Pour ma part, je n'avais que 18 ans, je me rapelle les portes de grange et du hangar que l'on maintenaient avec les tracteurs de l'interieur, de l'ancien moulin désintégrer qui était accolé à la maison d'habitation, notemment de ma chambre...

Cette sensation de fin du monde, les bêtes reclusent au fonds de leur stabule, notre épagneul prostrer au fond de sa niche...
Mais surtout, les dégâts dans les forêts, tout ces chênes centenaires arrachés de leur sol, charmes, hêtres, meurisier, frênes, accaccia...rien n'a resister... les forêt de sapins écroulés comme des simples jeux de cartes... Nos forêts étaient très marqués par les stigmates des 2 guerres, cette tempête a également laisser ces cicatrices...
Il y a des journées que l'on peut très bien ce passer.
fr;iend