Sgararbabi,
tu ne cesses de t'enfoncer.
L'élimination q'un quota de loups n'est pas un acte de chasse.
Les personnes en charge ont donc toutes latitude pour effectuer leur tâches.
Rien ne leur interdit d'utiliser des cages pour aboutir à leur objectif.
Ils en arrivent même, très difficilement, à poser des colliers.
Là encore une profonde contradiction dans tes affirmations.
Mais encore
Si ton honnêteté te poussait à lire des données de l'AGRESTE,
tu remarquerais que la production ovine a été divisé par deux en moins de 50 ans.
Logique, c'est la déprise agricole.
Mais sur les autres tyoes de production le nombre de jeunes s'installant est quasiment nul, et toi tu nous expliques que dans les Alpes, c'est à cause du loup !
Aujourd'hui on est à 8 millions de têtes, et le loup qui en bouffe moins de 4 000 par an serait responsable de tous...bien moins que les chiens errants, les maladies, les négligences, les accidents etc ...
Crois-tu qu'un berger maritimo-alpin fasse le poids face à l'agneau gallois plutot néozélandais, australien, argentin etc ...
Les bassin de production français est dans le triangle Limoges/Rodez/Toulouse, en s'effilochant vers les alpes et les Pyrénées.
Les Alpes constituent moins de 6 % de la production.
Là encore,le loup serait responsable de tout.
m1;dr
Si les alpages constituent si peu de la production, c'est que, outre les difficultés d'exploitation, la production française doit sont maintien principalement à l'ovin laitier.
Or, c'est bien la traite qui protégeait les troupeaux quand il s'agissait de vache.
Les productions ovines alpines sont donc marginales.
C'est le système extensif qui prête le flanc aux agressions, OR, ce système est largelenbt concurrencé par les pays cité plus haut.
Les arguments que tu nous proposes ne sont pas étayés par des chiffres.
Je suis surpris les anti- ne nous ont pas encore sorti l'argument de la production lainière m1;dr m1;dr m1;dr
quant à l'impact sur le gibier, vu qu'il y a beaucoup de chimère, de fanfaronnades et d'erreur, je me fie (à défaut) à ceux qui en sont en charge.
http://www.oncfs.gouv.fr/IMG/file/mammi ... Loup28.pdf
1. l’effet de la prédation d’une meute pourrait être
très dilué dans un territoire d’environ 300 km², expliquant
un impact non détectable sur la survie locale des chamois
et chevreuils;
2. la sélectivité du loup pour des individus qui
seraient morts prématurément même s'ils n'avaient pas été
tués par lui (par exemple par effet d’un climat rigoureux
ou une sélection des jeunes de l’année), peut expliquer le
faible impact de la prédation par effet dits "compensatoires";
3. tous les ongulés au sein du territoire de la meute
peuvent ne pas être soumis à la même pression de
prédation.
Et heureusement qu'il y a des activités fortement attractives en montagne car ça permet aux locaux de continuer à avoir la contiunuité du service public.
La réalité est que ce sont les mecs d'en bas (là où est le siège d ela fédé
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) qui paient les routes pour ceux d'en haut, même si ça ne mène à aucune stations de ski hôtels ou autres.
c'est ça la démocratie.
Dans ce que tu écris, des déclarations, beaucoup, mais peu de concret et de vérifiables. A lire les propos des anti-, des mensonges (le hoax sur l'attaque du chenil), des méconnaissances et des refus de se renseigner (incompréhension des différences alimentation/reproduction des herbivores ruminants versus prédateurs) rend tout cela peut crédible.
Regarde l'annonce de Chasseur05, une MEUTE attaque.
Et quand on lit l'article, l'ONCFS relève TROIS bêtes égorgées.
Et nous sommes toujours dans l'attente du typage génétique.
Depuis 20 ans, vous êtes dans les supputations excessives, et ça ne marche pas. Faut sans doute changer, non ?