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Michel qui se lance dans l'irriguation,pour les plates bandes tu trouve aussi du tuyau équipé avec un trou tous les 50cm.au jardin n'ayant que des cuves j'ai repris l'idée en faisant des trous sur un tuyau d'arrosage (cuves que je rempli avec une pompe à essence)
Merci pour les tuyaux (c'est le cas de le dire) les amis.
La harde sauvage arrive cet après midi... Alors les aménagements extérieurs ce sera pour après.....
Là je vais allumer le four a bois...Il faut que je le sèche progressivement avant dimanche.
Je suis puni depuis le 20 avril, pas de connexion ou quand j'en ai une, j'essaie de temps en temps de mettre un message, mais rien ne reste. Peut être maintenant icone-pleure
[quote quote=5392843] Michel qui se lance dans l’irriguation,pour les plates bandes tu trouve aussi du tuyau équipé avec un trou tous les 50cm.au jardin n’ayant que des cuves j’ai repris l’idée en faisant des trous sur un tuyau d’arrosage (cuves que je rempli avec une pompe à essence)
[/quote]
Mais attention Michel tous les tuyaux percés ne sont pas destinés à l'irrigation.
Bon eh puis, dans la horde sauvage il y a un ou deux écolos (mais qui ne crachent pas sur leur part de chevreuil de sanglier ou de terrines....) mais qui rêvent eux de venir faire leur pain...
C'est vrai qu'un de ces jours je vais essayer quand même d'en faire ...Ca ne doit pas etre mauvais au fond...
Bonjour les Papys, je vois que les activités d'intersaison ont bien avancé entre les terrines, les pastels et les potagers à préparer (sans parler de la migration estivale dans des contrées plus humides) !
De mon côté, j'existe toujours mais avec encore et toujours une vie à 200 km/h.
Je vous avais laissé mi-février avec celle qui devait être ma deuxième et dernière chasse avec un brocard qui repart une balle à la patte, une bredouille sous la flotte et 4 bracelets sur les bras.
Finalement, on organise au pied levé une 3ème chasse. certains des parisiens viennent quand même et les locaux (nous sommes 2 sur 6 actionnaires) arrivent à inviter un peu plus large. On revoit de fond en comble le plan de bataille. Moins de chiens, 1 seule traque pour tout le bois (qui fait 70 ha) et on revoit l’emplacement des lignes. De mon côté, je me mets dans un coin un peu sensible. Une pointe de bois de 3 ou 400 m² n'est pas à nous (le bordurier que je connais bien est pointilleux sur le sujet) mais est traversée par les 2 meilleures coulées du bois. Je me poste sur le talus qui fait la bordure et je tire à plomb devant. La visi n'est pas extra devant avec les houx et il faut connaitre parfaitement le bois pour éviter de tirer en direction des autres postés. Je pourrais parfaitement tirer derrière mais comme ce n'est pas chez nous et que je suis trop honnête, je ne l'imagine même pas. La traque démarre. Je commence par louper un brocard en pleine course. Puis 4 chevreuils passent coup sur coup dans la 2eme coulée à côté de moi. Pas moyen de tirer devant, ils s'arrêtent derrière à 15m, je les salue du chapeau uniquement. Puis arrive le voisin. Mal luné, il voit rouge de trouver quelqu’un sur le talus et je prends une avoinée. Bref, d’énervement, je range le fusil et en profite pour aller baguer les 3 chevreuils qui ont été tirés sur les autres lignes. Pas bien content de terminer la saison comme ça…
Mars arrive et retour sur les routes de France et de Navarre la semaine un premier weekend enfermé chez / avec la belle mère et déjà la déprime de fin de saison arrive. Une embellie passagère avec une chasse à courre au lièvre à la maison (15 km derrière les chiens. 2 Lièvres levés qui auront été meilleurs que nous. 1 bécasse, des perdreaux, des faisans et des chevreuils levés. La morne plaine de Mars a su montrer quelques-uns de ses habitants biens cachés.
Et puis, LA bonne nouvelle ! Le préfet du 35 prolonge la chasse du sanglier sur tous le mois de Mars. Du coup, le planning se charge et me revoilà à la chasse tous les weekend ! Une première battue ou la bête noire est absente mais les chevreuils et le beau temps bien présents. Une deuxième sous le soleil aussi. Nous ne sommes pas très nombreux. Il y a peu de pieds frais. Nous les espérons dans une enceinte, je me place à l’opposé du bois, au milieu d’une plaine de radis noirs accoudé à un poteau électrique entre deux des bois de la chasse. Les rapprocheurs prennent un pied. La bête est sur pied. On découple 15 grands anglos français. Il y a de la musique. Je suis dans le fond d’un vallon, le bois me surplombe et je vois, 200m devant les chiens, d’abord des geais décoller, puis un vol de pigeon, puis des corneilles, puis encore des geais. Le sanglier traverse le bois tout droit pendant près d’1 km. Je suis sur le côté, il va sortir plus loin. Tant pis. Et puis, arrivés à mon niveau, les chiens perdent. Je les vois en surplomb cassés dans leur élan. Pendant que je les regarde, j’entends un bruit. Le sanglier a tourné à 90° et vient de sortir au coin de mon champ. Je devine une bête rousse plus que je la vois. J’épaule. Il doit être à plus de 100m. Il me passe en travers. Il se rapproche petit à petit, 70m. Je n’ai pas d’optique, mais avec le canon rayé, ça se tente. Je m’applique. Je ne le vois pas accuser la Première balle. Je ré-épaule. Là, il va falloir tirer, je perds mes angles de tir. Je me réapplique. Il prend la 2ème en pleine colonne plus de 65m. Arrivé sur place au milieux des radis noirs, je m’aperçois que le mâle annoncé par les piqueux s’avère être une laie bien rousse de 55 kg.
Et pour finir, encore 2 battues avec chevreuils mais sans sangliers… Bref, un mois de Mars qui finit bien mieux qu’il n’avait commencé.
Et puis tout début Avril. Un de mes fournisseurs placé en liquidation judiciaire. Des pièces que nous attendons et qui n’arriveront pas. Une crise majeure à gérer qui me tient du lundi au vendredi depuis. Je commence tout juste à sortir la tête de l’eau et à penser à l’y remettre. Je prépare la migration estivale de mon bateau depuis sa remorque jusqu’à la grève de mon île préférée (qui n’est pas Oléron, mais Bréhat) Les homards m'attendent !!!
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