Forum Chasse Passion, 1er forum de chasse en France
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Voila maintenant un ans un jeune étudiant Anglais était venu sur le site afin de trouver des réponses et de l'aide pour un devoir qu'il devait faire en français.
Avec l'aide de certains membres, la reprise de certain topic et une distribution d'information, le projet a vu le jour et a même été achevé.
La note fut sans appelle 74/100 soit un bon 18.5/20
Voici l'extrai du travail.
La place de la chasse dans la France du 21ème siècle
Alistair Farmer
BA Maths and French
Year Abroad Project, Academic Year 2003/2004
INTRODUCTION
La chasse est synonyme de civilisation humaine depuis des milliers d‘années. Du premier homme qui se servait d’une lance au chasseur qui utilise l’arme à feu de nos jours, la chasse a fait partie de la vie et du patrimoine français. Cependant, alors que l’homme préhistorique devait chasser pour nourrir sa famille, quelle raison le chasseur moderne a-t-il de la pratiquer? Au fil des années, la chasse est passée d’une fonction nutritive pour nos ancêtres, à une activité qui ressemble fortement maintenant à un sport, pratiquée par des millions de personnes dans le monde. Pendant la période cynégétique qui s’étend du 15 juillet au 31 mars, 1.485.000 Français , plus qu’aucun pays européen, chassent des cerfs, des sangliers et des chevreuils ainsi que beaucoup de petits gibiers. Ils sont responsables de la mort d’une quarantaine de millions d’animaux chaque année .
Tandis que ce chiffre est actuellement en déclin , le nombre d’organisations anti-chasses accroît et rend plus féroce le débat entre les deux groupes. En analysant et comprenant les deux points de vue nous pouvons évaluer la signification que tient la chasse et décider si elle est toujours assez importante dans la France du 21éme siècle. Après avoir fait cela nous pouvons ainsi déterminer quelle place, c’est-à-dire quelle signification et quelle importance, la chasse a-t-elle en ce moment en France. En considérant que la chasse est un sujet très vaste, et existe sous de nombreuses formes, nous nous concentrerons principalement sur la chasse des grands gibiers, vu que c’est celle qui provoque le plus de débats et de polémiques de nos jours.
POUR LA CHASSE EN FRANCE
D’après les disciples de St. Hubert, le plaisir de la chasse réside dans trois caractéristiques: la traque , l’esprit de communauté et le contact avec la nature . Dans une France urbaine, il plaît aux Français de sortir dans les bois et de pratiquer un art ancestral, où ils trouvent « une communion avec la nature» . Sans doute n'existe-t-il rien de plus proche de notre patrimoine que la chasse, cet acte de survie si primordial. Étant donné qu’il n’est plus nécessaire de chasser pour s’alimenter, la chasse persiste sous forme d’un sport et c’est la traque qui en constitue l’élément de plaisir. La traque elle-même présente au chasseur et son entourage la poursuite à travers la forêt. L’imprévisibilité des mouvements de la proie produit la joie principale pendant que le chasseur et sa meute, envoyée en relais, épuisent l’animal et le mènent à sa mort. L’occasion de passer du temps dehors avec son chien est devenue aussi une motivation pour le chasseur.
La bataille d’esprits entre le chasseur et le gibier a donné naissance à un sport qui fait monter le taux d’adrénaline et qui, comme le prétendent les chasseurs, accorde à l’animal quelques chances de s’en sortir, rendant ainsi ce sport juste. Quoiqu’il paraisse saugrenu que les chasseurs, soi-disant amoureux de la nature, doivent épuiser et enfin abattre les objets de leur amour, c’est plutôt cet amour qui les conduit à chasser, le désir d’être proche des animaux et d’affirmer leur autorité sur la nature. Quelques chasseurs se sentent même « une affinité avec les espèces » qu’ils vont ensuite tuer.
La Régularisation des espèces
Pour étendre l’agriculture et le développement urbain, l’homme a commencé à réduire les espaces sauvages et ensuite a anéanti les populations de prédateurs qui menaçaient les troupeaux qui existaient sur ces espaces. Le nombre d’herbivores a ainsi augmenté exponentiellement, et le peu de prédateurs qui y restaient ne pouvaient point les contrôler. Pour assurer l’équilibre des forêts, les chasseurs se sont ainsi mis à pratiquer une forme de « régulation » des espèces. Ils voient la chasse comme la solution aux hardes d’herbivores qui menacent de se répandre dans les espaces agricoles français.
Ils reconnaissent que c’est l’homme qui a créé ce problème, puisque dans le monde sauvage la régulation est automatique. Ils prennent ainsi sur eux de le résoudre. Bien que tous les chasseurs n’exercent pas leur art pour réguler les populations, cette prétention se trouve de plus en plus souvent chez eux. Il convient aussi de rappeler que si on laisse reproduire les herbivores sans aucun prédateur, il faudrait agrandir leur habitat. On perdrait donc la terre que l’homme emploie déjà pour ses propres besoins.
La régulation des espèces résout à la fois les problèmes de l’expansion des animaux nuisibles et des dégâts coûteux que ceux-ci engendrent ensuite. L’Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage estime que les gibiers sont responsables chaque année pour plus de 18 millions d’euros de dégâts aux cultures françaises, dont 77% suscités par des sangliers . Solution trouvée par des fermiers: l’installation des clôtures électriques ou des grillages qui réussissent à empêcher les animaux de vagabonder sur leurs champs. D’ailleurs, cette pratique ne fait que priver la faune de ses moyens de sustentation. La campagne étant son environnement, ces barrières ne servent qu’à interdire au gibier de profiter de son milieu naturel, quelque chose que ne veulent ni les chasseurs ni les anti-chasseurs. Pour ce premier, leur passion pour la nature veut dire qu’ils ne souhaitent pas que les animaux soient privés d’habiter chez eux. Cependant leurs opposants, les anti-chasseurs partagent ce même avis et ce paradoxe est le seul accord entre les deux groupes. Mais ce sont leurs réactions à ce souhait qui les scindent. Alors que les anti-chasseurs veulent protéger les espèces et leur environnement, les lois cynégétiques dictent que les chasseurs doivent réagir pour aider les animaux, et cette réaction est de les réguler. La régulation de la faune fournit aux chasseurs une justification avec laquelle il est difficile de ne pas être d’accord. Il est reconnu que les ravages dus aux animaux deviennent de plus en plus coûteux pour les fermiers. Puisque c’est l’État qui rembourse les fermiers pour les dégâts aux cultures (mais non aux animaux) , les ministres trouvent dans la chasse un moyen simple et efficace de minimiser leurs dépenses et de plaire aux chasseurs français qui sont une grande partie de l’électorat.
Le permis de chasse
Il existe aussi un examen que l’on doit passer avant d’obtenir son premier permis. Ceci prend en compte le comportement, la capacité de reconnaître des cibles et le respect pour la sécurité du chasseur prospectif. Par égard pour les chasseurs autant que les anti-chasseurs, il importe que cet examen soit obligatoire, en vue d’assurer la sécurité des adhérents et pour éviter que n’importe qui puisse obtenir un permis. Le ROC a demandé cet examen pour diminuer le nombre d’accidents dus à la chasse chaque année . L’examen se compose de deux épreuves. D’abord, il faut passer une épreuve théorique, 21 questions parmi lesquelles il faut répondre correctement à 16. Ensuite il y a une épreuve pratique notée par un inspecteur de l’Office Nationale de la Chasse et de la Faune Sauvage. Cette première garantit que le nouveau chasseur connaît bien la faune sauvage, les techniques cynégétiques, les lois pertinentes et l’emploi de son arme; critères essentiels afin que l’on chasse convenablement.
Quoiqu’ils voient diminuer leurs adhérents, les syndicats de chasseurs exercent toujours une forte pression politique. Un décret de juillet 2003 , qui renversait la décision prise par l’administration précédente , a aboli les mercredis sans chasses partout en France. Depuis que Roselyne Bachelot, le ministre de l’écologie, a restauré cette loi, un chasseur est libre d’exercer son art sept jours sur sept, sans doute une amélioration pour eux. Il ressort de cette histoire que les chasseurs restent très puissants en France et que non seulement ils peuvent résister aux changements gouvernementaux, mais qu‘ils sont même capables de les susciter.
Le chasseur juge donc que la chasse occupe une place très importante en France. La régulation de la faune sauvage est essentielle afin que l’on puisse profiter de la campagne et que les agriculteurs ne voient pas leurs cultures dévastées. Les accusations de cruauté sont aussi rejetées, étant donné que c’est le vrai amour pour la nature et l’envie d’en être proche qui leur inspirent de chasser. Ils s’estiment aussi être les gardiens d’un art noble, que ce soit « un instinct prédateur » qui les motive à chasser ou une forme de reprise d’une ère d’antan perdue.
CONTRE LA CHASSE EN FRANCE
La croissance récente des organisations telles que la Ligue ROC et le RAC, ainsi que des partis politiques tels que Les Verts et La France d’En Bas, a accordé au débat sur la chasse la notoriété publique. Ces premières organisations luttent assidûment pour l’abolition de celle-ci, en organisant des rassemblements et en faisant pression sur les ministres concernés du gouvernement pour qu’ils révoquent les lois cynégétiques. Les anti-chasseurs rejètent toutes les justifications associées au sport cynégétique. Tout d’abord, ils n’acceptent pas l’idée de la régulation de la faune: loin d’être l’équilibrage d’une population hors de contrôle, ils se plaignent qu’« en effet, des lièvres sont importés pour servir de cibles » . Quant aux sangliers, ils sont « nourris en bordure des réserves… ainsi ils prolifèrent » . Il paraîtrait que les chasseurs ont créé la situation actuelle d’une surpopulation d’animaux. Accusation même plus diffamante contre la chasse, celle des « cochongliers ». Cet hybride, issu d’une truie et d’un sanglier, se manifeste surtout dans le sud de l’hexagone. Il résout en même temps le taux faible de reproduction chez les sangliers - une cochonglière peut reproduire cinq fois plus rapidement qu’une laie normale . Il existe aujourd’hui des élevages consacrés à la prolifération de ce croisement. Non seulement il s’agit d’une gêne pour les anti-chasseurs, mais de plus ces espèces mutantes, une fois relâchées, ravagent annuellement des terrains cultivés et attaquent des troupeaux de moutons, dégâts pour lesquels l’agriculteur n’est pas toujours remboursé .
Le transbordement et l’importation de gibier apparaîtraient démentir ce que déclarent les chasseurs quand ils tuent les animaux pour les réguler. Supposons qu’il y ait une nécessité de réguler la faune sauvage. Une logique simple dirait que l’on ne devrait pas réintroduire des gibiers dés qu’on les a abattus, à moins que des prédateurs ne soient introduits en même temps pour réguler la faune d’une manière naturelle. Cependant cela n’est guère la réalité, le gibier y est déplacé quasi exclusivement afin d’être chassé et tué. De grands élevages de gibier relâchent leurs animaux dans les forêts, quelques jours avant l’ouverture de la saison de chasse. Ensuite ils sont rapidement anéantis sitôt que les chasseurs reviennent. Il se trouve que c’est cette violence illogique qui agace tant les opposants de la chasse. Il est estimé que « sur 15 millions de faisans issus des élevages français, 97% sont tirés immédiatement » , une statistique épouvantable. Il faut dire que le relâchement de grand gibier est interdit dans plusieurs départements français, mais la « libération » des oiseaux et d’autres petits gibiers est permise quasiment partout dans l’hexagone.
La régulation est-elle pratique ?
Cependant, bien que les anti-chasseurs se lamentent sur la chasse comme un moyen pour réguler la faune, il leur faut suggérer une alternative. Pour ceci, ils signalent l’exemple genevois . Ce canton suisse, ayant interdit la chasse en 1974, a mis en place l’emploi de tireurs professionnels qui gèrent les populations des animaux nuisibles. Ceci est une forme de contrôle que l’on effectue sans aucune souffrance inutile de la part de l‘animal; une pratique où les gardes savent combien d‘animaux de chaque espèce ils doivent tuer et l‘exécutent sans aucune tension pour le gibier. A Genève et ses alentours, cette méthode a déjà connu un grand succès, et l’on a vu diminuer les dégâts causés par la plupart des animaux. Pourtant, en même temps il convient de rappeler que l’on ne parle que d’un canton suisse, et pas d’un pays entier comme la France. Prenons juste l’exemple de la Dordogne, l’un des départements français les plus ruraux et qui abrite donc une proportion plus large de chasseurs. Pour que les tireurs professionnels puissent réguler la faune périgourdine, il leur faut abattre « 22.000 têtes de grand gibier » chaque année. Afin d’effectuer un tel travail, il y aurait besoin d’un grand nombre de chasseurs professionnels. C’est une dépense que l’État ne veut pas financer, tant qu’il existe beaucoup de gens qui sont heureux d’exécuter cette tâche sans être payés.
L’examen avant d’obtenir le permis de chasser n’a pas non plus apaisé les soucis des opposants à propos de la chasse. Selon eux ce permis n’assure toujours pas le bien-être des autres. Les chasseurs qui ont commencé à chasser avant que l’examen étaient introduit se servent toujours de leur vieux permis. Ils n’ont donc jamais subi un examen pour voir s’ils connaissent bien leur passe-temps, et continuent à chasser quand ils le veulent sans aucun contrôle. Mais ceux-ci ne comptent que pour une minorité des chasseurs. Chaque année en France, plus de 40 personnes sont mortes à cause de la chasse , et beaucoup plus sont blessées. Les anti-chasseurs prétendent que des chasseurs sortent soûls, et ensuite tirent leurs copains, les espèces menacées ou bien les animaux domestiques qui errent dans les forêts. L’examen n’empêchera jamais ce comportement, donc ils ont demandé au Ministre de l’Intérieur d’effectuer des contrôles d’alcoolémie , surtout les dimanches pour que cela ne se produise plus, ou de moins en moins.
Il s’agit de reconnaître en même temps que les accidents peuvent arriver partout dans le monde, et ne se trouvent pas que dans le monde de la chasse. Quoique ce soit très triste et malheureux que tels événements puissent arriver, le problème ne se trouve pas dans l’acte de la chasse mais plutôt dans le comportement et l’entraînement des chasseurs. Peut-être est-il morbide de le dire, mais si presque 1.500.000 chasseurs armés sortent aux bois français tous les week-ends, il est inévitable qu’il y aura des blessures et même des morts. Cependant, si l’on peut mieux éduquer les gens, mieux les faire identifier les dangers que posent eux et leurs camarades chasseurs, il se pourrait que les accidentés soient de moins en moins nombreux.
Or, d’après les organisations anti-chasses françaises, la chasse ne devrait pas avoir la moindre place en France. La prolongation d’un sport si dépassé est inexcusable dans le 21éme siècle où nulle raison n’excuse ce qui n’est rien d’autre que la jouissance dérivée de la chasse et la tuerie d’un gibier. Si l’on compare la France aux autres pays européens, il se trouve en effet qu’elle est un havre relatif pour les chasseurs. Le nombre d’espèces d’oiseaux chassés dans le pays est 64 (dont 50 sont des espèces migratoires, et dont 24 sont menacées), le chiffre le plus haut en Europe et deux fois plus élevé que celui d’Angleterre . La période de chasse est de loin la plus longue en Europe , étant au maximum de sept mois et demi pour certaines espèces. A la décharge des chasseurs, il convient de rappeler que des statistiques peuvent leurrer. Il est de fait que la France a la quantité la plus haute de chasseurs en Europe, plus de 500 000 plus qu’en Angleterre et en Espagne, mais par rapport à sa population, il n’y a que 2,39 adhérents par 100 habitants , le taux médian dans l’Union Européenne. Cela ne change toutefois pas le fait que l’état de la chasse en France est, pour les anti-chasseurs, parmi les pires en Europe. La France est un pays où des espèces menacées sont abattues, où existent des élevages créés avec le seul but de lâcher leurs animaux pour la chasse et où les forêts sont devenues des endroits dangereux pour le randonneur.
CONCLUSION
Nous avons maintenant identifié et analysé les deux côtés du débat sur la chasse. Une polémique qui brûle depuis des décennies, la chasse occupe une place très importante dans le patrimoine français. Nul autre gouvernement européen ne cède aux demandes des chasseurs, et les lois cynégétiques françaises sont tellement détendues que des chasseurs allemands et suisses traversent les frontières pour en profiter. En dépit des incrédulités des opposants, la chasse est sans doute un héritage pour plusieurs chasseurs, « une passion qui se partage, se propage comme un virus de père en fils » . La chasse n’est pas un passe-temps auquel on se met sur un coup de tête. Soixante-treize pour cent de chasseurs viennent des familles de chasseurs, preuve que la chasse fait partie du patrimoine français. Tandis que les chasseurs britanniques se trouvent plutôt parmi l’aristocratie, qui rend plus élite l’idée de la chasse, leurs homologues français viennent de toutes conditions sociales, permettant à tous de la pratiquer. La justification de régulation de la faune est aussi juste; Monique Piton, la Présidente du RAC admet qu’il faudra sans doute encore des tirs sélectifs pour réguler la faune. Cependant elle affirme ensuite qu’ils ne doivent plus être l’objet de jeux. Ainsi se trouve le conflit des credo. Les anti-chasseurs reconnaissent le besoin de la régulation de la faune sauvage mais décrient vigoureusement la manière dont elle est faite. Jadis, lorsque la chasse existait pour alimenter les paysans qui la pratiquaient, elle n’était pas faite au hasard, un chasseur ne tirait que les animaux dont sa famille avait besoin, « ils ne tiraient pas sur tout ce qui bouge » . Avec ce meilleur esprit de chasse, les chasseurs d’antan « savaient gérer [et] connaissaient leur cheptel », ainsi préservant un équilibre qui assurait la survie du chasseur et de la proie à la fois. L’élevage et le relâchement de gibiers prêts pour la chasse minent visiblement l’argument chasseur; une tendance en croissance comme chaque justification donnée par les lobbies cynégétiques rencontre plusieurs ripostes venant du camp anti-chasse. Même l’argument du patrimoine est difficile à propager. Il y a de nombreux sports barbares ancestraux qui ont disparu, pourquoi la chasse devrait-elle être différente? Au fur et à mesure que le nombre de chasseurs diminuent et le pouvoir au niveau gouvernemental des opposants accroît, les bienfaits accordés aux chasseurs diminueront aussi. Pour le moment, la chasse est encore dépassée, toujours injuriée par beaucoup de Français, mais elle connaît une place distincte en France et sans égal en Europe.
Bref je vous explique quand même car si vous lisez le texte ci-dessus vous vous rendrez compte que le texte n’est pas plus pro chasseurs que pro anti-chasse.
En effet chassepassion n’est pas le seule participant ayant travaillé sur ce travail, Alistair auteur de ce dernier avait comme consigne de rester impartiale, nous avons donc choisie de laisser libre accès à tout les partie, la recherche s’est effectué sous la forme d’interview.
Les quel on été recouper puis choisie par l’auteur.
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