Réchauffement climatique: Mensonges?

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niouf-niouf
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Message par niouf-niouf »

@foulque34 wrote:effectivement,je pense moi aussi que c'est une evolution naturelle certes acceleree par nos conneries de pollutions



en tout cas,nos chers politiciens ont trouves encore un moyen de vider nos poches pour remplir les leurs.......



a+



Faud bien financer cette France "Sociale" .... :!:



On ne peu pas promettre X millions a droite et a gauche en fond d'indemnitées quand on a déjà mille milliard d'€ de dettes sans trouver les pigens qui casqueront.



Et puis à y réfléchir.

j'ai beau faire un chèque d'un million d'€, ca ne changera pas grand chose au problème.

Au contraire, ce chèque aura participé a la déforestation. :oops:
poum
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Inscription : 12 déc. 2007 17:15

Message par poum »

















ca faisait un bon moment que je me posait la question de l'instrumentalisation de l'écologie par le mondialisme.



en gros ca donne: "la polution et le rechauffement sont un problème mondial, l'on évitera le cataclysme que par des solutions écologiques inventées ou décidées par une autorité supranationale."





_messianisme millenariste appocalyptique.



_culpabilisation des gens. (indispensable)



_recyclage des "anciens" trotskystes dans certaines organisations dites écologistes.



_l'onu devient l'instrument naturel de la resolution des problèmes.















ca me rappele l'exelent article "Les stratégies et techniques employées pour la manipulation de l’opinion publique et de la société "









Les stratégies et techniques employées pour la manipulation de l’opinion publique et de la société





|1| La stratégie de la diversion





Elément primordial du contrôle social, la stratégie de la diversion consiste à détourner l’attention du public des problèmes importants et des mutations décidées par les élites politiques et économiques, grâce à un déluge continuel de distractions et d’informations insignifiantes. La stratégie de la diversion est également indispensable pour empêcher le public de s’intéresser aux connaissances essentielles, dans les domaines de la science, de l’économie, de la psychologie, de la neurobiologie, et de la cybernétique. "Garder l’attention du public distraite, loin des véritables problèmes sociaux, captivée par des sujets sans importance réelle. Garder le public occupé, occupé, occupé, sans aucun temps pour penser ; de retour à la ferme avec les autres animaux." (extrait de "Armes silencieuses pour guerres tranquilles")

















|2| Créer des problèmes, puis offrir des solutions





Cette méthode est aussi appelée "problème-réaction-solution". On crée d’abord un problème, une "situation" prévue pour susciter une certaine réaction du public, afin que celui-ci soit lui-même demandeur des mesures qu’on souhaite lui faire accepter. Par exemple : laisser se développer la violence urbaine, ou organiser des attentats sanglants, afin que le public soit demandeur de lois sécuritaires au détriment de la liberté. Ou encore : créer une crise économique pour faire accepter comme un mal nécessaire le recul des droits sociaux et le démantèlement des services publics.



















|3| La stratégie du dégradé





Pour faire accepter une mesure inacceptable, il suffit de l’appliquer progressivement, en "dégradé", sur une durée de 10 ans. C’est de cette façon que des conditions socio-économiques radicalement nouvelles ont été imposées durant les années 1980 à 1990. Chômage massif, précarité, flexibilité, délocalisations, salaires n’assurant plus un revenu décent, autant de changements qui auraient provoqué une révolution si ils avaient été appliqués brutalement.















|4| La stratégie du différé





Une autre façon de faire accepter une décision impopulaire est de la présenter comme "douloureuse mais nécessaire", en obtenant l’accord du public dans le présent pour une application dans le futur. Il est toujours plus facile d’accepter un sacrifice futur qu’un sacrifice immédiat. D’abord parce que l’effort n’est pas à fournir tout de suite. Ensuite parce que le public a toujours tendance à espérer naïvement que "tout ira mieux demain" et que le sacrifice demandé pourra être évité. Enfin, cela laisse du temps au public pour s’habituer à l’idée du changement et l’accepter avec résignation lorsque le moment sera venu. Exemple récent : le passage à l’Euro et la perte de la souveraineté monétaire et économique ont été acceptés par les pays Européens en 1994-95 pour une application en 2001. Autre exemple : les accords multilatéraux du FTAA que les USA ont imposé en 2001 aux pays du continent américain pourtant réticents, en concédant une application différée à 2005.

















|5| S’adresser au public comme à des enfants en bas-age





La plupart des publicités destinées au grand-public utilisent un discours, des arguments, des personnages, et un ton particulièrement infantilisants, souvent proche du débilitant, comme si le spectateur était un enfant en bas-age ou un handicapé mental. Exemple typique : la campagne TV française pour le passage à l’Euro ("les jours euro"). Plus on cherchera à tromper le spectateur, plus on adoptera un ton infantilisant. Pourquoi ? "Si on s’adresse à une personne comme si elle était âgée de 12 ans, alors, en raison de la suggestibilité, elle aura, avec une certaine probabilité, une réponse ou une réaction aussi dénuée de sens critique que celles d’une personne de 12 ans." (cf. "Armes silencieuses pour guerres tranquilles")

















|6| Faire appel à l’émotionnel plutôt qu’à la réflexion





Faire appel à l’émotionnel est une technique classique pour court-circuiter l’analyse rationnelle, et donc le sens critique des individus. De plus, l’utilisation du registre émotionnel permet d’ouvrir la porte d’accès à l’inconscient pour y implanter des idées, des désirs, des peurs, des pulsions, ou des comportements...





















|7| Maintenir le public dans l’ignorance et la bêtise





Faire en sorte que le public soit incapable de comprendre les technologies et les méthodes utilisées pour son contrôle et son esclavage. "La qualité de l’éducation donnée aux classes inférieures doit être de la plus pauvre sorte, de telle sorte que le fossé de l’ignorance qui isole les classes inférieures des classes supérieures soit et demeure incompréhensible par les classes inférieures." (cf. "Armes silencieuses pour guerres tranquilles")



















|8| Encourager le public à se complaire dans la médiocrité





Encourager le public à trouver "cool" le fait d’être bête, vulgaire, et inculte...

















|9| Remplacer la révolte par la culpabilité





Faire croire à l’individu qu’il est seul responsable de son malheur, à cause de l’insuffisance de son intelligence, de ses capacités, ou de ses efforts. Ainsi, au lieu de se révolter contre le système économique, l’individu s’auto-dévalue et culpabilise, ce qui engendre un état dépressif dont l’un des effets est l’inhibition de l’action. Et sans action, pas de révolution !...

















|10| Connaître les individus mieux qu’ils ne se connaissent eux-mêmes





Au cours des 50 dernières années, les progrès fulgurants de la science ont creusé un fossé croissant entre les connaissances du public et celles détenues et utilisées par les élites dirigeantes. Grâce à la biologie, la neurobiologie, et la psychologie appliquée, le "système" est parvenu à une connaissance avancée de l’être humain, à la fois physiquement et psychologiquement. Le système en est arrivé à mieux connaître l’individu moyen que celui-ci ne se connaît lui-même. Cela signifie que dans la majorité des cas, le système détient un plus grand contrôle et un plus grand pouvoir sur les individus que les individus eux-mêmes."









seb65
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Inscription : 02 août 2007 21:23

Message par seb65 »

on a fait a peu pres le tour, non? :)

je crois que le neuvieme point de ton article resume bien la situation

(que j'ai honte ) :lol:
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