Mouaif....
il y a déjà un objectif d'étude ou de terminologie dans ce projet qui me convient moyen:
"C'est en recueillant un maximum d'éléments sur l'ensemble de ces paramètres qu'il sera possible de mieux comprendre les liens entre chats domestiques et faune sauvage, et leur place dans les écosystèmes."
Le chat domestique n'a pas sa place dans les écosystèmes, point.
Qu'on étudie le problème de la présence dans la nature OK, mais que l'on considère en préambule sa présence comme normale et acquise non
Au niveau méthode, faire appel aux déclarations sur la base du volontariat laisse présager d'énormes biais, on espère qu'en parallèle sont menées des études plus précises avec des suivis de chats sur plusieurs mois.
Après je rejoins ce qu'à dit DARNEPASSION, la prédation du chat domestique est réelle mais je serais très heureux de n'avoir que cet impact sur la faune. On peut reprocher aux chats d'un quartier de bouffer quelques oiseaux dans les nids, mais ils ne tueront jamais autant que celui qui arrache 1 km de haies, ou repend des litres de pesticides dans un champ.