@kingbouzeu wrote:Parlons en du bambisme (ou syndrome walt disney). Ce matin je suis allez tirer quelques ragondin à la demainde de mon voisin agriculteur, floc floc floc floc(oui ma botte prend toujours l'eau) j'en tue deux puis s'en presente un troisième sur la berge pan! il accuse le coup mais il lui rester assé de vigeur pour rejoindre la berge, je cour le rattrape et le dague(attention ses charment bestiole on de véritable rasoir à la place des dents) je me retrouve donc avec du sang sur les mains. Je continue ma route sur une 30éne de mettre quand un couple avec leurs deux enfants m'interpelle, les deux epoux étaient à la limite de l'histérie et me salut de façon courtoise en me désignant de montre sanguinaire(et de sale enculer accesoirement). Comme il est d'usage je casse mon fusil et les salut également(sa les enervent toujours quand on reste calme ::lang; ). La s'enchaine une longue conversation sur le plaisirs de tuer(ha ses touristes c'est terrible
), je leurs exposent mon point de vue de la chasse et mes connaissance sur le monde rurale(pendant ce temps les droles pleurent parceque mes mains sont toute rouge).
Il ne veulent rien savoir et la discution commence franchement à me gaver, quand ses idiots me disent que je chasse alors qu'elle est fermé me réclament mon identité(la je commence à rougir mais c'est pas le sang de ragondint) et me demandent si j'ai egalement l'intention de braconner les pauvre cerf allentour. Je leur fait remarquer qu'il n y as pas de cerf dans le marais et la sa fait tilt, ses citadins qui prétendent mieux connaitre la nature que moi (il viennent de seine et marne) sont meme pas foutu de faire la différence entre un cerf et un chevreuil.
Ils ont l'air déçut(ou ce sente très con?) la je prend l'acendent et leurs fait remarquer qu'il sont sur un terrain privée(je reste ferme mais courtois) et que s'il veulent parler nature avec moi il ont tout intérer à ce cultiver sur le sujet. Pour clore la discution je les invites à aller se faire fout...(la je suis plus du tout courtois). Il s'en vont déçut après qu'une cinquentaine de metre nous séparent je tire un coup(pas vers eux!!) histoire de faire repleurer les gosses(oui je suis tordut et sadique mais j'étais franchement en colère et je le suis encore!).
Bref tout sa pour dire que me faire insulter par des Franciliens à 10h du matin sur mes terre de chasse alors la non non non et non.
salut
ton anecdote arrive malheureusement de plus en plus souvent et est révélatrice d'un climat dans lequel les anti-tout se croient en droit d'insulter les chasseurs qui ne font rien d'illégal
cela dit, le courage n'étant pas la caractéristique de nos valeureux écolos, les agressions se produisent souvent à l'encontre de jeunes chasseurs (personnellement, j'ai trente ans et cela fait quelques années que le ton des "discussions" est plus courtois)
pour illustrer ton propos et aller dans ton sens, l'année de mon premier permis, à 16 ans, je chassais une vigne et tire une bécassine en bordure de ruisseau
j'entends alors un hurlement derrière moi et voit une dizaine de bon gros bobos à dos de cheval
le chef de la bande (une vraie caricature, cheveux longs et chapeau fraichement acheté dans une boutique chicos sur la tète ) s'approche de moi et je lui signale que je ne les avais ni vu ni entendu, sinon je n'aurais pas tiré
et lui de me répondre: "si tu vois pas un cheval, tu ne risque pas de voir un canard"
je sors alors une sarcelle de ma gibecière et lui dit: "et ça, c'est quoi?"
aux regards gênés des cavaliers, je comprends vite que les connaissances en anatidés de la bande se limite aux malheureux colverts qui pataugent en centre ville
se sentant en position d'infériorité, la troupe devient alors menaçante: "écoute petit, qu'on ne te recroise pas dans le coin"
jeune, je ne sais quoi répondre
mais alors arrive mon père qui les salue et leur demande de répéter
d'une voix hésitante, ils tentent alors d'expliquer qu'ils comptent organiser des sorties à cheval chaque week end
"et où?" leur répond mon père '" ici, vous êtes sur une propriété privée . de plus cette vigne appartient à mon oncle et nous payons un droit de chasse"
les chevaliers font alors la moue, mais leur chef lance quand même qu'ils reviendront la semaine suivante
mon père enchaine alors "et bien, mon canard, on appellera la gendarmerie"
la troupe s'éloigne, tète basse
nous ne les avons jamais revu
voila, cette petite histoire (vraie) illustre bien la couardise des opposants à la chasse, leur absence totale de connaissance aussi bien de la nature que des lois, et surtout le fait que l'on peut faire fuir une bande de faux écolos sans tirer le moindre coup de feux