Bonsoir
Nouveau, voila la case que j'ai du sélectionné pour poster ce sujet qui ne les pas.
En effet je suis entrain de remettre en ligne certain de mes sujet qui avait assez bien fonctionner et qui on deja été traité par les anciens du forum.
Donc voila; Hier soir en lisant les fabuleuse histoire du petit livre des chasseurs 2004 j’ai eu l’idée de vous les faire partager ce qui je pense correspond a notre passion et a certaine de nos raison, pas seulement pour les chasseurs mais aussi pour ceux qui ne comprenne pas la chasse.
Nous essayons toujours et par tous les moyens de nous rassurer et de faire passer un message de devoir alors que nous pratiquons par passion.
Charles Henri Ponchalon, (président de la fédération nationale des chasseurs) écrit dans ce même petit livre :
Notre chasse est faite de mille sentiments, de visions furtives, de poursuites, de recherches, d'amitiés, de complicités avec nos chiens, de gouttes de pluie et de bourrasques, de liberté, en un mot, d'émotions. Ces émotions sont notre grand trésor. Trop souvent, nous les rentrons en nous car les thèses anti-chasse nous ont culpabilisés, ou simplement par pudeur, de crainte de ne savoir exprimer avec des mots tant de joies naturelles. A tort, car dans notre société en quête d'authenticité, c'est en parlant vrai que nous parviendrons à convaincre.
Aussi je vous propose donc un des récit de ce petit livre vert 2004 et vous comprendre après la total lecture ou je veut en venir.
L’oiseau de la terre
Chien figé à l’arrêt, perdreaux bloqués sous les betteraves, chasseur immobile attendant l’envol : le temps est suspendu…
Le grand setter noir et blanc a freiné le galop qui le faisait voler au-dessus des betteraves, pour faire brutalement volte-face. Il a levé haut la truffe afin de mieux capter ces émanations si particulières qui lui donnent des yeux un peu fous, celles des perdrix grises. Dans un trot coulé, dénouant un fil d'Ariane invisible pour l'homme, il a remonté le vent en buvant avidement ce sentiment fugace qui l'a guidé jusqu'au bout de la parcelle. Comédien dans un film tourné au ralenti, il a décomposé ses mouvements d'approche vers la source de sa quête, avançant une patte, la posant sur le sol, puis une autre, avant de s'immobiliser totalement. Elles y sont, elles sont là, tellement effrayées qu'elles n'osent plus bouger ; ni courir ni voler. Yeux exorbités, oreilles hautes, tous muscles tendus, le grand chien a entrouvert la gueule et, babines frémissantes, s'est affaissé lentement, très lentement pour ne pas rompre le lien qui le lie à ses proies. Le temps s'est figé ; qui, des oiseaux bloqués sous les feuilles de betteraves, au setter tétanisé, est sous le charme de l'autre ?
Le chasseur n'a rien perdu de la scène. Sans se hâter, il va vers son chien statufié. Prudemment, il avance dans les betteraves et se remémore l'époque où il était, dans son village natal, considéré comme le plus rapide coureur de plaine, infatigable arpenteur des labours. C'est qu'il y en avait des perdreaux à cette époque : la nature était généreuse... Aujourd'hui, ils sont moins nombreux mais heureusement toujours présents grâce aux efforts de gestion consentis par les chasseurs. L'émotion, elle, est restée la même : malgré ses 50 permis, il sent battre son cœur en approchant du chien à l'arrêt. Son gibier l'attend.
L'oiseau symbole de la Beauce, à ses côtés tout au long de cette vie vouée à la culture... Le coq fièrement dressé dans le blé en herbe ; la poule traînant l'aile comme si elle était blessée pour détourner l'attention de l'intrus alors que les poussins restent cachés ; la compagnie couleur de terre qui ondule dans les labours ; les oiseaux dans la neige gonflant leur plumage pour mieux résister au froid... Toute une vie avec les perdrix, au fil des saisons...
Le chien n'a pas bougé, les oiseaux non plus sans doute. Le chasseur est tout proche à présent, prêt, dernier élément de cette étrange triangulaire. Criant de peur et de fureur contenues, claquant des ailes sur les flancs, les oiseaux ont jailli des betteraves. La compagnie a explosé en bouquet vers le ciel.
Il a distingué les crêtes rouges et le fer a cheval des coqs. Le vieux juxtaposé a tonné une fois, deux fois…Le chien, libéré a foncé sans attendre l’ordre pour ramener le premier oiseau fauché, l’a déposer dans la main de son maître. Le chasseur a respiré lentement sa perdrix cette odeur de pattes, de chair et de sang, de poussière.
Des histoire comme c’elle si nous en avons tous au moins une dans notre mémoire et c’est celle de notre première ouverture.
Je vous propose donc des maintenant que nous exposions chacun nos récit et nos mémoire qui nous font tans rêver et qui entretien notre passion
Un matin de septembre 2000 a coupvray en seine et marne.
Bip bip bip ! Bip bip bip ! Bip bip bip! Après avoir entrouvert un œil, je compris vite que se bruit étai celui du réveil réglé spécialement pour l’occasion.
Sa y es il est l’heure, l’heure de ce lever pour le moment que j’attendais depuis des années en accompagnants mon père, en faisans le porte gibier et le rabatteur.
L’heure d’user pour la première fois de ce privilège qui et ce magnifique papier est le permis de chasse.
Il est 5 h du matin, je suis heureux et impatient mais a la fois timide et peureux, je ne ces d’ailleurs toujours pas pourquoi, je ne ces même pas si ces de la peur.
Bref d’un coup la porte s’ouvre c’était le paternel et le frangin venu me rappeler que l’heure était venu et qu’il fallais que je soit près a partir dans une heure.
Je ne me fit pas trop prier, une bonne douche puis je me prépare : (gilet, chemises, pantalons guêtre, chaussure) et même la cartouchier qui était remplie depuis deux bon moi.
Dernier vérification de mon superposer Bettinsoli, un magnifique calibre 12 payer avec mes économie.
Bref nous voila partie 50 kilomètre de route et nous arrivons a morille, petit lieu dit du cœur de la brie.
7 h nous voici tous regroupé dans le hangar et là nous retrouves tous nos amis derrière une petit terrine de lièvre et un bon café.
Et voila je retrouve tous les amis, mais quelque choses a changé, avant j’était le fils Dubois petit rabatteur, porte gibier et petit braco a ces heure.
Tandis que maintenant je suis Mathieu le jeune chasseur a qui chacun donne un conseil.
Je me souvient de certain comme celui d’un vieux garde qui me dit : Si tu tire un livre qui est rentrant tu le visse entre les pattes et si il est fuyant tu le visera entre les oreilles.
Je me rappelle aussi du conseille d’un éternelle tireur de bécasse qui me dit : « Mathieu pense au queue tête pans ces la seul et meilleur technique. »
Bref 8 h et dernière mise au point, le garde nous expliques le déroulement de la journée et malgré le brouillard nous explique les différentes plaines qu’il compte nous faire faire.
9 h moins le quart nous voici près le moment fatidique venu le père me dit tu restera a coter de moi et je t’expliquerais si tu fait des erreurs.
Je fini de me préparer et demande au frangin ce que je doit mettre dans le fusil ? Il me montras un cartouche et me dit sous un ton ironique moi je n’est besoin que d’une cartouche pour la journée.
9h nous somme près et le brouillard se lève, nous commençons donc la première traque, très vite les premier chien se mette a l’arrêt certain font leurs lièvre quelque compagnie de perdreaux parte d’ici et la mais moi rien.
11h toujours en train de traquer et je commence a me dire que je vais rentrer bredouille a la maison quand tous d’un j’entendit un corbeau, je me retourne et regarde au dessus de moi, il était la 10m au dessus et volait tranquillement.
Pas de pitié et pans, le temps s’étant complètement dégagé tous le monde aperçu l’oiseau tomber comme une pierre et tout le monde me fi un signe, j’était content mais se n’était qu’un corbeau.
Et puis rien, midi venu et je n’avais toujours pas eu l’occasion de tirer l’oiseau de la terre, nous regagnons le hangar pour pouvoir se réchauffé et reprendre nos force.
Apres un bon repas il est tems, tems de repartir, 13 h tous le monde a fini de manger et est près pour une des plus gros plaine 240 hects.
Moi et le frangin remontions un chemin quand d’un coup démarras un capucin, a peine j’ai eu le temps de l’épauler que le frangin avec sa seul cartouche l’avait déjà fait bouler.
Il fallais maintenant que je lui montre que moi aussi j’était capable, nous posâmes le bracelet et partir nous poster.
Le début de traque sonnât et les perdreaux ne se fi pas prier, il venait droit sur moi j’épaule et pans mon premier perdreaux, j’était tellement heureux que j’en oublie de redoubler.
Quelque minute plus tard en revoilà encore une bonne quinzaine et pans un, je me retourne et pas mon premier doublé.
La trêve fut de courte durer un 20 min plus tard alors quel les rabatteur n’était plus qu’a 100 de moi je me retourna par instinct et un perdreau revenais de l’arrière je lui mit les deux cartouche et se déviait blesser vers mon frangin qui le fini d’un coup de longueur d’environs 60 m afin de lui abréger les souffrance.
La journée fini, je rentrais la maison avec mes pièce fier comme tous et presser de pouvoir revenir la semaine prochaine.
Maintenant a vous de nous faire patager votre premiere ouverture ou la façon dont vous l'imaginez