Il faut une sacrée dose de prétention pour oser comparer sa propre signature (et encore virtuelle), le c*l bien assis dans son fauteuil, derrière écran, à l'action héroïque de nos aïeux qui ont participé à délivrer la France.
ça au moins, c'était ce que l'on peut appeler réellement un combat.
Pas des gesticulations.
Par chez moi, on a un dicton "C'est à la fin du bal que l'on paie les musiciens".
Et bien là, les musicos, ils ne vont pas faire de gras. Car avec seulement 7 000 signatures pour un potentiel de plus d'1,4 millions de signataires, il faudrait mieux changer l'orchestre !
A 5 pour mille de résultat, ce n'est plus un combat, c'est une marelle.
Soyez satisfait de vous même, persistez dans l'onanisme (comprend qui peut
, y'en a qui sont spécialistes) mais la bataille ne se joue pas derrière un clavier.
Chasser le naturel, il revient au galop.