Cela amuse beaucoup visiblement ce blog anti-chasse :
"Quel talent il a ce toutou ! Il avait pigé que son maître faisait du grand n'importe quoi et en a profité pour le lui faire payer. Car enfin, ce type participait à une battue en tant que rabatteur et à ce titre, avait envoyé deux de ses clébards rabattre le gibier vers ceux qui sont censés le flinguer. En principe, il n'a pas à employer de fusil...S'il tire, ce sera forcément devant lui et donc en direction de ses congénères tireurs. Ce qui serait très con mais on a en vu des merveilles de ce genre.
Ensuite, s'il contraint l'animal à le fuir et à se diriger vers ses tueurs, c'est que le pauvre a peur, notamment des chiens. Affolé, il ne va pas revenir sur ses pas pour coller une danse au rabatteur. Non...Il taille la route. Le rabatteur un peu fûté peut donc se passer de son flingot et s'il tient à l'emporter parce que ça fait plus viril, ne doit pas engager de balle dans le canon.
Dimanche 16 septembre, du côté de Saint-Michel-de-Double (Dordogne), nous avions affaire à un gourmand : il portait son fusil et ce dernier était chargé avec une bastos destiné au gros gibier.
Le pompon, c'est qu'il était accompagné d'un très jeune chien, fou et débordant d'enthousiasme.
Résultat des courses : le clebs s'est jeté sur son maître et a malencontreusement appuyé sur la queue de détente. Le coup est parti mais ce chasseur, comble d'intelligence, tenait l'extrémité du canon avec sa main droite.
La mimine et les francforts sont parties en fumée. Il a fallu amputer (de Ceylan).
Je conseille à cet homme, avec la main qui lui reste, d'allumer désormais, exclusivement, son barbecue avec du white-spirit. C'est plus prudent. "
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