Bien sur que s'il n'y avait que des animaux dans notre belles france, ils finiront bien par s'autoréguler. Mais il y a un hic, c'est qu'on est là nous aussi (homo sapiens)
et en plus ca fait un bout de temps.
Alors les théories fumeuses de genre : l"es hommes tous pourris, laisser faire la nature", c'est bon dans les rêves embrumés
, ou bien à Yellowstone, dans un continent surdimentionné. Il faut se réveiller...hou, hou...
Les hommes, j'exclu les boulimiques du béton et des games boys
, et principalement les chasseurs, nous sommes des acteurs de cette vie dite "sauvage" et artisants de la gestion des espèces (même si tout n'est pas parfait, mais comme dit Maurice, il n'y a que ceux qui ne font rien, qui ne font pas d'erreur). En l'absence de tigres à dents de sabre et de hordes de loups (qui est pret à revenir à cette période
), il faut agir sur les espèces en surnombre.
C'est toujours un peu facile de dire que si telle ou telle espèce pullule c'est de la faute du déséquilibre des hommes (trop de hérons et de cormorans, parceque les hommes ont creusés trop d'étangs
). Heureusement qu'ils y en a des étangs pour que tes ancêtres aient pu survivre au moyen age et manger du poisson le vendredi
, sinon on serait pas là à se causer
. Faut être raisonnable, les hommes sont là, et il faut faire avec. Non à la disparition des espèces, oui à la régulation de leur surnombre.
Lorsque les écolos qui pronent la non-intervention de l'homme sur ces espèces génantes pour les activités humaines (chasse, pêche, sylviculture, culture tout cours, etc..) autre que par la notion d'équilibre avec le loup ou l'ours ou le lynx, c'est à dire qu'ils auront mis de l'eau dans leur vin, ont pourra envisager de déboucher un bouteille ensemble, quoique...
A+
Champagnol