La seule fois ou il y aurait pu avoir un changement assez radical cela a provoqué un tollé citoyen 10 fois plus important que les manifs pour les retraites.
Mais ce changement radical (2002), peut encore revenir. Autour de nous, l'Europe entière s'y est mise : en Angleterre en Allemagne, l'ampleur de l'invasion pousse à se rappeller des nationalistes, l'Autriche est déjà dirigée sans casse par des nationalistes depuis la fin des années 90 (3 partis nationalistes qui prennent aujourd'hui env. 60% des voix à chaque éléction), en Suisse, les nationalistes, 1ère force politique du pays ont été lâchement spoliés du gouvernement mais pas de leur appui populaire, la Flandre sera aussi gouvernée par des nationalistes, et j'oublie au passage la très traditionnalistes Pologne et les nationalistes hongrois et grecs.
Notre pays est notoirement envahi par des allogènes, dans certaines villes de province (Dreux, Joigny, Migennes etc. plus de la 1/2 de la population est d'outre Médtiterranée; près de Paris, à cinq km de l'aéroport international le plus grand d'Europe, des villes entières ne sont plus peuplées que par des gens qui ne sont français que par profit et CI (Le Bourget, Dugny, Drancy, etc.); des villes où l'on ne trouve plus que des poduits hallal et où le muezzin remplace les cloches cinq fois par jour. Des villes où les français, les vrais, ont peur de sortir. Des villes où ils sont persécutés à chacun de leur mouvement.
Tout ça nous le savons. Mais si nous osons en parler, l'écrire, nous serons dénoncés comme des allumés, des fachos, des racistes, des criminels. Pendant ce temps, les vrais criminels élèvent des minarets sur une terre qui n'est pas la leur et qu'ils veulent asservir.
Sommes nous une démocratie? Ou, par la lâcheté de nos dirigeants, un futur califat ?