Forum Chasse Passion, 1er forum de chasse en France
Les forums de discussions Chasse Passion c'est plus de 30 sections pour tous les chasseurs de grand et petit gibiers, sauvaginiers, archées, veneurs...
Vos histoires sont toutes autant rigolote et rempli d'émotions ^^. Moi personnellement, c'est le tir de mon 3 eme sanglier la saison dernière, j'était avec un ami de classe en plus, et j'ai tuer en pleine course,un sanglier de 80 Kg avec mon calibre 12. Le sanglier est sorti comme une bombe ( tous le monde qui ont vu le tir m'on dit qu'il l'aurait raté ^^ ). Ce jour là, je fût heureux de mon tir parce que franchement ce n'était pas facile, je l'ai tirer qu'a 12 mètres mais bon pour un jeune permis c'est pas mal je trouve MDR. Voila
En avril dernier, en Afrique du Sud, trois springboks arrivent de ma gauche à environ 40 metres, j'attend, ils s'arretent. Je tire le premier qui tombe , je réarme (une 300 Magnum) reprend en joue le second et il tombe aussi !
Mais le dernier fut de loin le plus beau tir que j'ai réalisé ! Il courait en bondissant à environ 70 metres, je me dit qu'il fallait que j'essaie ! Je lache une balle qui provoqua un éclat de terre derrière lui, je réarmai et lacha la balle qui se logea dans son cou,il roula et ne se releva pas.
Ce fut certainement le plus beau tir de ma vie de chasseur !
(j'ai d'ailleurs la vidéo à l'appui mais le problème est qu'à cause de la distance on ne voit pas très bien mais juste assez !)
Renard en plaine, 60aine de mètres en pleine course, on ne le voyait pas dépasser de l'herbe de plus de 10cm. 1 balle de 7x65R (et pas de lunette, mais juste une fibre optique).
Sinon, mon premier pigeon, 5 min après le début de ma première ouverture, ou le doublé de pigeons plein vent arrière en train de satisfaire un besoin pressant contre un arbre après 1 an passé à tirer à côté... Chaque tir est unique et reste comme un souvenir!
Voilà un fameux tir qui m'a hanté pendant des semaines ...
Ce 28 septembre 2009, c’est par là que ça se passait … C’est le moment parfait de la chasse en petite montagne, les premiers gels ont avivé les couleurs, ça sent encore l’été. Et ce n’est pas tous les jours qu’on a en poche un bracelet de grand mouflon.
A cause du léger Nord-Est, Nicolas propose de commencer vers le col de Cabre. Cela permettra en prime d’écouter la musique des cerfs amoureux. Je jumelle sans succès sur le chemin du col. Puis je trouve côté Peyre Arse quelques chamois, et quelques mouflons (sans bélier adulte) aussi et un cerf aussi, un grand huit qui mourra en fin de saison.
Puis c’est la montée, sur la rive droite des sources. Dur, mais Nicolas profite de mes moments d’asphyxie pour photographier, ou manger des myrtilles. C’est toujours aussi dur. Enfin, nous ne montons plus, et mes mollets me disent merci. Nous marchons tranquillement, nous éloignant du col et nous rapprochant de Seycheuse. Mon regard soudain repère un mouvement très loin et nous écrasons nos nez dans l’herbe parfumée …
Pas vus ! les cinq mouflons piquent un galop dans notre direction et s’arrêtent … à 196 m. Ma carabine, mal stabilisée ne me permet pas de tirer le vieux. Nicolas a filmé la charge des mouflons.
Ils redémarrent, s’éloignent en biais, se couchent, se relèvent ; 240 m désormais. J’ai trop de mal à stabiliser la carabine pour imaginer un tir. Nous gagnons une dizaine de mètres. Les myrtillers à cet endroit m’offrent finalement un appui fabuleux.
Une heure trente passe. Le film est déclenché et vient au bout de la taille de la carte et de la batterie sans qu’ils ne se soient levés et ce tir d’anthologie ne figurera pas sur la pellicule. Chaque animal est passé au crible de la lunette x20 du collègue. Je peux garder le réticule sur le museau de l’animal sans qu’il en sorte à x 10, j’ai contrôlé ma carabine à 200 mètres huit jours plus tôt. Et Nicolas est prêt à doubler le tir … C’est une épée.
Ils se lèvent enfin : il y a un fort dénivelé entre eux et nous, et je ne veux pas attendre qu’il avance, car un arbre s’interposerait. Mon réticule est sur l’épaule, je pousse les 400 g du stecher. Le mouflon s’écroule et Nicolas15 se met à genoux, tout heureux et criant victoire ! Mais le mouflon se relève en titubant d’abord et démarre à la suite des autres. Il ne semble pas vouloir tomber et par deux fois je le manque dans sa course vers le bois. Dans le bois il semble ralentir ....
Ensuite, trouver l'anschuss, le marquer, marquer des gouttes de sang. Nous sommes surs qu'il est mort à moins de 50 m dans le bois, mais marquer avant de descendre nous paraît une bonne précaution. Nous descendons la pente abrupte sur la vallée en zig zaguant. Nicolas apercevra N°1, qui était à droite sur la photo des 3 animaux dans la végétation.
Après la force de la joie énorme et avoir senti mon cœur s’envoler, la seconde décharge d’adrénaline de la fuite, des tirs, des indices, et la déception, la déception encore, et la colère contre moi d’avoir tiré si loin, si mal. Ce coup de carabine a résonné en moi des semaines …
mon plus beau tire pour ma première année de chasse est un sanglier d'une trentaine de kilos distance de tir 184 mètres ( distance télémètre) en pleine course appuyé sur un arbre, un doublé de chevreuil à 142 mètres et je cite que les meilleurs! comment ne pas continuer la chasse apres ces moments de forte émotion et la beauté du gibier!!!!
pour ma part c'est dur de faire le choix parmi une foule de bons tirs entre un triplé de cochon , mon premier chevreuil , ma première bécasse une passe au canard ( une cartouche 8 canards )........
mais je crois sans doute que c'était la toute première fois ou j'ai mis les pieds a la chasse c'était une battue anticipé au mois d'aout ,
j'étais jeune novice et n'y connaissais quenini a tout ce petit monde .
- Au loin les chiens se déchiraient de leurs aboiements qu'y me résonnent encore dans la tête quelle belle musique , puis tout c'est passé très vite plus haut quelques tirs , annonce sanglier les chiens se rapprochaient , les merles , les grives , les jacquots , les piafs tout ce petit monde s'envolaient dans une panique effroyable , mon coeur s'emballait je tremblais comme une feuille devant moi j'attendais les branches qui craquaient les chiens étaient tout proche je devais être blanc comme un cul mais malgré ma peur je saisis mon fusil et vouah !! une bombe toute noir jaillis des buissons et sauta le chemin d'un bon !! j'en ai encore des frisons !! c'est alors que j'ai appuyé deux fois sur la détente et que la bête s'immobilisa a ma première balle.
Je tremblais tellement que je n'ai pus prendre ma corne pour annoncer la mort c'est le posté d'à côté qu'il la fait .
Je venais de tiré mes premières cartouches en action de chasse et c'était un cochon de 65 kg.
voila une histoire parmi tant d'autres qui font qu'aujourd'hui je suis toujours dans le bain et pour un bon bout de temps je l'espère.
Moi je ne pense pas que j'ai vraiment de meilleur souvenir de tir. A part peut être mon premier gibier, un perdreau rouge au coup d'épaule.
Ensuite mon première lièvre l'an dernier pour mon deuxième jour de chasse. Je le voie se défiler après un travail incroyable de ma chienne je le tire un premier coup louper je lâche mon deuxième. Sans savoir le résultat, et la je vois ma chienne revenir avec une hase de 4.2 kg!
Ensuite il y a mon doubler de bécassine cette année, un instant magique dont je me souviendrais toujours d'un pour le tir et de deux pour les 30 minutes de recherche dans un champ de trèfle.
Et cette année ma première bécasse un gibier dont je suis fou de puis ma plus tendre enfance quand mon père était en battue, je prenais les chiennes et partait à l'opposer avec les chiennes de mon père à a peine 8 ans. Et la cette année j'arrive prés d'une rigole dans un bois j'en vois une partir de cette endroit mais trop loin tant pis. Je dis à ma copine y faut y aller elles viennent d'arriver elle pourrait être 2. Aux moments ou j'arrive au bord de ce ruisseau ma chienne me la démarre, tirer aux coups d'épaule tombe net. Et la j'ai gueulé mais un truc d'incroyable.
Et sinon ce n'est pas un tir mais mon 1er sanglier que j'ai servi en chassant à courre le 23 décembre 2010. Mo père m'a offert ma dague pour Noël un peu avance le 21. Et la chasse d’après donc je sers une petite laie de 40kg.
Et la cette année j'ai servi pour la saint hubert d'un équipage, un sanglier de 110kg qui était aux abois dans un ruisseau j'avais de l'eau jusqu'au cou...e à la dague!
Opt-out complete; your visits to this website will not be recorded by the Web Analytics tool. Note that if you clear your cookies, delete the opt-out cookie, or if you change computers or Web browsers, you will need to perform the opt-out procedure again.
You may choose to prevent this website from aggregating and analyzing the actions you take here. Doing so will protect your privacy, but will also prevent the owner from learning from your actions and creating a better experience for you and other users.
The tracking opt-out feature requires cookies to be enabled.