Forum Chasse Passion, 1er forum de chasse en France
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bonsoir , pour en revenir au sujet initiale , 57 pour, 30 contre , 13 ????? , la france est un pays de brebis (cela n'engage évidemment que moi ) , bye
Sur la dernière intervention de Louis, nous pouvons avec d'autres mots dire que certains pans de notre économie qui sont dans le giron du public serait certainement mieux géré s'ils étaient sur le marché de la concurence, mais pour moi c'est une évidence, faut pas en faire un fromage (petit Louis !) !!
Ah bon? Alors comme ça, GDF, EDF, les eaux, etc. depuis que c'est privé, c'est moins cher?
Et encore une fois, au lieu de CONVENIR que vous n'avez rien à répondre, vous êtes partis dans une autre direction avec un peu de DEMAGOGIE à la clé... très bof !
Alors si je te lis bien tu veux dire que c'était mieux avant ?? Pdr !!! mdr !!! C'est typiquement la reflexion d'un mec qui n'a jamais payé avec son porte monnaie, mais toujours avec celui de ses parents !! La vie t'apprendra la réalité mon grand et bien plus tôt que tu ne le penses !!
P.S. Pour revenir sur le sujet initial, des fois des enveloppes se perdent et tombent malencontreusement dans les boites aux lettres de nos politiques d'ou soupçon de république bananière !! Fondé ?? A chacun de se faire une idée.
Ca,c'est un problème de distribution du courrier!
J'en veux pour preuve qu'elles ne tombent jamais dans ma boite à moi.
Si ça continue je vais me plaindre au receveur des Postes!!!/color]
@CHRIS 63 wrote:Parler de Bettencourt enfin, c'est un rideau de fumée, il n'y aura rien de plus que du brassage de vent, et aucunes têtes ne vont tomber.
C'est bien pour cela que j'espère depuis le début que le sujet revienne sur des choses plus réalistes.
Le coup des enveloppes etc ...c'est pour faire de l'animation !
ça c'est sur... bon, à défaut d'avoir convenu que vous n'aviez rien à répondre, vous avez avoué que vous excellez dans le brassage de vent...
donc je passe au développement du plan, partie 1. L'introduction est page 18.
1- Rétablir le nationalisme comme corps fonctionnel de la France
a/ sus à l'immigration sans frontières
b/ sus à la finance sans frontières
c/ Réapprenons à fonctionner avec des frontières.
I - Pour remettre en ordre la société en déliquescence dans laquelle nous mouillons, il faut assainir cet air impur qui pousse à la facilité, à la luxure et au déclin. Mais il faut déjà commencer par se compter, savoir quelles sont les forces vives de la Nation sur lesquelles on peut compter. Les gauchos adorent les concepts sans frontières ; la droite s’y est mise aussi, en faisant glisser le sens du libéralisme vers celui de libertarisme : liberté autoritaire qui se dégage de toutes les marques, de tous cadres afin de s’exprimer ; la dictature de la liberté, ou plutôt, la dictature de ceux qui se prennent pour les hérauts de la Liberté. Ainsi, on peut voir dans l’ingérence américaine en Irak (prétendument recherche d’ADM) une forme de libertarisme puisque la défense de la liberté, des valeurs « libres » (donc en fait un panel orientable et optionnel, dans lequel on retrouve pêle-mêle la démocratie, les droits de l’homme, la sécurité, et d’autres intérêts s’opposant les uns aux autres) a été mise en exergue pour cacher le véritable enjeu – mettre la main sur le pétrole et prendre pied dans la région face à l’Iran et la Chine, là où est son point le plus fragile (Tibet et Ouighours). Revenons à la France ; le libertarisme a poussé la société à perdre les repères qui faisaient auparavant des cadres pratiques et praticables pour tous. Ainsi de la société sans frontière, qui a mené au pire déclin de la vigueur morale de ceux qui font vivre l’Etat : à quoi bon maintenir l’ordre, si le criminel n’a plus de frontières pour l’arrêter, passe, repasse en toute impunité ? A quoi bon maintenir l’ordre puisqu’on entre et sort du pays comme dans un moulin ? A quoi bon le faire à plusieurs (pays) si l’Europe est devenue l’arrière cour des îles anglo-saxonnes (sans arranger leur situation, d’ailleurs), une arrière-cour des Miracles où l’on rencontre du tout et du n’importe quoi, et surtout du n’importe quoi, place de tous les délits, de tous les trafics, puisqu’on peut librement en transformer l’argent dans n’importe quel pays, puisqu’il n’y a plus de frontières. Il faut donc rétablir les frontières, ceci est une nécessité de survie pour notre Patrie.
I-1/ Les frontières doivent d’abord être rétablies entre les hommes, pour que notre pays ne ressemble plus à une plaque tournante, à un hall de gare où tout et n’importe quoi passe. Ou se passe. Frontières, ça veut dire un renouveau pour le contrôle, un renouveau de vigueur morale pour ceux qui font vivre l’Etat, qui en font bien plus qu’une entité, un pouvoir, un liant, une Nation. Remettre des frontières contre le processus de l’immigration, c’est donner une identité à ceux qui sont français, et une autre à ceux qui ne le sont pas. C’est faire le tri entre ceux qui peuvent apporter quelque chose à ce pays et ceux qui ne sont là que pour en profiter : « riches » peu patriotes ou trafiquants de toute nature. C’est rétablir un contrôle pour les marchandises, qui cachent toujours des hommes : ceux qui s’y embusquent, ceux qui s’en occupent, ceux qui en tirent profit.
I-2/ La finance a elle aussi besoin de frontières. Nerf de la guerre, elle doit être encadrée, moralisée, a dit un chefaillon de nature inconnue ? Non, encadrée, donc limitée. Par des frontières ; serait-ce une utopie à l’ère des « échanges inter-mondialisés » ? Non, il ne s’agit pas d’arrêter la mondialisation ? Il s’agit de la rendre humaine, de la remettre sous contrôle des Etats et non d’obscurs barons internationaux de la finance ou des trafics. Qui dit frontières dit administrations, dit démarches, dit papiers. Lourdeurs, soit, mais aussi encadrement des flux, donc qui dit encadrement, dit lois. L’enjeu est de remettre la loi au centre de la finance en France – et non pas au-dehors, comme un juge de touche dépassé et esseulé.
I-3/ En verité, nous devons réapprendre à vivre avec des frontières, en remettant les Lois au centre de la Nation ; lois de l’Etat, et donc respect de celui-ci. D’abord, en éduquant aux lois dès le plus jeune âge ; autant une formation économique au lycée est prématurée, autant une formation juridique et morale dès les bancs du collèges, à toutes les filières, serait bien plus adaptée, pour cultiver le respect, non seulement des convenances, mais aussi de la dignité de chacun de nous et de l’Etat. Frauder, c’est saper la dignité des individus, c’et s’enrichir indûment. Il faudra en finir avec le système de l’encouragement des « débrouillards », encouragement de plus en plus officiel. Au contraire, la formation morale doit conduire à la rigueur, à la modestie, au respect des lois, au respect de l’égalité fondamentale entre les hommes. La formation de l’Etat doit pousser à établir un régime fiscal dont le premier souci sera le respect de la loi et de l’égalité, et donc la fin des avantages acquis et catégoriels, non motivés par une quelconque pénibilité professionnelle – donc la fin des régimes avantageux d’investissement, qui motivent tant de pertes pour l’impôt. La formation morale doit éduquer aux frontières, éduquer à la régularité, éduquer à la Nation. Le souci de tout un chacun arrivant en France devra être non pas de se « débrouiller », mais de se conformer aux cadres exigés par l’Etat ; c’est pourquoi l’encadrement de l’imligration en France devra être fort, et intervenir dès l’arrivée, au plus vite, en agissant sur un fuseau restreint. Ainsi, l’intégration, dans le cadre de frontières acquises dans la vie quotidienne, ne sera plus une vaine idée.
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