Les essais réalisés sur les diverses espèces de migrateurs sont encore très restreints.
(Inoculats du virus H5N1 et évaluation du pouvoir pathogène chez l'oiseau et donc de sa capacité à transmettre ou non le virus)
cette constatation de l'état des connaissances influe beaucoup sur les jugements et décisions actuels.
Tirer une bécasse même porteuse du virus ne présente aucun rique pour la consommation humaine ( dès lors qu'elle est consommée cuite
), le point critique pourrait provenir du plumage de l'oiseau rendant volatile le virus pouvant se trouver dans le plumage.
Maintenant et d'un point de vue purement statistique le contact entre bécasses est beaucoup plus limité que pour les autres migrateurs et donc limite donc les probabilités d'intercontamination au sein de l'espèce. De plus elle fréquente des zones géograhiques (notamment forêts.....) où la souche virale est d'autant moins présente car limitée dans les contacts avec de potentiels "porteurs".
Autre point ( à ma connaissance ) aucune bécasse n'a jamais été révélée positive aux tests de détection virus aviaires : Cette espèce est peut être un "cul de sac" épidémiologique. Cela reste à démontrer.