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je pense que sur certaines communes comme celle ou je chasse si pas de lachers pas de gibiers ( je parle bien sur de perdreaux et faisans). Il n'y a pas de culture donc les animaux ne peuvent rester.
Je suis d'accord avec ceux qui pensent et disent que ces cocottes ne sont pas de gibiers et que même certaines n'ont jamais voler avant d'être lachée. Mais on mettrait quoi sous le nez de notre chien!!!
Je n'ai pas la chance de chasser sur un territoire ou le giber sauvage est présent mais croyais moi que je serai le plus heureux de croiser un vrai perdreaux qui jouent de ruses et de courses pour dejouer les plans de mes deux chiens. On fait avec ce que l'on a.
Je commence a changer d'opinion sur les faisans de lacher de ma societe
On a un territoire a mon avis qui est propice a leurs lachers, car beaucoup, beaucoup de couvert, de ronces de sale, et pour l'instant les faisans que j'ai vu, ne tiennent pas l'arret, vole tres tres bien.
Donc a mon avis ca doit etre du faisan qui a été laché qui reste d'années en années, grace au nombreux piegeages des prédateurs sur la societe.
Moi qui pensait voir des faisans qui savaient a peine voler et qui reste au nez des chiens sans rien faire, bah non, et je suis ravit
Mais c'est vrai qu'on a pas tous la chance d'avoir des territoires où il faut aller dénicher les faisans dans des coins tres sale, donc a mon avis ils sont tranquil et bien content
le gros probleme dans beaucoup de société c est que le lievre çà dure peu de temps le lapin a disparu le perdreau a du mal a resister il reste quoi pour les chasseur le sac de farine lacher de la veille !! c est pas mon trip je chasse aux courants mais je comprend que certains le chassent car il y a que çà ....et c est vrai que c est pratique pour dresser les chiens d arrets !!
voici un article intéressant trouvé sur "lebetravier":
Chasse A propos du gibier de tir
Il existe plusieurs manières de détruire la chasse. Mais l’interdiction du lâcher de gibier de tir est certainement l’une des plus efficaces.
Alors voilà : lâcher du gibier de tir, ce n’est, paraît-il, pas bien du tout, et dans le silence des cabinets ministériels on travaillerait vigoureusement à son interdiction. De quoi parle-t-on exactement ? De ces lâchers de faisans et de perdrix qui alimentent depuis longtemps les chasses communales et les chasses commerciales.
Le principe est simple : la société de chasse achète à un éleveur un certain nombre de boîtes bien garnies que l’on ouvre le matin ou la veille de la chasse. La réaction de ces oiseaux est différente selon leur origine. Si on les a tenus dans de vastes enclos disposant d’une végétation naturelle, leur réaction est assez proche du gibier naturel. Il vont “piéter”, se défiler et échapper au chien. Si on les a entassés dans de petites cages, ils seront au contraire beaucoup plus vulnérables.
Les oiseaux “bien élevés” volent parfaitement ; les autres volètent, se branchent et n’ont guère d’intérêt. Il faut donc bien choisir son éleveur.
Un fusil décoratif ?
Il est certain que tous les chasseurs préfèreraient ne tirer QUE du gibier sauvage, seulement voilà, le milieu ne convient guère au petit gibier et, partant, les densités sont maigres. On peut certes “retrousser les manches”, planter des haies et des cultures à gibier, installer des agrainoirs, détruire les prédateurs, mais tout cela exige, d’une part, d’avoir la maîtrise du foncier et, d’autre part, du temps. Car il faut parfois dix ans pour remonter un peu une chasse de perdreaux, par exemple. En attendant, que fait le chasseur sans apport de gibier de tir ? Il peut certes considérer le fusil comme un accessoire décoratif et se promener l’arme à la bretelle en sifflotant et en prenant le bon air.
Mais - et cela semble assez normal - une majorité de chasseurs aiment … chasser. Le gibier de tir leur permet de tirer quelques cartouches, d’exercer leur adresse et d’entraîner le chien. On ne voit pas bien où se situe “la faute lourde”. Ce gibier est élevé pour être tiré comme le poulet est élevé pour être électrocuté. Cette activité fait vivre des professionnels de l’élevage, des dresseurs de chiens, des fabricants de munitions, des chasses commerciales, bref un secteur économique qui est loin d’être dérisoire.
Les détracteurs se placent sur le terrain de l’éthique pour les uns, de la moralité pour les autres. Les premiers clament haut et fort que chasser dans ces conditions ce ne serait plus chasser. Ils ont partiellement raison dans la mesure où l’apport de gibier est artificiel, mais le travail du chien, le tir et le rapport restent, eux, authentiques. Les seconds – écologistes – estiment que c’est un acte de cruauté. Si on veut pousser le raisonnement jusqu’au bout il faut alors immédiatement interdire tout élevage de volaille car l’électrocution est au moins aussi cruelle que le tir au plomb.
Faire bloc
Tout cela ne tient pas debout et l’on s’étonne de voir quelques chasseurs se rallier benoîtement à ce funeste projet.
Il ne faut pas s’y tromper : cette interdiction a essentiellement pour but de miner la chasse. Car que va-t-il se passer si elle devient un jour effective ? Hé bien, c’est très simple, du jour au lendemain les sociétés communales vont perdre la moitié de leurs adhérents. Ces chasseurs ne reprendront pas leur permis. D’une érosion de 30 000 permis par an nous allons gaillardement tripler ou quadrupler ce chiffre ! Ce seront les écologistes qui seront contents.
Il faut que les chasseurs fassent bloc contre ce funeste projet. Il faut aussi que le gouvernement comprenne que dans ce domaine - comme dans tant d’autres - la réglementation çà suffit ! A force de houspiller le citoyen dans les moindres recoins de sa vie privée on le transforme en zombie. Les chasseurs font beaucoup pour la nature, qu’on les laisse vivre ! Malheureusement, les tentacules bureaucratiques s’infiltrent partout. Il faudra bientôt être vétérinaire pour donner un morceau de chevreuil à ses amis et avoir, chez soi, une boucherie “aux normes européennes”, pour pouvoir le découper. Le couteau de chasse devra peut-être aussi se conformer un jour “aux normes européennes”, pourquoi pas ? Et le chien itou. Ce serait bien d’avoir tous le même chien dûment estampillé par l’administration bruxelloise.
Et on se demande ensuite pourquoi tant de citoyens d’ici et d’ailleurs sont réticents à approuver le carcan européen ! L’ouverture – si simple hier – est devenue aujourd’hui un véritable casse-tête avec des ouvertures échelonnées qui échappent à tout bon sens.
Le monde de la chasse qui pèse encore dans les élections (heureusement !) devrait hausser le ton et dire un “non” franc et massif à toutes les sottises que l’on veut lui imposer. Et comprendre qu’en ce qui concerne les conseillers qui entourent le pouvoir, venant tous des milieux abolitionnistes (Nicolas Hulot en tête), rien ne peut sortir de bon de ces pseudo-réunions où l’objectif principal est de torpiller un loisir populaire en ayant l’air de ne pas y toucher.
Djama je te remercie et te félicite pour ta contribution sur ce topic.Chassuer girondin je chasse dans la lande(forets de pins fougères et ajoncs,territoires propices à la bécasse quand il y en a), et le reste c'est une infection de chevreuils, et maintenant de sangliers.Chasseur au chien d'arret j'attends la mordorée avec impatience,mais comme cette année j'ai vu la première fin novembre,j'ai été content de faire chasser mon chien sur des "cocotes" en attendant la belle aux yeux de velours.Nous avons la chance d'avoir de bons éleveurs car le gibier est volant et piéteur,et au bout de quelques jours si vous n'avez pas de bons chiens c'est la bredouille assurée.Les sylviculteurs n'entretiennent même pas leur forêt alors mettre de la culture à gibier ???? Voilà pour ma part.
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