@cedric_g wrote:. Mais les gens ne parlent que de ce qu'ils voient dans les médias.
Cédric, comme souvent je suis entièrement d'accord avec ton post.
Si je sors ce petit morceau du précédent, c'est simplement pour ajouter :
1 - que les medias ne sont que des caisses de résonnance.
2 - quand mes voisins, par exemple ici lorsqu'ils sont réveillés avant le jour par des coups de feu répétés (parce que les gus tirent dès les premières lueurs, et il ne fait pas encore vraiment jour) sur les lâchers de la veille;
quand ils ont peur d'aller se promener ce jour là parce que les vignes à ...... faisans ressemblent à des terrains de tir.
Hé bien! il n'y a pas de media (c'est bien dommage d'ailleurs, parce que peut-être ils arriveraient à faire honte à ces tireurs de cocottes).
Mes voisins voient avec leurs ...... yeux.
Et lorsque la première année où nous habitions ici ils m'ont demandé des explications sur ce qui se passait, j'aurais eu bien du mal à m'embarquer dans des histoires de gestion parce qu'ils m'auraient pris pour un farceur.
J'ai dit la vérité que de toutes façons ils auraient su sans moi.
Et je suis bien d'accord avec David. Nous en sommes où maintenant?
Au 37, 38, 39ème étage. Jusque là, tout va bien
Cordialement
Maurice
PS d'ailleurs dans ce domaine de la communication, j'ai vu pire il y a qqles années.
L'union des fédés avait enfin compris qu'il fallait communiquer, et alors, ils n'avaient rien trouvé de mieux que les autocollants :
"la chasse c'est naturel".
Résultat des courses, on voyait ces autocollants sur les layons arrières des bagnoles de types se livrant au tir des cocottes, quand les mêmes bagnoles ne contenaient pas les caisses de lâchers.
La vérité, c'est qu'il faut communiquer. C'est indispensable. Mais, même le meilleur publicitaire ne vous fera jamais vendre l'invendable.
Et actuellement, la chasse avec ses lâchers de cocottes entre autres, est .... invendable.
Il faut donc d'abord assainir le produit, le "labeliser", ensuite on pourra vendre.
Alors c'est vrai que champagnol fait du bon travail quand il explique. Je le fais aussi. Et sur ce point nous sommes d'accord. Mais notre prosélytisme est anéanti par tout le reste, et nous faisons un travail de Sisyphe.