Hedidas wrote:
Les études concrète elles sont sur le terrain chaque jours.
Participes tu a tous ça?(battue,tir de nuit,piégeage ,agrainage,n les abreuvoirs,protéger les jachères etc)
C'est facile de donner des donnée quand on ne fait rien.
Je ne souhaite pas être le seul prédateur,vois tu,moi mon plaisir à la chasse,c'est de voir du gibier le reste je m'en fous.
Le truc c'est qu'il n'y a que la chasse dans la vie, la nature est faite d'une façon, c'est une chaîne avec pleins de maillons qui interagissent si l'on vient modifier ce fragile équilibre, on se retrouve dans la situation dans lequel nous sommes.
Moi j'adore la chasse, mais je porte plus d'attention protéger la base de chaîne alimentaire (les invertébrés et les plantes) pck c'est cette base qui soutien tout le reste, il ne faut pas négliger ces taxons.
Alors je veux bien qu'on parle des buses et compagnie qui s'attaquent aux gibiers qu'on lâche. Mais pk ? 8) "pck lâche de la merde" et ils n'ont plus rein à bouffer, donc ils prennent skil y a !
Dans la prédation il y a un calcul de rapport entre dépense d'énergie à chasser et le bénéfice. Lorsque sur une proie la dép ENRJ > au bénéfice bé il change de proie. Le prédateur va toujours tenter d'optimiser se rendement. Donc il s'attaque à du gibier lâché qui est plus facile à chasser que du sauvage...
Il faut arrêter sous prétexte de la chasse "on pète tout les prédateurs pour pouvoir lâcher", il faut vivre avec eux, comme on l'a toujours fait. Avant, il y a plus de rapaces et il y avait de gibier, mais "sauvage" et puis les territoires n'étaient pas aussi pelées qu'aujourd'hui.
Et justement, c'est à nous en faisant de la gestion de territoire mais de la vraie, pas en lâchant comme des gros sacs n'importe où, il faut recréer des souches génétiques capables de lutter contre les prédateurs. (plus facile à dire qu'a faire je suis d'acc)
Il faut d'abord aménager et après on lâche de manière raisonnée, d'abord sur des petits périmètres aménagés à cet effet et laisser la population s'adapter au milieu, puis si sa marche, sur plusieurs générations on commencera à avoir une "souche" qui sera adaptée aux conditions édaphiques et biotiques.
Puis toujours travailler avec cette même souche génétique, la favoriser au maximum. c'est sûr ce n'est pas évident et c'est très long. A mon avis la solution est là.
Aménager avec les agriculteurs main dans la main nos territoires c'est maintenir nos campagnes. De façon à mieux intégrer dans la nature le petit gibier qu'on lâches, c'est tout simplement pérenniser la chasse du petit gibier, maintenir nos terroirs et notre passion.
A+ 8)