@yoyo wrote:
.... il faudrait repondre a queqlues questions:
dans un avenir plus ou moins proche, combien serons nous?
comment financer la chasse de demain sans pour autant que cela devienne un loisir de riche?
cote formation des chasseurs, ou y a t il urgence, quel(s) domaine(s)?
pour vous quel est l'obstacle majeur à la reconnaissance de la chasse comme loisir, "accepter" du grand public
Je crois avoir, par anticipation, puisque c'est moi qui ait soulevé le problème, répondu
.
Je n'y reviendrais donc pas.
Simplement, concernant la deuxième question du financement futur, je suis comme toi à jeun de lire des solutions miracles.
J'en propose une. Elle ne convient pas à tous.
J'attends donc que mes détracteurs nous sortent qqle chose de plus sérieux que :
@ tartarin75 wrote: J'explique qu'au lieu de fermer toutes les portes en durcissant l'examen et jeter l'opprobre sur des chasses qui ne me revienne pas, je reconnaitrais toutes les chasses et communiquerait vers le grand public. Parce que l'opinion publique qui n'a que l'image du tireur de cocottes c'est du flan!! 90% des anti chasses le sont sans rien connaitre de la chasse et sans même savoir pourquoi.
Je ne vois pas pourquoi ce qui n'a pas marché jusqu'à aujourd'hui, marcherait par miracle demain.
D'autant qu'encore une fois, compte tenu de l'âge moyen des chasseurs, nous allons avoir à répondre à des départs massifs dans les deux décennies à venir.
Il n'y a donc rien de novateur dans les propos de tartarin, avec en final la vieille rangaine d'usage affirmant que finalement que ce sont les anti chasse qui ne comprennent rien à rien.
Les "intelligents" seraient tous chez nous, et les c... chez les anti chasse. Ben voyons! avec ça on avance.
Il en est même resté à mai 68, avec :
@ tartarin75 wrote:] Je commencerais pas interdire d'interdire.
A l'époque, nous avions 20 ans, et sortions aussi ce genre de conneries.
Mais nous avions l'excuse de l'âge.
@Zoltan Charles Henderson wrote:
Non pas que je pense que certains sur le forum cherchent à nous diviser mais que l'évolution de la société et ses courants "politiques" et idéologiques" l'ont fait !
Là tu as raison. Personne ne cherche à nous diviser, pour la bonne raison que nous le sommes depuis longtemps
Et seuls ceux qui ont besoin d'un grand nombre de chasseurs pour satisfaire leur ambition politique tentent de nous faire accroire que nous sommes unis.
Or, il n'y a pas moins unis que deux chasseurs :
le chasseur de sanglier en battue rejette celui à l'approche, et maintenant vice versa.
Le chasseur de bécasse aime de moins en moins celui de sanglier -et vice versa- car ils chassent sur les mêmes territoires.
Etc, etc.....
Mais, pire que cela, les posts de ces derniers jours me confirment hélas ce que je savais :
que les pires ennemis des chasseurs -bien avant ts les écolos, le ROC, et RAC et l'ASPAS réunis, se sont les "consommateurs-tireurs- qui n'ont absolument pas les mêmes intérêts que les chasseurs.
Leurs intérêts sont totalement contradictoires.
Et notre pire ennemi est donc le Cheval de Troie qui s'est introduit dans la ville chasse.
Ces gens n'ont nullement besoin des réformes qui, évidemment, avec une chasse présentable, écologique et responsable, les ferait disparaître.
Au passage, je précise qu'il est inutile, parce que nous n'avons pas les mêmes idées, ou nous ne sommes pas dans le même "camp", de nous "insulter", ici ou encore par mp, comme cet mp poubelle que j'ai reçu hier : tout simplement nous ne sommes pas dans le même camp.
Et il est normal que chacun défende son camp.
C'est cela que certains ne veulent pas admettre ou font semblant de ne pas admettre parce que ça les arrange.
Par ailleurs, je réfute totalement l'idée du nombre qui ferait la force.
Nous ne sommes pas dans un rapport de force comme deux armées en bataille (et encore, même dans ce cas, l'Histoire prouve que le nombre n'a pas toujours fait la décision).
Et je vous demande de jeter un oeil sur la société civile française, où je ne prendrais aucun exemple pour ne vexer personne, mais où chacun peut en trouver des dizaines :
ce ne sont par toujours -il s'en faut de beaucoup- les professions dont les membres sont les plus nombreux qui imposent leur lobby.
Certaines professionnels, peu nombreux, bien structurées, sans faire la moindre grève, ni le moindre bruit, ont une politique intelligente qui font qu'ils "pétent dans la soie".
D'autres plus nombreux n'obtiennent aucun résultat.
Maurice