@henri X wrote:Bon je sais j'alimente un sujet et je ne devrais pas, mais comme ça a beaucoup dérivé, c'est devenu un sujet fourre-tout.
@ White Hunter:
Je suis d'accord avec toi, mais je vais te dire pourquoi on donne au compte goutte des bracellets d'été et d'apporche (chasse solitaire en général):
C'est parce qu'on n'est jamais sur de l'honnêteté du chasseur à qui on donne l'autorisation.
Va savoir si le mec une fois laché seul sur ton territoire il va tirer un brocard (et encore, celui qu'il faudrait pour optimiser la population), et non pas deux chevrettes...?
Si il va tirer une laies suitée au lieux d'une bête rousse?
Etc.
Alors je suis le premier à dire que ces modes de chasses sont très bien pour certains gibiers comme le mouflon, excellent lors de surpopulations et dégâts durant l'été, mais pas encore parfait.
La chasse en battue, permet de tenir un groupes de chasseurs à des consignes précise, et à sanctionner grace au reglement intérieur.
Selon moi, les chasses "solitaires" (approche, affut etc.) doivent se généraliser doucement, entrer dans les esprits gentiment, gagner la confiance des chasseurs en misant sur des individus responsables.
Il y a des gens que jamais je n'autoriserais à faire de l'approche... Et pas seulement en remettant en cause leur honnêteté, mais leurs "compétences" (mauvaise connaissance du territoire, peu de notion de gestion du grand gibier, etc.).
On revient à un problème: le manque de chasse et de chasseurs enracinés. D'un coté le chasseur touriste qui veut voyager selon les paysages et les gibiers (je ne dénigre pas ça pour autant), de l'autre des société à la politique "commerciale", ou vont et viennent les actionnaires (le mot est exact).
La solution pour moi viendra des équipes de chasses locales, où il règne confiance et cordialité, où l'on pourra chasser autant en battue qu'individuellement selon concertation, selon les besoins ou les envies.
Et beh !!!
C'est pas demain la veille, qu'avec des raisonnements comme celui-là, que la chasse francaise va voir ses effectifs croitre.