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18 novembre 2001, cette date restera a jamais gravee dans ma memoire. C'etait ma premiere saison de chasse, et je pense que la l'expression "la chance du debutant" prend tout son sens.
C'etait un dimanche matin, froid et la bise soufflait depuis peu, le vent avait tourne sur le matin puisque la veille s'etait le vent du midi. Mon pere n'etait pas tres motive ce jour la,. Il traianit comme si le froid lui faisait peur. Tina elle nous attendait, elle avait chasse la veille et se doutait bien qu'aujourd'hui elle pourrait recommencer. Nous partimes donc tard, puisqu'il etait deja presque 9 heures, en direction d'un petit bois, situe a environ 300 metres de chez nous dans l'espoir de lever un , ou de faire voler un . Une haie menait a ce petit bois et c'est la generalement que la chienne levait les s, mais ce jour la, bizarement elle n'insistant pas malgres nos encouragements. Mon pere me dit "Bon tu es jeune, tu passe en haut aujourd'hui?", j'acquieessait et me dirigeais vers le sommet du petit bois qui doit faire environ 150 metres de long et une quarantine de metres de large, le devers se faisait justement dans la largeur et etai present tout le long.
La bise commencait a me frigorifier, quand Tina donna un coup de voix, puis un autre, d'un coup un claquement d'ailes me fit sursotter mais je ne vit rien. Tout de suite apres mon pere me dit "Je crois bien que c'etait une , je l'ai pas bien vu mais il me semble, je l'ai vu plonger derriere un buisson. Je vais mettre la chienne." De mon cote j'avancais le long du bois cherchant une eclaircie me permettant d'en voir l'interieur. La chienne chercha et peu de temps apres le claquement d'aile se fit de entendre, et la vint se poser juste en contrbas de l'endroit ou j'etais, je l'avais vu elle etait la dans ce gros buisson, mais mainteant je ne pouvais plus rien, elle avait disparue. Le stress montai, l'emotion me gagnait. "Vite un disperseur. Il me faut un disperseur" J en trouvais un dans une poche je le mettait dans le fusil tout en craignant que l'oiseau magique ne s'envole alors que j'effectuais la manoeuvre. Heuresement la chienne n'etait pas encore e jusqu'a moi, mais je l'entendais approcher, je l'avais appelee et elle savait que l'oiseau etait la a la maniere dont je l'avais fait. La chienne entra dans le fameux gros buisson et encore une fois elle se mit a japper et la s'envola, PAN!!! Le coup de disperseur etait partit alors que la mordoree passait juste derriere un lierre. Et la le silence retomba dans la campagne. Mon pere n'avait pas tirer et moi je ne savais pas si je l'avais touche. "tu l'as vue ?"demandais-je a mon pere. "Oui elle est morte bien tire" me repondit il. "Je vais te la chercher bouge pas". De toute maniere je ne risquais pas de descendre dans ce tas de ronces. La pression retomba et le stress laissa place a l'emotion. C'etait ma premiere , la premiere que je tirais."Sacre veinard, me dit mon pere, moi il m'a fallut 16 ans de chasse avant de tuer ma prmiere ". Le reste de la matinee avant etait beaucoup plus calme, la chienne n'avait pas re-donner de coup de voix, pas un pied de rien.
Bien sur le repas de midi, eu comme principal sujet de conversation, la du matin. La maitresse de maison savait qu'il lui faudrait bientot preparer une bonne rotie en accompagnat l'oiseau de grives.
L'apres midi, nous repartimes cette en fois en direction d'un autre quartier ou ce trouvais la aussi un bois. Mais la encore comme le matin, la chienne ne levait pas de , ni de ... Avant de rente a la voiture nous avion decide d'aller voir le champ de ble de mon pere. Qui sait peut etre que l'on verrait quelque chose en y allant, et la le long d'une haie, en pleine etouble, un oiseau au reflets brun decollait devant moi, je le mis en joue, pis me ravisa "C'est un perdreau, et c'est ferme depuis une semaine" me dis-je. Mais l'orsque l'oiseau passait sur la haie je vis un grand bec se dessiner...il s'agissait en fait d'une , je n'eus pas le temps de la tirer et mon pere ne la vit pas, ne sachant pas ou cele-ci etait alle, nous continuons notre chemin.
Avant de quitter le bois, nous avions rencontrer deux chasseurs qui nous avaient di qu'un sanglier avait etait vu dans l'apres midi. Un sanglier a saint marcel on aura tout vu ce coup ci me dis mon pere mais sait on jamais. Au bord du champ de ble se trouvait une cloture. Nous avancions vers celle -ci et examinions le ble quand nous vimes des pieds qui pouvaient etre de sanglier mais le sol etait tellement sec que c'etait dur a voir. Il semblait si diriger vers la commune limitrophe. "ils n'avaient peut etre pas tors finallement, mais il a du filer" Nous regardions vers la ou se dirigeaient les pas de l'animal, vers un champ sal sur l'autre commune, lorsque d'un coup mon pere me dit de regarder dans ce champ, le sanglier arrivait au petit trop, il cherchait certainement un endroit pour franchir la cloture. Nous remplassions alors les s par des balles et la bete arrivait vers nous puis elle s'arretat a une trentaine de metres, nous t face, de la fumee sortait de ces nasaux. Nous le mettons en joue et je decidait que mon pere tirerai en premier j'avais les jambes qui tremblaient. Dans l'exitation nous tirions tous les deux nos deux balles et la bete s'effondra. La chienne leva la tete se demandant ce qui se passait car elle savait que l'histoire d'aller voir le champ de ble s'etait plus de la promenade qu'autre chose. Le sanglier avait pris une balle dans la tete et une lui avait effleure la cuisse. Il n'etait pas gros puisqu'il naffichait sur la bascule que 35 kg mais quand meme....un sanglier...c'est si rare chez nous et nous ne connaissions pas. Et puis oyons honnete, je pense que nous ne sommes pas les seuls a avoir tire sur un sanglier de cette taille.
Retour en fanfarre a la maison, ou on appela mon grand oncle qui savait bien vider puisqu'il saiganit les cochons avant. De mon cote j'appelais ma mere pour lui dire que ce soir j'aurais un peu de retard....
Voila je croi que ce fut ma journee de chasse la plus extraordinaire, une , un sanglier, et une qui volait toujours...Je ne pense pas que cela de mais a la chasse on ne sait jamais.......
Sympa comme journée, en effet et dire que j'ai presque vécu la même choses sauf que moi j'était seule, que la bécasse n'ai pas tombé avec un dispersante et que le sangliers a continuer pour étre récupéré (mort) par le voisin
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