@OLERON wrote:@pilet61 wrote:
Pour Oléron, il y a eu quelques amendes à 135€ mais je connais de nombreuses personnes qui passent outre dans ma région, en particulier dans les gabions de l'intérieur où les gardes ne peuvent pas accéder ou alors avec des procédures judiciaires extrêmes, je vois mal les gendarmes se déplacer pour cette seule raison
On m'a raconté - j'ai pas vérifié, ni de preuves,sous toute réserve donc - que dans le sud du département,au bord de la Gironde mais de notre coté ,il y a des dizaines de tonnes sur le DPM (
http://maps.google.fr/maps?hl=fr&ll=45. ... 7&t=m&z=12 ),un copain m'a dit que la nuit ,les "affaires maritimes" faisaient des actions commandos,l'un contournait la tonne et prenait en main les canons qui dépassaient des créneaux tandis que d'autres demandaient à ouvrir la tonne,pour vérifier les armes,ils arrivaient par les petits courants avec des moteurs électriques...
Et là sur le DPM ,pas de notion de propriété privée ou quoique ce soit,visiblement ils auraient tous les droits en matière de contrôle.
Et pour l'autorisation l'année d'aprés.....
Pour le" DPM, ce ne sont pas des rumeurs, des contrôles inopinés ont aussi eu lieu en baie de Seine, de l'Orne ou encore en baie des Veys, il faut dire que les affaires maritimes ont le droit de faire quasiment ce qu'ils veulent... à l'intérieur c'est nettement plus délicat, en plus avec l'audace de certains voleurs de sauvagines, cela me semble risquer pour les gardes. Un de mes amis a tout de même fait décamper un gus qui chercher à pénétrer dans la cage longeant la mare de gabion en pleine nuit... alors qu'il était aux guichettes!!!
Je pense que pour certains gabionneurs un peu chauds n'hésiteraient pas longtemps avant de tirer.
Ce qui me semble bizarre dans ton histoire c'est de saisir les canons des fusils sortant des guichettes, d'un côté cela me semble très dangereux... et d'autre part, je n'ai jamais laissé un fusil en permanence sorti des guichettes du gabion.
En tout cas, à la tonne, à la hutte ou au gabion à l'intérieur des terres, les contrôles sont quasi impossibles.