@henri X wrote:Oui, d'où mes efforts pour réintroduire du lapin en parallèle des faisans sur mon territoire.
Le lapin, c'est le maillon élémentaire de notre faune. Autant je peux admettre une certaine responsabilité des chasseurs d'il y a une quarantaine d'année pour la regression des perdrix et faisans par leur prelevement un peu exagérés, autant la disparition du lapin n'est absolument pas due aux chasseurs.
Pour revenir au sujet, j'ai bien une idée de territoire de rêve:
Rien que sur une dizaine d'hectare, avoir un étang (d'environs un ou deux hectares), avec une ou deux iles (d'environs 200m2) sur lesquelles seront installé volières / parcs de prélachés. Formant ainsi une protection efficace contre les prédateurs (tant terrestre qu'aerien), et même des prédateurs à deux pattes (bon, pas infaillible...).
L'étang serait entouré:
- un coté sur une pature
- un coté culture à gibier (plusieurs semences, paliant aux besoins petit et grand gibier, toutes saisons, donc par bande de millet, radis fourrager, radis japonais, choux fourrager, topinambour, maïs et luzerne).
- un coté grand bois (chêne et chataigniers)
- un coté friche d'épine noire et genêts.
Un mirador central découvrant le tout pour le tir des nuisibles.
Des garennes artificielles en bordure de friche et cultures à gibier. Des nichoirs pour canards aux endroits adaptés sur l'étang. Du piégeage, avec sentier de piégeage, boite tombantes, etc. répartis sur le terrain.
Je tiendrais ces quelques hectares au milieux de ma chasse, et m'en servirais de réserve (sauf si par exemple ça générerait des surpopulations ou trop de dégats par sangliers, lapins ou autres).
Ainsi, je pourrais esperer avoir faisans, lapins, canards, et donc aussi des sangliers (bien sur territoire ouvert, je deteste les enclos). Sans compter les brochets dans l'étang, pour la saison de pêche...
C'est beau de rêver...
je ne l'aurais pas mieux décrit