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Ou je suis d'accord avec toi Oléron est bien en économie ou nous serions plantés par le FN.
Mais toujours économiquement parlant nous ne pouvons pas non plus comparer les pays Grèce Espagne à la France et l'Italie.
L'Espagne la Grèce n'ont pas nos économies de productions lourdes : voitures et autres...l'Espagne vivait de son tourisme...ce sont des économies très fragiles. Nous le problème est la délocalisation de nos industries....car elles sont la force économique du pays...ou une des force économique essentielle.
Mais cessons de comparer l'Espagne à la France...la Grèce tout autant.
Alors, pour les retraite, Arnauld nous a fait la bonne démostration de bon sens sur le rapport actif/inactif.
Maintenant, je pose la questions aux immigrationnistes et autres mondialistes:
- c'est en important de la misère, des gens du tiers monde sans aucune formation (pas même la langue la plupart du temps), que l'on va financer nos retraités? (c'est pourtant l'argument utilisé par la gauche et une partie de la droite ump)
C'est à dire qu'on doit encore financer des inactifs (AME, CMU, allocations diverses, etc.) pourtant en pleine force de l'age, sans compter les coûts de déprédations que une majorité d'entre eux engendre (traffics, violences, etc.).
- c'est en désindustrialisant notre pays, sous l'argument ultra-libéral "on gagne économiquement à faire fabriquer ailleurs pour mieux consommer chez nous, afin de dynamiser la croissance" qu'on maintiens des actif pour financer les retraites (c'est peut être vrai pour une poignée de financiers et d'autres élites)?
Quand le peuple n'a plus de boulot, donc d'argent, alors il consomme moins, et ce système se casse la figure. Alors appliqué au système de retraite, c'est pareil.
Donc voici mon analyse. Sans prendre des mesures à partir de ces questions d'immigrations et de de désindustrialisations, le reste n'est que cautère sur jambe de bois.
Néanmnoins, le système des retraites callé sur la finance boursière nous a confirmé un truc:
Ce procédé n'est pas fiable, on peut gagner gros ponctuellement, mais on peut aussi perdre gros durablement.
On ne joue pas au poker avec les retraites des citoyens.
L'Espagne la Grèce n'ont pas nos économies de productions lourdes : voitures et autres...l'Espagne vivait de son tourisme...ce sont des économies très fragiles. Nous le problème est la délocalisation de nos industries....car elles sont la force économique du pays...ou une des force économique essentielle.
Comparons alors la France à l'Allemagne
Les français se gargarisent du discours "Achetons français", pestent contre la mondialisation mais délaissent Peugeot, Renault et même Toyota produit à Lille pour Dacia ...
Que de paradoxe !!!
ça gesticule, ça ergote, mais à un moment faut bien se demander pourquoi ce déficit.
Oui, il est plus cher, mais c'est le premier maillon d'une grande chaine, qui fait tourner notre économie.
Acheter un produit fabriqué en france, à nourrit plusieurs ouvriers, rapporter des taxes à l'Etat (de l'entreprise à la TVA, etc.). Entreprise qui enrichiront l'Etat, ouvrier qui consomme sa paye (une forme de fordisme), c'est autre chose que d'enrichir des minorités et appauvrir nos citoyens devenus des chomeurs longue durée.
Depuis que le monde est monde, l'économie va forcément vers les échanges.
Même au niveau cromagnonesque, il y avait des caravanes de sel, des vendeurs de fourrure etc ...
La libéralisation économique est inéluctable.
Ceux qui s'y sont refusé se sont plantés.
Même la Chine a fini par s'y mettre !
Interdiras tu, au nom du "consommons français", aux gens de consommer des oranges, des kiwis (même s'ils sont produits en France ..en très faible quantité). Où achèteras-tu ton acier, ton carburant ?
Bien entendu, je ne remet pas en cause les échanges (donc on pourra importer des bananes, t'en fais pas), mais je parle de réindustrialisation.
Pourquoi faire venir une paire de chaussette de Chine, alors qu'on peut la faire chez nous (on a la matière première, le savoir faire, etc.). Je pense que ce qui est disponible est faisable chez nous devrait être consommé et fabriqué chez nous (du moins en majorité).
Cela rééquilibrerait notre balance commerciale, gage d'équilibre économique. Ainsi, on pourrait exporter, pour couvrir nos importations (et faire perdurer tes chers échanges internationaux).
Car à force de ne plus rien produire, d'entretenir des chomeurs sur des métiers du services et de la finance (rien de très concret, sensible à la moindre pécadille) on pourra moins importer.
Le made in France, ce n'est pas de l'autarcie, c'est redonner à l'économie française des armes pour survivre, c'est remettre la France dans la course du commerce international. Je dirais donc que c'est un concept finalement assez libéral.
De plus, que nous avons tout pour faire: nous avons un capital technologique immense, des gens formés, nous sommes au carrefour de l'europe, il nous reste encore quelques infrastructures, etc.
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