libertas chasse

Débattez sur la chasse dans son ensemble. Pour tous les sujets généraux qui n'ont pas leur place ailleurs
monmon
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Message par monmon »

De : gaby [mailto:[email protected]]

Envoyé : mardi 16 juin 2009 09:53

À : "Undisclosed-Recipient:;"@sfr.fr

Objet : Fw: Nouveau reportage de FR3 Picardie











Original Message



From: [email protected]



To: aselmm 33 ; bruno ASELMM ; Cabanayre 33 ; cado33 ; gaby ; Jean Francis SEGUY ; JPS ; Michel Labeyrie ; Pesanti Patrick ; Rémy Doret ; stm ; thierry ; titi 33



Sent: Monday, June 15, 2009 9:57 PM



Subject: Nouveau reportage de FR3 Picardie







Voilà un nouveau reportage de FR3 Picardie, ça commence à 7mn 30 et s'arrête à 14 mn



Edition du Dimanche 14 Juin 2009



http://jt.france3.fr/player/regions/?jt ... =c80a_1920
monmon
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Message par monmon »

DEPÊCHE AFP - 12 juin 2009



Objet : TR: CPNT demande que le dossier agricole soit sorti des négociations

OMC





CPNT demande que le dossier agricole soit sorti des négociations OMC

DEPÊCHE AFP - 12 juin 2009



Objet : TR: CPNT demande que le dossier agricole soit sorti des négociations

OMC





CPNT demande que le dossier agricole soit sorti des négociations OMC



PARIS, 12 juin 2009 (AFP) - Frédéric Nihous, président de CPNT (Chasse,

pêche, nature et traditions) a réclamé vendredi que le dossier agricole

européen soit sorti du cadre des négociations à l'Organisation mondiale du

commerce (OMC) et que la France adopte des "positions fermes" sur la réforme

de la PAC.

"Le dossier agricole doit être sorti des discussions OMC car nous devons

garder la maîtrise de cette activité stratégique", a-t-il demandé dans un

communiqué.

CPNT, qui se veut le défenseur de la ruralité française et s'était allié

pour les élections européennes du 7 juin au Mouvement pour la France (MPF),

demande "des positions fermes" de la France sur la réforme de la politique

agricole commune (PAC).

Cette réforme, dit-il, "doit permettre aux agriculteurs de vivre durablement

des prix de leur production, dans un processus de qualité et via des

systèmes de régulation des productions pour en garantir les prix".

Observant "le désarroi et la colère" des agriculteurs, éleveurs, producteurs

de lait et retraités agricoles en raison de la "multiplication" des

promesses durant la campagne des européennes, M. Nihous juge "inadmissible"

le "flou" quant à leur avenir.

Environ 7.000 agriculteurs bloquaient vendredi 41 plates-formes de

distribution, selon la FNSEA, à l'origine de cette mobilisation qui vise à

dénoncer les marges pratiquées par les grandes surfaces.

jlv/st/fj/df





UE-AGRICULTURE-MANIFESTATION-FRANCE-OMC - 12/06/2009 18h06 - AFP

--

Service : Monde (FRS)
lemon
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Message par lemon »

@monmon wrote: les marges pratiquées par les grandes surfaces.





hé oui !



s'il n'y avait que les dérivés laitage ! :roll:



et si tu savais tous les conteneurs qui partent dans la benne à ordure chaque matin ( viande, produits dérivés de la mer, charcuterie, boulangerie, pâtisserie,légumes, fruits, ect...)



au lieu d'en faire profiter le consommateur, avant la date limite,



tu serais écoeuré ! :?



mais que faire !



bloquer les marges des grandes distributions ?



aussi je suis surpris quand je vais acheter chez le producteur de payer le même prix que les grandes surfaces où presque,



sans les grandes distributions qui vous négocie les prix, ne serai- ce pas les producteurs qui feraient flamber les prix ?



les grandes distributions ne joueraient il pas une rôle de modérateurs sur l'envolée des prix ?



:roll:



je pense qu'il faut qu'elles existent, soit elle pour éviter la flambée des prix des producteurs,

elle jouent un rôle de régulateur,



même parfois si elle exagèrent sur les prix de revente ! :wink:
lemon
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Message par lemon »

pour finir,



les producteurs vendent trop cher en direct,



va acheter du vin chez un producteur,



et va acheter le même vin à carrefour du verras la différence de prix,



dans un sens,

je ne suis pas mécontent de voir qu'ils nous négocient les prix auprès des producteurs,



même que si sur certains produits, il y a dérapage de leurs parts !
monmon
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Message par monmon »

lemon t ' es gerant de grande surface :x :x :x :x ?????
firehawck
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Message par firehawck »

ma reflexion est la meme que lemon, chez le producteur je paye le même prix le même produit ,sauf qu'il va me falloir aller chez le maraicher ,apres chez le fromager etc.... donc produit plus chere. si on se plain de vendre un produit X 1 euro au grandes surfaces ki le revende 2 ben pourquoi ne pas le vendre 1.5 comme sa tout le monde est heureux.
kyusho
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Message par kyusho »

pas mieu le maraicher qui vend sa salade 15 cts au grande surface et qui la vend 2euros en direct ce fout de la geule de qui a votre avis



dans un magasins "de producteur" a Bourgoin (38) un producteur m'a vendu un poulet "fermier" roti 37 euros je l'ai achete bien que mon pere eleve un peu de vollaile et serieux 37 euros pour ca c'est de l'arnaque car pour 7.5 euro j'ai quasi le meme sans abats chez mon epicier arabe



apres je connais quelque fermes ou je peux achete des fromages divins pour un prix plus que raisonable (genre 15 euros un plateau complet et honorable"
monmon
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Message par monmon »

ATTAQUE EN REGLE DES ECOLOS FAILLAIT S'y attendre



ssociations membres











Communiqué de presse - Mardi 16 Juin 2009





Oies cendrées aux Pays-Bas : prolonger la chasse en France n’est pas la solution !





A la suite de la récente mission parlementaire sur les oies cendrées, certains chasseurs de gibier d’eau cherchent à exploiter la situation aux Pays-Bas pour obtenir une prolongation de la chasse des oies au mois de février. Leur discours est le suivant : puisque l’on détruit des oies aux Pays-Bas, il faudrait en tuer encore davantage en France ! FNE, la LPO, la Ligue ROC et Picardie Nature ne souhaitent pas entrer dans une polémique stérile mais au contraire recentrer le débat sur les véritables enjeux de conservation des oies sauvages.



La plupart des populations d’oies sauvages ont connu ces dernières décennies un accroissement de leurs effectifs en Europe, à la suite des mesures de protection prises en leur faveur. Dans les pays du nord, la présence des oies entraîne parfois des dommages aux récoltes. Confrontés à ce problème depuis plusieurs années, les Pays-Bas ont mis en place, grâce à l’implication de tous les acteurs, un système combinant la création de vastes réserves et de zones de tranquillité pour les oies, des méthodes d’effarouchement pour les éloigner des cultures, l’indemnisation des agriculteurs et en dernier recours, des mesures de destruction. Tout en reconnaissant les difficultés posées à l’agriculture, les néerlandais considèrent le retour de l’oie cendrée comme un succès et se réjouissent de sa présence.



La récente mission parlementaire conduite par le député Jérôme Bignon, à laquelle FNE, la LPO et Picardie Nature ont participé, a permis d’apporter des réponses aux interrogations sur la situation des oies aux Pays-Bas.



Prolonger la chasse ne réduirait pas les dégâts

Tout d’abord, la situation des oies aux Pays-Bas et en France n’est pas comparable. Sur le plan biologique, moins de 5% des oies cendrées nichant aux Pays-Bas sont des migratrices qui transitent par la France. Allonger la période de chasse en France n’aura donc aucune influence sur les dommages agricoles aux Pays-Bas, comme l’a expliqué Berend Voslamber, le scientifique néerlandais coordinateur du programme de marquage des oies cendrées. En revanche, cela mettrait en péril la petite population d’oies qui va nicher en Norvège après avoir traversé notre pays, population qui donne déjà des signes de déclin. Par ailleurs, sur le plan juridique, la France est tenue de fermer la chasse des espèces migratrices durant leur période de migration prénuptiale, afin de respecter la directive européenne « Oiseaux ». Or la migration de retour des oies est de plus en plus précoce, pour partie à cause du réchauffement climatique, si bien qu’il faudrait aujourd’hui avancer la fermeture de leur chasse à la mi-janvier plutôt que de la repousser en février !



Favoriser l’hivernage des oies en France

La mission parlementaire a aussi apporté un éclairage sur la question : pourquoi ces différences ? Les Pays-Bas accueillent plus de deux millions d’oies en hiver, alors qu’en France, l’hivernage des oies est presque inexistant. En réalité, les importants effectifs d’oies observés en Belgique et aux Pays-Bas, où elles sont protégées, sont renforcés par une pression de chasse excessive en France qui empêche les oiseaux d’étendre leur aire d’hivernage vers le sud. Si la France veut véritablement aider les Pays-Bas, il faudrait lever cet obstacle en favorisant dans notre pays le stationnement et l’hivernage des oies cendrées. Cela passe par la création de zones d’accueil suffisamment vastes et préservées des dérangements. En outre, la présence des oies tout au long de l’hiver permettrait de belles observations à tous les passionnés d’oiseaux et susciterait le développement d’un tourisme ornithologique, comme il existe déjà aux Pays-Bas.
monmon
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Message par monmon »

Bonjour



Pour info : ce n’est pas gagné pour récupérer oies et siffleurs en février !!!



A noter que les écolos veulent importer le système hollandais de réserves d’hivernage en multipliant les zones de … réserves (donc de protection, sans doute !) ; comme cela, on paiera à l’avenir aussi des dégâts agricoles pour les oies qu’on ne nous laissera pas chasser…



On voit également qu’ils déplacent le problème des dates de chasse en ayant une lecture à géométrie variable de la directive 79/409 ; en clair, bien difficile d’obtenir de leur part certaines « concessions » sur la chasse en février alors qu’ils en ont obtenu sans peine pour les décalages d’ouverture ou fermeture de chasse de différentes espèces.



Le dialogue, oui ! Mais si c’est un dialogue de sourds…



A bientôt



Amitiés



Frédéric NIHOUS
monmon
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Message par monmon »

Le 16 juin 2009





Communiqué de Presse



Réunie en assemblée générale à Château Thébaud ( Loire Atlantique) le 13 juin 2009, L’U.N.A.C.OM a reçu des élus de la Somme et de la Loire Atlantique .



Parmi les nombreux invités venus de la Gironde, de la Seine Maritime, du Nord, de la Somme et de la Loire Atlantique, Monsieur Gilbert PERRIER, Vice-président de la Fédération des Chasseurs de la Drôme représentait le Président Monsieur Alain GOLIN.



Toutes les associations adhérentes était présentes à l’exception de l’Association du Domaine Public Maritime de L’Eure associée avec l’Association des « Gabionneux » de ce même département , ces deux groupements n’ayant pu se faire représenter.



Après le mot d’accueil, la lecture et l’approbation du compte rendu de L’assemblée générale du 12 juin 2008, le Président Serge BLINEAU a donné lecture du rapport moral et d’activité de la saison écoulée.



La situation juridique fût copieusement développée par le premier Vice-président Monsieur Georges RIBOULET qui comme on peut l’imaginer est entré dans les moindres détails considérant que L’U.N.A.C.O.M attends avec impatience la réponse de la Cour Européenne des Droits de l’Homme à sa requête déposée le 11 juillet 2008 contre l’Etat Français pour violation des articles 6 et 7 de la convention des Droits de l’Homme.



Conformément à l’objet de ses statuts, L’U.N.A.C.O.M arrive, entre autres objectifs, à son intégration au sein du groupe de travail des tables rondes de la chasse au même titre que les instances cynégétiques nationales et autres. Cette position fût étudiée favorablement par le Ministre d’Etat Monsieur Jean- Louis BOORLO lors de la réunion que nous avons eue avec ce dernier le 30 mars 2009 au ministère de l’environnement.



Dans le cadre de cette Assemblée Générale Messieurs Louis SAINT-GHISLAIN Président de l’A ssociation des Chasseurs Côtiers du Littoral Nord et Nicolas LOTTIN Président des Chasseurs de la Baie de Somme ont posé la question sur la pratique de l’élimination massive des oies cendrées et des canards siffleurs au mois de février sur le territoire Hollandais à savoir qui a cautionné ces procédés, qui les a autorisés et par qui ont-ils été mis en œuvre et subventionnés ?



Pourquoi interdire aux chasseurs de France de chasser ces espèces en février alors que dans un même temps elles sont détruites dans

un pays voisin, nous allons demandé à nos avocats s’il est possible d’intervenir juridiquement pour mettre un terme à de tels agissements sur lesquels l’Europe et bien d’autres…ferment les yeux.



L’U.N.A.CO.M reconnaît la bonne volonté des autorités Hollandaises pour la clarté et la transmission des informations fournies suite à la visite d’une mission parlementaire mise sur pied par le Ministre d’Etat Monsieur Jean- Louis BOORLO.



Ayant le sentiment d’avoir été écarté de la réunion de la table ronde chasse du 8 juin écoulé le Président Serge BLINEAU a posé par un récent courrier adressé au Ministre d’Etat la question à savoir qui décide de la composition des tables rondes.



Si comme elle l’espère l’occasion lui est donnée, L’U.N.A.C.O.M ne signera pas d’arrêté d’ouverture et de fermeture de la chasse du gibier d’eau contraire au bon sens, elle défendra bec et ongle une ouverture commune sur le Domaine Public Maritime et pour l’intérieur la deuxième quinzaine de juillet et une fermeture au 28 février tout en étant disposée à étudier la situation des espèces en difficulté s’il y a.



La prochaine table ronde de la chasse est prévue au ministère le 16 juillet 2009, nous espérons cette fois ci y être invité.



Le Président

Serge BLINEAU
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