation du plan forfaitaire, alors tout se négocie avec chaque organisateur sur place pour autant qu'il juge pouvoir marier ce tir supplémentaire à la bonne gestion de sa zone.
La plupart du temps, ce qui est proposé ce sont des forfaits qui incluent un tel nombre d'animaux et leur désignation.
Il est évident que si un chasseur a le malheur de prélever TOUS ses animaux durant les trois premiers jours de chasse, le guide va se dépatouiller pour lui proposer mieux que de rester au bar du camp.
Pour parler d'une chasse d'initiation, il existe en RSA des packages à prix très réduits pour l'abattage de femelles en surnombre. Pas de trophées évidemment avec les femelles.
Il en va autrement pour les gibiers (alors tous mâles) accessibles hors packages tels que les Nyalas des plaines ou les Rhinocéros ( RSA aussi ) mais je n'ai jamais eu de demande à ce sujet car les tarifs sont vraiment TRES élevés.
A ce stade, je ne vous parle pas de 10.000 ou 20.000 euros, je vous parle de prix très élevés.
Quittons maintenant l' Afrique du Sud, et parlons d'autres pays d'Afrique. Pour autant, à chaque fois que vous lirez "parc" plus bas, c'est que je fais référence à l'Afrique du Sud.
Que les clients soient européens, arabes ou américains, je n'ai que rarement vu quelqu'un venir en Afrique pour un seul gibier car , hors chasse en parc, rien n'est certain.
Observez que même en parc, on peut en baver .
Evidemment, les gens qui tirent de la voiture n'en baveront pas mais comme je ne les fréquente pas ... sauf -évidemment- en cas de handicap.
Quand quelqu'un vient pour un seul gibier, c'est pour un éléphant (RCA, Cameroun, Zimbabwe etc... ), un lion par exemple au Burkina ou un Nyala des Montagnes en Ethiopie, ou un Elan de Derby ou un Bongo etc...
Là, on est dans un profil de chasseur ordinairement très expérimenté et qui sait parfaitement ce qu'il veut.
Et encore, ce type de chasseur sait qu'il en sera peut-être réduit à tirer un buffle car, en dépit des efforts et parfois de l'épuisement du client, celui-ci aura peut-être vu son gibier de prédilection mais n'aura jamais pu le tirer pout telle ou telle raison de chasse en nature ouverte.
Tirer un buffle est formidable, mais le chasseur qui se fixe le Bongo ou un autre animal assez rare a d'habitude déjà tué un ou plusieurs buffles.
En fait, il est bien d'inviter le client à donner ses buts prioritaires, on les classe par ordre d'envie mais aussi de possibilité du terrain et on se crève pour qu'il ne nous fasse pas bobo sur internet si il est trop déçu.
Très important à savoir : chacun doit s'assurer qu'il part effectivement pour la chasse d'un animal représentatif de l'espèce et non d'une caricature appauvrie car cela peut arriver.
La chasse à l'arc à l'approche ne permet pas de rechercher l'animal absolument représentatif et il faut parfois se résoudre à flêcher un sujet qui est techniquement flêchable.
En safari sur zone ouverte (= non clôturée) il faut savoir accepter deux à trois semaines de marche, de carence de sommeil, accepter la dépense de base ... en s'interdisant par verrouillage psychologique le refus de tir de tel gibier de rencontre même en toute fin de safari ; je ne l'ai jamais vécu mais il est bien possible que des collègues l'aient vécu.
Toutefois, si la chasse concerne un gibier de montagne rarissime, alors on comprendra que le chasseur ne se rabatte pas sur n'importe quel gibier à la redescente, par dépit.
Il s'agit là d'un autre profil psychologique de chasseur, qui allie la recherche d'une chasse exceptionnelle au goût de l'effort physique extrême.
Si vous souhaitez faire appel à un professionnel de la chasse, je ne suis pas actuellement à votre disposition. Je vous engage à recourir à un autre guide ACP que moi (voyez notamment avec Philippe de La Harpe / Administrateur de l' Association des Chasseurs Professionnels ).
L'ACP a maintenant un site à jour et sera présent à Rambouillet.
Eventuellement par MP, je peux vous diriger vers un collègue très sérieux . Notamment pour un lion vers novembre 2011. Effort garanti ; tir non garanti. D'autres espèces sont bien sûr proposées.
Si le prélèvement n'est pas effectué, la taxe d'abattage n'est évidemment pas réclamée, mais le séjour reste payable . Chacun le comprendra.
Veuillez noter que je suis sur ce forum pour passer mon temps et non pour bosser à faire de la retape et je m'occupe ordinairement de chasseurs non francophones car je ne suis pas francophone à la base.
Cordialement,
Pakassa
Si votre question porte sur l'idée "d'animal supplémentaire" après la réalisation du plan forfaitaire, alors tout se négocie avec chaque organisateur sur place pour autant qu'il juge pouvoir marier ce tir supplémentaire à la bonne gestion de sa zone.
La plupart du temps, ce qui est proposé ce sont des forfaits qui incluent un tel nombre d'animaux et leur désignation.
Il est évident que si un chasseur a le malheur de prélever TOUS ses animaux durant les trois premiers jours de chasse, le guide va se dépatouiller pour lui proposer mieux que de rester au bar du camp.
Pour parler d'une chasse d'initiation, il existe en RSA des packages à prix très réduits pour l'abattage de femelles en surnombre. Pas de trophées évidemment avec les femelles.
Il en va autrement pour les gibiers (alors tous mâles) accessibles hors packages tels que les Nyalas des plaines ou les Rhinocéros ( RSA aussi ) mais je n'ai jamais eu de demande à ce sujet car les tarifs sont vraiment TRES élevés.
A ce stade, je ne vous parle pas de 10.000 ou 20.000 euros, je vous parle de prix très élevés.
Quittons maintenant l' Afrique du Sud, et parlons d'autres pays d'Afrique. Pour autant, à chaque fois que vous lirez "parc" plus bas, c'est que je fais référence à l'Afrique du Sud.
Que les clients soient européens, arabes ou américains, je n'ai que rarement vu quelqu'un venir en Afrique pour un seul gibier car , hors chasse en parc, rien n'est certain.
Observez que même en parc, on peut en baver .
Evidemment, les gens qui tirent de la voiture n'en baveront pas mais comme je ne les fréquente pas ... sauf -évidemment- en cas de handicap.
Quand quelqu'un vient pour un seul gibier, c'est pour un éléphant (RCA, Cameroun, Zimbabwe etc... ), un lion par exemple au Burkina ou un Nyala des Montagnes en Ethiopie, ou un Elan de Derby ou un Bongo etc...
Là, on est dans un profil de chasseur ordinairement très expérimenté et qui sait parfaitement ce qu'il veut.
Et encore, ce type de chasseur sait qu'il en sera peut-être réduit à tirer un buffle car, en dépit des efforts et parfois de l'épuisement du client, celui-ci aura peut-être vu son gibier de prédilection mais n'aura jamais pu le tirer pout telle ou telle raison de chasse en nature ouverte.
Tirer un buffle est formidable, mais le chasseur qui se fixe le Bongo ou un autre animal assez rare a d'habitude déjà tué un ou plusieurs buffles.
En fait, il est bien d'inviter le client à donner ses buts prioritaires, on les classe par ordre d'envie mais aussi de possibilité du terrain et on se crève pour qu'il ne nous fasse pas bobo sur internet si il est trop déçu.
Très important à savoir : chacun doit s'assurer qu'il part effectivement pour la chasse d'un animal représentatif de l'espèce et non d'une caricature appauvrie car cela peut arriver.
La chasse à l'arc à l'approche ne permet pas de rechercher l'animal absolument représentatif et il faut parfois se résoudre à flêcher un sujet qui est techniquement flêchable.
En safari sur zone ouverte (= non clôturée) il faut savoir accepter deux à trois semaines de marche, de carence de sommeil, accepter la dépense de base ... en s'interdisant par verrouillage psychologique le refus de tir de tel gibier de rencontre même en toute fin de safari ; je ne l'ai jamais vécu mais il est bien possible que des collègues l'aient vécu.
Toutefois, si la chasse concerne un gibier de montagne rarissime, alors on comprendra que le chasseur ne se rabatte pas sur n'importe quel gibier à la redescente, par dépit.
Il s'agit là d'un autre profil psychologique de chasseur, qui allie la recherche d'une chasse exceptionnelle au goût de l'effort physique extrême.
Si vous souhaitez faire appel à un professionnel de la chasse, je ne suis pas actuellement à votre disposition. Je vous engage à recourir à un autre guide ACP que moi (voyez notamment avec Philippe de La Harpe / Administrateur de l' Association des Chasseurs Professionnels ).
L'ACP a maintenant un site à jour et sera présent à Rambouillet.
Eventuellement par MP, je peux vous diriger vers un collègue très sérieux . Notamment pour un lion vers novembre 2011. Effort garanti ; tir non garanti. D'autres espèces sont bien sûr proposées.
Si le prélèvement n'est pas effectué, la taxe d'abattage n'est évidemment pas réclamée, mais le séjour reste payable . Chacun le comprendra.
Veuillez noter que je suis sur ce forum pour passer mon temps et non pour bosser à faire de la retape et je m'occupe ordinairement de chasseurs non francophones car je ne suis pas francophone à la base.
Cordialement,
Pakassa
Publié : 09 avr. 2011 12:14
bonjour,et merci pour votre reponse que je decouvre apres des mois,car je n etais plus sur ce site.Mais c est sympa d avoir pris le temps de m expliquer.cordialement