Bon, c'est ouvert, mais je n’ai vraiment pas le temps d'affûter en ce moment.
Mais vendredi soir, en rentrant du taff, je m'arrête le long d'un champs de blé pour voir l'avancé de la maturation et a ma grande joie, me rend compte qu'il commence à être en lait.
Alors je prend mon arme et décide de faire un tour.
J'avais remarqué des nouveaux prés fauchés alors p'tit tour pour trouver goupil.
Depuis la route, j'en vois un. Alors j'essaye de l'approcher. Il est a plus de 400 m et pas trop de couvert pour m’aider.
Mais j'y vais quand même!
Je n’ai pas fait 100 mètre que je suis déjà repérer. J’attends un peu avant de reprendre ma progression, mais goupil me fixe toujours. Un coup de briquet et je me rends compte que j'ai le vent dans le dos. Il m'a éventé, c'est mort. Je décide d'y aller franco. Et quand je suis arrivé a environs 200 m, goupil a détalé. (on se reverra ....)
Il commence a ce faire tard alors je vais vers le spot où je pense voir du sanglier.
En y allant, je lève une chevrette qui je pense cherche à m’éloigner de son chevriar , puis un lièvre. Je suis déjà content de ma soirée.
En arrivant près d’où je voulais me placer, je vois plusieurs passage dans le blé, ça me conforte dans l’idée que je peu en voir par ici. Il me reste à faire environs 200 m, mais en longeant le champ de colza, je lève une troupe de sanglier. Je n’en verrai pas, je vois seulement le colza s’écarter dans leur course. Mais au vu de la largeur de ce que je vois bouger, il doit y en avoir une dizaine. (Il n’était qu’a quelques mètre du bord de colza)
Je fais encore une cinquantaine de mètres et j’en vois un qui est a moitié sortie du champs. Je ne vois que l’avant et le coffre du sanglier. Impossible d’identifier. De plus, il fait chaud, je le laisse tranquillement re-rentrer dans le colza.
Pour ne pas le déranger je reste sur place et l’écoute aller à droite, à gauche, il a bien compris qu’il y a danger et n’ose pas ressortir du champ.
Et puis, je vois un mouvement au fond du chemin. Il fait très sombre et j’ai pas mes jumelles. J’épaule donc pour mettre dans la lunette et c’est un goupil. Je ne bouge pas d’un poils, il se dirige droit sur moi en faisant quelque haltes. Je ne sais pas si c’est les mouvements du sanglier qui le gène où si c’est moi mais quand il arrive a une cinquantaine de mètres, j’enclenche le stécher, pose le réticule sur sa poitrine et … baoum …schapzzz il est sécher net sur place.
Le sanglier lui ne bouge plus une oreille. Maintenant qu’il est déranger, je poursuit mon périple et vois 3 chevreil plus loing.