Salut à tous,
Voilà, je voudrais renouveler mon stock de blagues sur la chasse.
Je suis surtout intéressé de blagues pas trop graveleuses,
pour pouvoir les raconter sans avoir honte lorsque ma belle-mère
est présente au repas de chasse…
Maintenant si elles sont salaces, je prends quand même !
Hop, j’ouvre le bal…
Deux amis belges (désolé pour les posteurs wallons, mais ils adapteront à leur public), chasseurs évidemment, sont en vacances dans les Pyrénées. Ils sympathisent avec le patron d’un resto, lui aussi chasseur, qui leur offre de tirer un sanglier sur sa chasse. Ils leur prête son 4x4 Mercedes, sa Blaser sur laquelle est montée une Svaro, et ses jumelles Zeiss, mais car il ne peut pas les accompagner. Il leur indique la route jusqu’au petit parking d’alpage où ils doivent s’arrêter pour suivre un sentier jusqu’au bon mirador, situé en lisière d’une sapinière. Les deux lascars trouvent le lieu sans problème et son en poste à 4h00 du matin. Comme le restaurateur leur avait dit, vers 5h50, du bruit les mets aux aguets… il y a un sanglier qui approchent. Ils jumellent et identifient un gros dédé bien armé à 100 mètres de leur affût. L’un des deux chasseurs épaule silencieusement, met le dédé dans la lunette, positionne le réticule sur le défaut de l’épaule, bloque sa respiration et lâche une balle de 300 WM. Blam ! Le dédé sursaute et rentre dans le fourré. Sûr de son coup de carabine, le tireur demande à son compère d’attendre… 20 minutes plus tard, ils vont en silence vérifier le tir. Il y a beaucoup de sang et ils retouvent vite le sanglier 15 mètres plus loin. A vu de nez, c’est un gros pépère de plus de 100 kilos avec des belles bananes. Émotion et congratulations, puis ils réalisent qu’ils vont avoir du mal à le ramener au 4x4. L’un des deux suggère de le vider sur place pour gagner quelques kilos et qu’il leur suffira de le tirer chacun par une patte pour se répartir le poids. Au bout de 500 mètres d’efforts, ils croisent un berger qui les félicite pour leur beau trophée. Ils leur suggère : « vous savez les pt’its gars, si vous l’tiriez par les pattes de d’vant, vous seriez dans l’sens du poil et ça glisserait mieux ! » Les deux belges sont stupéfaits de ne pas y avoir pensé plus tôt, ils lâchent les pattes arrières, saisissent celles de devant et remercient le berger pour son précieux conseil. 500 mètres plus loin, l’un des deux dit : « effectivement, c’est quand même plus facile dans ce sens. » Et l’autre : « oui, c’est vrai… Mais je crains que dans ce sens nous ne nous éloignons du 4x4 ! »
