chien de pied

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Arnauld
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Message par Arnauld »

je ne vois pas en quoi faire le pied empêche les chiens de rapprocher.

C'est précisément ce qui fait en chasse à courre :

chien de pied, puis rapprocheur, puis meute (à mort ou pas).



Identifier grâce au chien de pied une voie relativement récente ne signifie nullement que le sanglier va attendre sagement que le reste de la meute rapplique.
ggv04
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Message par ggv04 »

en chasse a cour on remonte la voie au plus pres possible de l'animal avec un limier en laisse si possible silencieux sans pour autant le faire partir pour avoir une attaque réussi qui conditionne toute la chasse faut que ca leve tres tres vite souvent moins de 10minutes on est loin de lacher sur le premier pied trouvé et de le rapprocher 2h...

pour des raisons qui semble evidente!! d'ailleu tu leur parle de rapprocheur c'est loin d'etre leurs souci!! la premiere qualité qu'ils cherchent c'est d'avoir des chiens de change pour le pied un limier ca leurs suffit apres faire les derniers metres c'est a la porté de tout les chiens correcte

d'ailleur comme ils disent une bonne attaque rapide et l'animal est a moitié pris...



des equipages qui partent a la billebaude tu dois les compter sur les doigts d'une main et de meute a mort.....
Arnauld
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Message par Arnauld »

La quête revêt ici une importance considérable, le sanglier montrant un caractère erratique prononcé. Rembucher un vieux solitaire, qui emmêle sa voie de manière inextricable avant de regagner sa bauge, exige un grand savoir-faire. Le valet de limier examine le vol-ce-l'est ainsi que des indices tels que les bouttis, les frottis aux arbres pour juger de la taille de l'animal. Il travaille toujours à bon vent, afin de ne pas éveiller la méfiance du sanglier et provoquer sa fuite.

Un sanglier bien rembuché dans un mouchoir de poche peut être attaqué de meute à mort. Parfois, il est seulement en bonne voie. Dans ce cas, 5 à 10 rapprocheurs très fins de nez sont découplés sur la brisée d'attaque et vont remonter la voie jusqu'à la bauge. ...

ici : http://fr.maieutapedia.org/wiki/V%C3%A9 ... 1LEa_l_vcg
Arnauld
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Message par Arnauld »

compte rendu du Vautrait de Banassat

12 mars 2010, la neige tombée sur l'Allier la veille est encore présente sur forêt de Tronçais. A 11h, René et Eric Kleboth, maîtres d'équipage du vautrait de Banassat prennent le rapport des valets de limiers. Ces derniers ont plusieurs brisées, mais les animaux sont sur pied…

Dans ces conditions difficiles, les rapprocheurs travaillent pendant près de 3 heures avant d'attaquer une compagnie et de trier un mâle d'environ 80 livres !

http://www.chassons.com/news/chassons/m ... enerie.htm
ggv04
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Message par ggv04 »

@Arnauld wrote:compte rendu du Vautrait de Banassat

12 mars 2010, la neige tombée sur l'Allier la veille est encore présente sur forêt de Tronçais. A 11h, René et Eric Kleboth, maîtres d'équipage du vautrait de Banassat prennent le rapport des valets de limiers. Ces derniers ont plusieurs brisées, mais les animaux sont sur pied…

Dans ces conditions difficiles, les rapprocheurs travaillent pendant près de 3 heures avant d'attaquer une compagnie et de trier un mâle d'environ 80 livres !

http://www.chassons.com/news/chassons/m ... enerie.htm





aaaaaaah arnauld...... c'est ce qui s'appellent chasser en forlonger ce qui est pas forcement simple

et s'ils sont sur pied a 11h c'est que les limiers ou chiens de pied les on fait demarrer en s'approchant trop pret... d'ailleur je pense qu'ily a une erreur de vocabulaire et que c'est les valets de limier qui travaillent pendant 3h.... donc en longe



vas voir parler avec ses gens plutot que de chercher de la doc mal foutu j'suis aller a cheverny suivre un equipage plus modeste dans le var et un sur lievre ou meme sur cette animal les leveurs sont priviligier par rapport aux rapprocheur pur et dur....



va voir banassat peut etre voir meme le meilleur equipage de france qui peut se permettre quand il n'y a pas de choix de partir en forlongé mais si tu y parle de lacher sur un pied du soir......

sans savoir ou le sanglier est couché et avec combien d'autre de manqué le relais vue que la se sera pas de meute a mort et de perdre une journée

tu vas avoir l'aire fin....





ton premier article ne fait que dire ce que j'ai dis plus haut..

rembucher> travailler en longe avec un limier ou faire le bois pour boucler le sanglier



en bonne voies> faire rapprocher les dernier metres... d'ailleur ils en mettent tres peux dans ce cas cest dire l'importance qu'ils donnent aux rapprocheurs.....



dans cette chasse evident naturelle et on ne prend que comme ca.....



si tu as envie de me dire que je suis un con dis le dirrecte aux mieux de te faire passer toi meme tout seul comme un grand
Arnauld
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Message par Arnauld »

Allons GGV04,

déjà nous parlons de faire le pied pour le sanglier.



ensuite libre à toi de penser que le limier suit le pied pdt 3h, c'est pourtant bien le mot RAPPROCHEUR qui est écrit.

Les veneurs ne vont pas attendre aussi longtemps chevaux préparés et piaffant.

après le rond, l'équipage attaque, avec rapprocheurs, seulement, ou appuyer de la meute. Mais en aucun cas l'équipage ne suit à la queue-leu-leu le limier en attendant qu'il remonte jusqu'au sanglier (boulot des rapprocheurs).



De plus, personne ne parle de pied du soir. Bien malin celui qui déciderait de lacher sur un pied de la veille, sachant le comportement fortement erratique pdt la nuit.

Le principe du rapprocher est de partir du PIED, jusqu'à la remise effective du sanglier.



Lis tous les compte-rendu que tu pourras, ...ça se passe comme ça.
Arnauld
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Message par Arnauld »

Banassat

La journée de vénerie est marquée par plusieurs temps forts : le matin, on fait le bois, puis vers 10h30 on se réunit tous pour le rapport, le maître d'équipage choisit la brisée. On attaque avec des rapprocheurs avant de découpler la meute » raconte René Kléboth. La vénerie est cependant réglementée et les équipages qui chassent en forêt de Tronçais doivent respecter les plans de chasse. Le Vautrait de Banassat a une cinquantaine de laisser-courres par an.

ici : http://www.lasemainedelallier.fr/mobile ... edia?a=491
Arnauld
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Message par Arnauld »

page facebook du Piqu'avant Bretagne

L'équipage de sanglier se nomme vautrait, du nom des chiens vautres, espèce de grands mâtins qu'on lâchait autrefois à vue sur l'animal pour le coiffer.

Le courre exige un rembucher précis. La quête du valet de limier demande de l'expérience et de l'endurance: examiner les boutis et les souillis, laisser travailler le limier, mais ne pas serrer de trop près, si le sanglier prend vent du trait, il videra sa bauge, à l'attaque, il sera déjà loin. Si le limier hérisse le poil et gronde sourdement, ne pas insister, se retirer discrètement, le rapport sera sûr.

Sur un sanglier seul, bien rembuché, on attaque de meute à mort, sans rapprocheurs.CQFD

https://www.facebook.com/VautraitPiquAv ... 1029886534
ggv04
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Message par ggv04 »

bon j'abandonne tu es un champion champion en venerie les rapprochés dur une bonne partie de la journée c'est vrais tu as raison!!

puis c'est vrais aussi que les chiens vont moins loin et moin vite qu'un mec a pied et que donc c'est plus facile de ralier apres!!



tu es content?? fr;iend



continu a nous faire partager ta science des chiens courants et de leurs chasses!! je me régale puis on en apprend tellement avec toi!!
Arnauld
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Message par Arnauld »

Pourquoi cette aigreur ?



les comptes-rendus des Vautraits de Banassat, de Piqu'avant et de tant d'autres sont parlants.



Il est vrai que de suivre à cheval, rend les chiens "plus obéissants" et plus vites que de rester sur les chemins
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