@Bétasse wrote:Salut.
Lesquels chiens ne sont jamais venus au sanglier mort.
En fait il devait y avoir plusieurs sangliers et les chiens en ont poursuivi un ou d'autres.
Le proprio des chiens me dit "je suis pas chez moi, garde le sanglier"".
Je lui ai répondu "Tu le prends, tu l'écorches, tu en fais une part pour moi et une pour mon collègue qui passera à votre rendez vous."
Je pense que c'est en pratiquant de la sorte, que l'on arrive à avoir de bonnes relations avec les autres chasseurs de la même société ou avec les voisins.
A+
Je ne suis pas de ton avis, Bétasse, Ok, le sanglier était peut-être suivi par ses chiens mais le chasseur en 4 x 4 n'était plus sur son territoire et son seul objectif ne devait être que de récupérer ses animaux. De plus, le sanglier n'était apparemment pas blessé. Le sanglier n'était légalement plus chassé par eux, il y avait changement de territoire. De plus, le chasseur n'était plus en action de chasse, il était en véhicule.
Je ne pense pas que c'est le même exemple que pour le lièvre qui était blessé et qu'il était normal de finir avant de le perdre. Je sais que je laisse toujours la politesse de tir à la personne qui lève le gibier ou si on est au poste, à qui vient le gibier mais après sont tir, si elle rate, je tire.
Pour un animal blessé, je le finis et je le donne au premier tireur. Cela m'est arrivé l'autre jour, les territoire voisin blesse un chevreuil qui vient chez moi. Vu le sang perdu sur la route (oui, ils ont tirés en direction de la route et du bois ou nous allions commencés à chasser
, trois balles au moins ont tapée dans le bois, à mètres du groupe de chasseurs que nous étions
)
Je les ai empêcher de mettre les chiens sur l'animal dans notre bois, nous allions chasser, j'ai marquée la zone d'entrée et j'ai demandé de ne pas mettre nos chiens sur la trace pour faire appel au besoin à un chien de sang. Un chien lève l'animal qui tourne un peu dans le bois et sort à moi, au moment de tirer, il tombe, je me précipite avant qu'il se relève et le dague plus ou moins proprement (raté le coeur 1 fois, obligé de prendre la fémorale). Je laisse l'animal sur place, en fin de battue, je vais sur au rendez vous des voisins et leur signal que nous avons leur chevreuil, ils viennent le bagué. C'était un jeune brocard de l'année, tir sélectif certainement involontaire connaissant l'éthique des chasseurs de ce territoire.
Alban