Alors pour commencer j'ai éprouvé un grand plaisir à lire tous ces magnifiques souvenirs que chacun partage généreusement.
J'ai égalemant été ravie de lire que certain avais fait de jolies coups sur des pigeons à environ 70 m car ça m'est arrivé une fois malheureusement j'était seul et n'en parle jamais car même moi j'avais du mal à y croire une fois les pas compté, mais je me dis mainteneant que c'était possible ( browning cynergy et winchester ZZ electrocible 7 1/2 en 36 g).
mais bon le souvenir que je croie me restera à tout jamais gravé en mémoire c'est ce jour de ma 1ère année de chasse. Comme chaque dimanche matin on part de la maison avec mon père pour aller rejoindre le voisin qui habite à une 100 ène de maitre de chez nous.
Comme à l'habitude un petit café avant de se mettre en route et la Yves (le voisin, chasseur mais aussi agriculteur) nous confit qu'il avait apperçue un faisan dans la semaine dans un champ de maïs qui venait d'être battue et que l'on ferait bien de commencer par là.
Ce qui fut dit fut fait et nous voici arrivé au bord du dit champ. Nous commençons à avencer en ligne. La moitier du champ fait et rien jusqu'au moment où la petite EB de mon père commence à donner. On est tous excité et nos regard cherche dans tous les sens ce fameux coq mais on ne distingue rien au travers toutes ces tiges de maïs restées couchées sur le sol.
Quand tout à coup un faisan prend son envole avant que la chienne n'ai pue le bloquer.
Je lève mon fusil et pan je le tue du premier coup.
Ravie de ce magnifique tir
je me dépèche d'aller chercher mon faisan car à l'époque c'était la guerre entre le chien de mon père et celui du voisin pour celui qui aurait le premier morceau du gibier. (je sais niveau dressage à ce moment là c'était pas ça
et la sagesse à l'envole boufffffffffffffff on savais même pas ce que c'était !
).
Donc je ramasse ma pièce et le lève le plus au possible avec les chien autour de moi qui ne cesse de sauter pour me le chipper. De là mon père arrive et me dit tien mon fusil je vais le mettre dans mon carnier.J'était donc la avec les deux fusils dans les mains regardant mon père cherchant l'ouverture de son carnier et tournant pour ne pas que les chiens attrappent le faisan quand tout à coup un second faisan qui était caché sous les tiges de maïs et à nos pieds décide de s'envolé vue le basard que l'on fesait. Pas de bol trop loin pour le voisin, impossible pour mon père car c'est moi qui avait son fusil. Instinctivement je lève mon fusil d'une main tout en gardant celui de mon père dans l'autre et j'entend encore mon père me dire : " NON, tu vas te blaiser ! ". Et la je l'avais en plein dans ma ligne de mire et je le voyais partir et me disait, je tire, je ne tire pas et PAN ça à été plus fort que moi et le faisan par terre et moi rien même pas un coup de recule avec le fusil. Et là j'ai vue dans les yeux de mon père de la surprise mais aussi de la fièrté et je pense que se n'ai pas tellement le faite que ce soi ma première année de chasse ou d'avoir réussie à avoir ce faisan d'une seule main qui n'ai pas vraiment un exploit mais le souvenir du visage de mon père qui fait de ce moment mon plus beau coup de fusil.